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34 résultats trouvés pour alimentation

Voici 4 bienfaits insoupçonnés des graines de chanvres !

Très populaires depuis quelques années, les graines de chanvre ne sont pas considérées comme un super-aliment pour rien ! Bourrées de nutriments, elles renferment de nombreux bienfaits pour la santé. Zoom sur quatre d’entre eux !

Les graines de chanvre sont issues du chanvre, une plante appartenant à la famille des Cannabinacées. Consommées décortiquées dans la majorité des cas, elles présentent un goût proche de la noisette qui les rendent très intéressantes en topping sur une salade, un avocado toast ou encore dans un smoothie bowl.

Au-delà de leur intérêt en cuisine, ces super aliments sont de véritables bombes nutritionnelles ! Riches en fibres, en protéines végétales et en acides gras insaturés, elles deviennent un véritable allié pour prendre soin de notre santé au quotidien. Comment ? On vous explique ! 

Elles luttent contre le vieillissement de la peau

Grâce à leur forte teneur en antioxydants, notamment en vitamine E, les graines de chanvre ralentissent le vieillissement cellulaire en luttant contre la formation des radicaux libres. Résultat, elles aident à prévenir et à atténuer les rides.

Elles stimulent le transit intestinal

Bourrées de fibres insolubles, les graines de chanvre sont idéales en cas de constipation. En effet, elles activent le transit intestinal et augmentent la masse des selles, grâce à leur pouvoir absorbant.

Leur richesse en fibres les rend également très intéressantes dans le cadre d’un régime alimentaire amincissant car elles favorisent le sentiment de satiété.

Elles prennent soin de la santé cardiovasculaire

Consommer des graines de chanvre régulièrement aide à prévenir les maladies cardiaques et à réduire les risques d’hypertension artérielle.

Des qualités qu’elles doivent à leur forte teneur en acides gras, comme les oméga-3 et oméga-6, en minéraux (potassium) ainsi qu’en lipides.

Elles renforcent le système immunitaire

Cette teneur en oméga-3 et en oméga-6 agit aussi positivement sur le système immunitaire et contribue à le renforcer.
Riches en protéines végétales, les graines de chanvre sont non seulement une excellente source d’énergie, parfaite pour combattre la fatigue, mais aussi un bon fournisseur d’anticorps. Ce qui est bien utile à l’approche de l’hiver !

Source de l'article Voici 4 bienfaits insoupçonnés des graines de chanvres ! (passeportsante.net)

#coeur #maladies #cardiovasculaires #alimentation
par Heartdrake
le Mer 27 Déc 2023 - 14:57
 
Rechercher dans: Alimentation, idées de recettes, etc ...
Sujet: Voici 4 bienfaits insoupçonnés des graines de chanvres !
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Coleslaw : la salade vitaminée et facile à faire

Fraîche et croquante, cette salade est idéale pour accompagner vos plats en tout genre.
Les ingrédients pour 6 personnes :
  • 600 g de chou blanc
  • 150 g de chou rouge
  • 1 carotte
  • remplacer le sel par deu citron par exemple

Pour la sauce :
  • 1 jaune d'œuf
  • 1 cuil. à café de moutarde
  • 12 cl d'huile de tournesol
  • 2 à 3 cuil. à soupe de vinaigre de miel
  • 1 cuil. à soupe de sucre
  • 2 cuil. à soupe de jus de citron
  • 1 poignée de myrtilles séchées (ou cranberries)
  • ½ pomme verte
  • Quelques herbes du jardin au choix (persil, estragon, coriandre, aneth, cerfeuil…)

Les étapes de la recette :
  1. Émincez les choux très finement sans mélanger le chou blanc et le chou rouge. Saupoudrez le blanc de gros sel, mélangez et placez-le dans une passoire au-dessus d’un plat. Laissez égoutter 30 minutes maximum.
  2. Préparez ensuite la mayonnaise. Dans un bol, versez le jaune d’œuf, ajoutez la moutarde, une pincée de sel et mélangez bien. Versez l’huile en très mince filet sans cesser de fouetter. Quand la mayonnaise est terminée, ajoutez 2 à 3 cuil. à soupe de vinaigre (selon le goût et l’acidité du vinaigre), 1 cuil. à soupe de sucre, 1 cuil. à soupe de crème fraîche et poivrez.
  3. Lavez et égouttez le chou blanc, séchez-le à fond. Pelez et râpez ensuite la carotte à la grosse grille. Mélangez le chou blanc et la carotte avec les ¾ de la sauce et 1 cuil. à soupe de jus de citron et mélangez le chou rouge avec le reste de sauce.
  4. Dans un plat, étalez le chou blanc puis déposez le chou rouge au centre. Taillez la pomme en bâtonnets, arrosez-la d’1 cuil. à soupe de jus de citron et déposez-la sur le chou rouge. Saupoudrez de myrtilles séchées et ajoutez les herbes émincées de votre choix. Servez et dégustez !


Source de l'article : https://www.femmeactuelle.fr/cuisine/cuisine-des-chefs/coleslaw-la-salade-vitaminee-et-facile-a-faire-de-julie-andrieu-2155123


#coeur #alimentation
par Heartdrake
le Lun 22 Mai 2023 - 11:28
 
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Sujet: Coleslaw : la salade vitaminée et facile à faire
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Anticoagulants : quels sont les aliments à éviter quand on est sous traitement ?

Les anticoagulants sont des médicaments destinés à empêcher la formation de caillots sanguins. Il existe plusieurs familles d’anticoagulants. Certains (les héparines et leurs dérivés) sont délivrés par voie injectable. Parmi les anticoagulants par voie orale, on distingue les antagonistes de la vitamine K ou antivitamines K (AVK) et les anticoagulants oraux directs ou nouveaux anticoagulants oraux (NACO), les anticoagulants les plus récents.

Ces médicaments sont prescrits pour prévenir la thrombose dans différentes circonstances : après une crise cardiaque ou à un AVC afin d’éviter une récidive, en cas de phlébite, à la suite d’une intervention chirurgicale, chez les patients avec une valvule cardiaque artificielle, ceux atteints de fibrillation auriculaire ou d’une cardiomyopathie. Cette liste n’est pas exhaustive et d’autres indications sont possibles. La posologie et la durée du traitement varient évidemment en fonction de l’indication.

Anticoagulants et alimentation : quels sont les aliments à risque ?

Certains aliments riches en vitamine K sont de nature à modifier l’activité des AVK et à faire varier l’INR (International Normalized Ratio) qui est un indicateur de la coagulation sanguine. Selon les recommandations de l’ANSM, la consommation de ces aliments n’est pas interdite mais ils doivent être répartis régulièrement dans l’alimentation et consommés sans excès.

Les aliments les plus riches en vitamine K (3 g/100g) sont le chou, la choucroute, le chou-fleur, les épinards, les brocolis et le persil. Les personnes prenant un antagoniste de la vitamine K doivent donc éviter d’en consommer en grande quantité ou plusieurs jours de suite, et seulement ponctuellement.

D’autres aliments sont également riches en vitamine K : tomates, carottes, salade, foie de veau ou de porc, huile de tournesol, mûres, fraises, pêches, haricots verts ou blancs, asperges, champignons.
A savoir : Un jeûne prolongé ou un abus d’alcool peuvent non pas réduire l’action du médicament mais au contraire majorer son action. Il existe donc une hausse du risque hémorragique.

Un régime alimentaire équilibré, mais aucune interdiction

Comme nous l’avons vu, aucun aliment n’est strictement déconseillé lorsqu’on prend un traitement anticoagulant. L’objectif est d’adopter une alimentation variée et équilibrée, qui en parallèle du traitement, est aussi un très bon moyen de prévenir la récidive de certaines pathologies. Ainsi on recommande de consommer chaque jour des fruits et des légumes mais aussi des viandes maigres, du poisson gras, des matières grasses végétales de bonne qualité et en quantité raisonnable (huile de colza, huile de noix, huile d’olive, margarine végétale etc.), des œufs, des légumineuses, des légumes secs. On limitera en revanche la charcuterie, les plats préparés, les aliments trop sucrés et trop gras, les boissons sucrées et l’alcool.

Source de l'article : https://www.femmeactuelle.fr/sante/sante-pratique/anticoagulants-quels-sont-les-aliments-a-eviter-quand-on-est-sous-traitement-2154443


#coeur #AVC #infarctus #maladies #cardiovasculaires #alimentation
par Heartdrake
le Mer 3 Mai 2023 - 12:43
 
Rechercher dans: Maladies cardiovasculaires : généralités
Sujet: Anticoagulants : quels sont les aliments à éviter quand on est sous traitement ?
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Santé cardiaque : 7 aliments que ce cardiologue intègre toujours à sa liste de courses

Pour avoir un cœur en bonne santé et éviter l'apparition de maladies cardiovasculaires, un cardiologue recommande ces sept aliments sains à mettre dans son panier de courses ! Voici lesquels.

Activité physique, tabagisme... Les maladies cardiovasculaires sont parfois liées à notre mode de vie. En effet, il existe de nombreux facteurs pouvant influer sur la santé cardiaque, dont l'alimentation, qui peut également jouer un rôle déterminant. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) estime d'ailleurs qu' "il est possible de prévenir la plupart des maladies cardiovasculaires en s’attaquant aux facteurs de risque comportementaux". Ainsi, pour prévenir le risque de maladies cardiovasculaires, le Dr Long Cao, un cardiologue américain, a listé sept aliments à ne pas négliger pour avoir un cœur en bonne santé, dans une interview accordée au média Well and Good. Découvrez de quoi il s'agit !

Avocats, pommes, noix... 7 aliments à mettre dans son caddie pour protéger son coeur

On le sait, une bonne alimentation aide fortement à préserver sa santé cardiaque. Mais alors quels sont les aliments à privilégier ? Le cardiologue Long Cao en a notamment listé sept :

Les baies

En salade de fruits, en smoothies, les baies fraîches font partie des aliments permettant de conserver une bonne santé cardiaque ! D'après le cardiologue, "elles sont riches non seulement en vitamine C, mais aussi en une grande quantité d'autres antioxydants qui aident à lutter contre le cancer et à minimiser l'inflammation dans nos vaisseaux qui conduit à la formation de plaques". Ainsi, le professionnel de santé américain préconise de consommer 100 grammes de baies par jour afin de lutter contre l'inflammation et favoriser un vieillissement en bonne santé.

Les pois chiches

Selon le Dr Cao, les pois chiches sont des aliments à ne pas négliger pour protéger sa santé cardiaque. La raison ? Source de vitamines, de minéraux et de fibres, ils peuvent "offrir une variété de bienfaits pour la santé, tels que l'amélioration de la digestion et la réduction du risque de maladie cardiaque".
Si vous avez tendance à consommer vos pois chiches entiers, le cardiologue recommande alors d'opter pour une portion d'un demi-bol à un bol entier. Aussi, n'hésitez pas à utiliser "le houmous comme trempette pour vos légumes ou craquelins préférés, ou en tartiner une bonne partie sur le sandwich de votre choix".

Les pommes

Consommées tout au long de l'année, les pommes sont des alliées pour le cœur. Comme l'explique le Dr Cao, les pommes peuvent contribuer à faire baisser la tension artérielle et ce, en partie grâce à leur teneur élevée en fibres. "Les fibres donnent une sensation de satiété. De plus, les pommes regorgent de vitamine C, de vitamine K et de minéraux tels que le cuivre et le potassium", explique le spécialiste.

Les fruits à coque

Noix, amandes... Les fruits à coque constituent, pour le cardiologue, un en-cas "non négociable pour la santé cardiaque". En effet, ce dernier explique qu'une alimentation saine comprenant des fruits à coque peut améliorer la santé des artères, diminuer le risque d'hypertension, réduire l'inflammation liée aux maladies cardiaques. Mais ce n'est pas tout : leur consommation permettrait également de diminuer le risque de formation de caillots sanguins, qui peuvent entraîner des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux (AVC).

Les légumes verts à feuilles foncées

Chou frisé, épinards... Les légumes verts à feuilles foncées font également partie de la liste du Dr Cao. Sources de vitamine A, de vitamine C et de vitamine K, ainsi que de folate, de vitamines B et d'acides gras oméga-3, ces aliments présentent des bienfaits pour santé cardiaque, selon le spécialiste : "La vitamine K est nécessaire à une bonne coagulation du sang, ce qui est important lorsqu'il s'agit de coagulation dans le cœur". Ce dernier recommande ainsi de manger 100 grammes de chou frisé ou d'épinards crus par jour. Vous pouvez également les ajouter à votre smoothie.

Les avocats

Souvent sujets à controverse au regard de leur teneur en graisses, les avocats seraient bénéfiques pour le système cardiovasculaire. Le Dr Cao indique à Well and Good, qu'ils contiennent également de nombreux micronutriments, notamment les vitamines C, E, K, B6, la riboflavine, la niacine, les folates, le magnésium et le potassium. "Tous ces agents favorisent une meilleure circulation sanguine en dilatant les vaisseaux sanguins, en améliorant le débit cardiaque en améliorant les contractions du cœur et, dans une certaine mesure, en rendant naturellement les cellules sanguines plus saines et plus glissantes pour traverser l'organisme."

Le poisson "sauvage"

Il fait partie de la liste de courses du cardiologue : le poisson dit "sauvage". Selon le spécialiste, "les poissons sauvages, qui sont moins susceptibles de provoquer des inflammations et présentent plus d'avantages que les poissons d'élevage, ont leur place dans ses repas car ils constituent une bonne source de protéines, de graisses saines, d'oméga-3, de B12 et de sélénium".

Source de l'article : https://www.femmeactuelle.fr/sante/news-sante/sante-cardiaque-7-aliments-que-ce-cardiologue-integre-toujours-a-sa-liste-de-courses-2151486


#coeur #maladies #cardiovasculaires #alimentation
par Heartdrake
le Mer 22 Mar 2023 - 11:03
 
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Sujet: Santé cardiaque : 7 aliments que ce cardiologue intègre toujours à sa liste de courses
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Régime cétogène : il augmenterait le mauvais cholestérol et le risque cardiovasculaire

Le régime cétogène, qui fait la part belle aux bonnes graisses au détriment des glucides, pourrait augmenter les taux LDL, ou mauvais cholestérol, et augmenter le risque de maladies cardiovasculaires.

Pauvre en glucides, modéré en protéines et riche en lipides, tel est le leitmotiv du régime cétogène, dit « keto diet »’, plébiscité en cas de diabète et/ou de surpoids. En privant le corps de glucides, sources d’énergie, ce régime alimentaire pousse l’organisme à décomposer les graisses pour produire de l’énergie. Le foie va alors produire des corps cétoniques, ou cétones, que le corps va utiliser comme carburant, d’où le nom de ce régime particulier..

Hélas, si cette stratégie semble intéressante, elle aurait ses effets indésirables plutôt gênants : l’augmentation des taux de mauvais cholestérol (ou LDL pour « low density lipoprotein ») et du risque cardiovasculaire. C’est du moins ce que révèle une étude présentée lors du congrès scientifique annuelle de l’American College of Cardiology.

Notons que si d’autres travaux avaient mis en avant le risque d’une hausse de mauvais cholestérol lié au régime cétogène, il s’agirait de la première étude à montrer un réel risque cardiovasculaire découlant d’une telle alimentation.

Les chercheurs ont ici défini le régime cétogène comme une alimentation où 25 % de l’énergie ou des calories quotidiennes totales proviennent des glucides, et où plus de 45 % de l’apport calorique total provient des lipides. Ils l’ont qualifié de régime « de type céto » car un peu plus souple que le régime cétogène strict, où l’apport calorique provenant des glucides ne dépasse pas 10 %.

Un risque cardiovasculaire plus que doublé

L’équipe de recherche a analysé des données provenant de la UK Biobank, banque de données de santé britannique. Quelque 70 684 personnes ont été incluses dans l’étude, dont 305 suivaient un régime « de type céto » et 1 220 suivant un régime « classique », plus équilibré. 73 % des participants étaient des femmes, et la moyenne d’âge était de 54 ans.

Comparés aux personnes suivant un régime standard, celles et ceux suivant un régime de type cétogène avaient des niveaux significativement plus élevés de LDL, ou mauvais cholestérol, et d’apolipoprotéine B (apoB), un composant protéique qui constitue un marqueur très fiable de risque de maladies cardiovasculaires.

Après 11,8 ans de suivi en moyenne, et après ajustement d’autres facteurs de biais, les personnes adeptes du « keto diet » avaient plus de deux fois plus de risque d’avoir plusieurs événements cardiovasculaires majeurs (accident vasculaire cérébral, athérosclérose nécessitant la pose d’un stent, crise cardiaque…).

« Nos résultats suggèrent que les personnes qui envisagent de suivre un régime [de type cétogène] doivent être conscientes que cela pourrait entraîner une augmentation de leur taux de cholestérol LDL. Avant de commencer ce régime alimentaire, elles devraient consulter un professionnel de santé », conseillent les chercheurs dans un communiqué (Source 2). Par ailleurs, pendant le régime, ils recommandent de surveiller son taux de cholestérol, et d’essayer de traiter ses autres facteurs de risque cardiovasculaire (diabète, hypertension, sédentarité, tabac…).

Source de l'articleRégime cétogène : il augmenterait le mauvais cholestérol et le risque cardiovasculaire | Santé Magazine (santemagazine.fr)

#coeur #maladies #cardiovasculaires #alimentation
par Heartdrake
le Dim 12 Mar 2023 - 10:01
 
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Sujet: Régime cétogène : il augmenterait le mauvais cholestérol et le risque cardiovasculaire
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Maladies cardiovasculaires : cette intolérance alimentaire répandue renforcerait les risques

Lactose, arachides... Il existe de nombreuses intolérances alimentaires. Selon des chercheurs britanniques, l'une d'entre elles pourrait renforcer les risques de développer une maladie cardiovasculaire.
Les maladies cardiovasculaires sont "la première cause de mortalité dans le monde", rappelle l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) [url=https://www.who.int/fr/news-room/fact-sheets/detail/cardiovascular-diseases-(cvds)#:~:text=Les maladies cardiovasculaires constituent un,sanguins qui alimentent le cerveau)]sur son site[/url]. Si certains facteurs de risque "comportementaux", tels que le tabagisme ou encore le manque d'activité physique, sont pointés du doigt, une simple intolérance alimentaire pourrait également être mise en cause : c'est le constat dressé par des chercheurs de l'Université d'Oxford (Royaume-Uni), dans de nouveaux travaux parus dans la revue BMJ Medicine.

Cette intolérance alimentaire renforcerait les risques de maladies cardiovasculaires

Ils ont analysé les données de 469.095 adultes âgés de 40 à 69 ans, issues de l'étude "UK Biobank" menée entre 2006 et 2010. Parmi les participants, 2.083 souffraient d'une intolérance au gluten, également appelée maladie coeliaque. En revanche, ils ne présentaient pas de pathologies cardiovasculaires. "La maladie cœliaque a été associée à un risque accru de maladie cardiovasculaire", avancent d'emblée les scientifiques.

En effet, près de 40.687 incidents liés à des troubles cardiaques sont survenus lors d'une période de suivi de douze ans, dont 218 chez des patients touchés par une intolérance au gluten : cela équivaut à un taux d'incidence annuel de 9 personnes sur 1.000, contre 7,4 sur 1.000 pour celles n'ayant pas montré de signes de maladie coeliaque.

Suivre un régime sans gluten pourrait-il réduire les risques de maladies cardiovasculaires ?

Selon les chercheurs, les participants qui souffrent d'une intolérance au gluten ont 27% de risques supplémentaires de développer une maladie cardiovasculaire, comme une crise cardiaque ou encore un accident vasculaire cérébral (AVC). "Cette étude souligne l'importance de la maladie cardiovasculaire en tant que complication potentielle de la maladie cœliaque", détaillent-ils dans un communiqué.

Cependant, ces travaux ne permettent pas de mettre en lumière une relation de cause à effet. "En outre, il convient d'étudier dans quelle mesure l'adhésion à un régime sans gluten chez les personnes atteintes de la maladie cœliaque entraîne une réduction du risque, ou si le régime sans gluten lui-même contribue à l'augmentation du risque identifié", concluent ainsi les scientifiques. De nouvelles recherches seront donc nécessaires.


Source de l'article : https://www.femmeactuelle.fr/sante/news-sante/maladies-cardiovasculaires-cette-intolerance-alimentaire-repandue-renforcerait-les-risques-2149671

#coeur #maladies #cardiovasculaires #alimentation
par Heartdrake
le Mer 15 Fév 2023 - 10:52
 
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Sujet: Maladies cardiovasculaires : cette intolérance alimentaire répandue renforcerait les risques
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Pour éloigner les maladies cardiovasculaires, pensez aux fraises !

Deux nouvelles études présentées lors d’un récent congrès américain sont formelles : une quinzaine de fraises par jour aurait des effets bénéfiques sur la santé cardiaque et les fonctions vasculaires. A consommer sans modération dès l’arrivée de la saison !

Le saviez-vous ? Un régime alimentaire pauvre en fruits vous expose à des risques de maladies cardiovasculaires et de diabète. Mais selon le 9e symposium biennal sur les avantages pour la santé des baies qui s’est tenu à Tampa, en Floride, les fraises seraient de véritables atouts pour la santé cardiovasculaires. Des bienfaits établis dès une quinzaine de fraises par jour ou 150g.

Les fraises, des alliées pour améliorer la résistance à l'insuline et améliorer la fonction vasculaire


Deux essais cliniques ont établi ce lien entre les fraises et l'amélioration de divers marqueurs des maladies cardiovasculaires. Dans un essai croisé contrôlé randomisé incluant 33 adultes obèses mené par l'Université du Nevada, la consommation quotidienne de 225g de fraises par jour a considérablement amélioré la résistance à l'insuline et modérément amélioré la taille des particules de lipoprotéines de haute densité (HDL) par rapport au groupe témoin.

Une autre étude menée à l'Institut de technologie de l'Illinois auprès de 34 hommes et femmes adultes atteints d'hypercholestérolémie modérée a révélé que la fonction vasculaire, telle qu'indiquée par la dilatation médiée par le flux, s'améliore une heure seulement après la consommation de fraises.

Un médicament sucré et rouge de saison


“Nous pensons que ces preuves soutiennent le rôle des fraises dans une approche 'aliment comme médicament' pour la prévention du diabète de type 2 et des maladies cardiovasculaires chez l'adulte” a soutenu l'enquêteur principal de la première étude.

Une, voire deux bonnes nouvelles assurément, quand on sait que les fraises sont l’un des fruits les plus appréciés des deux côtés de l’Atlantique et qu’une portion de fraises (soit 8 fruits) remplit déjà la valeur quotidienne recommandée de vitamine C ainsi qu’une foule d'autres nutriments. De quoi les ajouter à vos menus, aussi souvent que possible !

Source de l'article : https://www.doctissimo.fr/nutrition/alimentation-et-sante/bien-manger-pour-etre-en-bonne-sante/alimentation-et-maladies-cardiovasculaires/pour-eloigner-les-maladies-cardiovasculaires-pensez-aux-fraises/df30bc_ar.html?fbclid=IwAR02lAc6FK8B4Fi_wSO7xqMgfSU7qj8O4OVrcpxCK1qgKVJIHDqxPcEEHFs


#coeur #maladies #cardiovasculaires #alimentation #diabète
par Heartdrake
le Lun 13 Fév 2023 - 13:24
 
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Sujet: Pour éloigner les maladies cardiovasculaires, pensez aux fraises !
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Livèche de Szechuan : bienfaits santé, utilisations, quelles contre-indications ?

C'est l'une des plantes les plus importantes de la pharmacopée traditionnelle chinoise : le rhizome de cette plante vivace est doté d'actifs puissants. Remède naturel par excellence des maux de tête dans la médecine traditionnelle chinoise, découvrez tous ses bienfaits pour la santé !

Qu'est-ce que la livèche de Szechuan ?

La livèche de Szechuan (Ligusticum wallichii) est une plante vivace de la famille des ombellifères, cultivée en Chine, mais aussi en Corée et au Japon, où son utilisation traditionnelle contre les maux de tête existe depuis des millénaires.

C'est la racine de la plante, d'une longueur de 10 cm environ et de 1 à 2 cm de diamètre qui est séchée, puis coupée en fines rondelles pour être consommée sous forme de poudre ou de décoction.

Quels sont les bienfaits de la livèche de Szechuan ?

En Médecine traditionnelle chinoise (MTC), elle est réputée pour mobiliser la circulation sanguine ; une propriété qui est loin de n'être qu'une croyance puisque plusieurs études scientifiques réalisées en Chine sur la plante démontrent qu'elle agit effectivement sur l'agrégation plaquettaire, c’est-à-dire les prémisses de la coagulation, en empêchant les plaquettes de se coller les unes aux autres ; en ce sens, elle favorise la fluidité du sang.

Elle serait même au moins aussi efficace que certaines molécules prescrites à des personnes souffrant de troubles de la coagulation ou d'insuffisance circulatoire !

Dans quels cas utiliser la livèche de Szechuan ?

En Asie, c'est le remède naturel par excellence desmaux de tête, qu'elle calme en rétablissant une meilleure circulation. La livèche de Szechuan peut également être bénéfique dans les cas suivants :

  • douleurs abdominales ou articulaires en raison de son léger effet antalgique ;
  • problèmes d'aménorrhée (absence de règles) ;
  • troubles suivant un infarctus ou une thrombose cérébrale.


Enfin, elle aurait également un effet relaxant sur les muscles lisses et un léger effet anti-inflammatoire.

Comment consommer la livèche de Szechuan ?

La livèche de Szechuan se consomme essentiellement sous forme de décoction : faire bouillir de 3 à 6g de racine séchée dans 1 litre d'eau durant 5 à 10 minutes, filtrez et consommez tout au long de la journée.
La livèche de Szechuan est également présente dans des synergies de plantes sous forme de gélules ou de comprimés. En règle générale, ne pas dépasser les 6 g par jour.

Quelles sont les contre-indications de la livèche de Szechuan ?

Encore relativement peu connue et répandue sous nos latitudes, la livèche de Szechuan est une plante aux propriétés puissantes qui doit être utilisée avec précaution et sous la supervision d'un praticien en MTC.

Sa prise est à éviter en cas de :
  • règles abondantes et douloureuses,
  • grossesse,
  • maladie hémorragique,
  • prise d'un traitement anticoagulant ou antiplaquettaire.


Attention également aux interactions avec d'autres plantes facilitant la circulation sanguine telles que l'ail, le ginseng ou encore la vigne rouge.

Source de l'article : https://www.topsante.com/plantes-medicinales/fiche/liveche-de-szechuan-bienfaits-sante-utilisations-contre-indications-646746


#coeur #maladies #cardiovasculaires #alimentation
par Heartdrake
le Mer 1 Fév 2023 - 10:51
 
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Sujet: Livèche de Szechuan : bienfaits santé, utilisations, quelles contre-indications ?
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Maladies cardiovasculaires : voici le meilleur régime alimentaire pour protéger son coeur, selon les experts

Certains régimes aident à perdre du poids, tandis que d'autres sont bons pour protéger le coeur. Alors, quel est le meilleur pour réduire les risques de maladies cardiovasculaires ? Voici le classement de plusieurs experts américains.

Les maladies cardiovasculaires sont "un ensemble de troubles affectant le coeur et les vaisseaux sanguins", comme l'explique le ministère de la Santé et de la Prévention sur son site. Il s'agit de la première cause de mortalité dans le monde. Parmi les nombreux facteurs de risque des maladies cardiovasculaires, on retrouve un manque d'activité physique mais aussi une mauvaise alimentation.

Selon la Fondation des maladies du coeur et de l'AVC, suivre un régime alimentaire sain permettrait de "prévenir jusqu’à 80%" de ces pathologies : cela va par exemple vous aider à réduire votre pression artérielle, ou encore à contrôler votre taux de glycémie. Alors, quelle est la meilleure diète pour protéger son coeur ? Comme chaque année, le site américain U.S. News & World Report a dévoilé son palmarès pour l'année 2023.

Le meilleur régime pour réduire les risques de maladies cardiovasculaires est...

Au total, ce sont une vingtaine de régimes qui ont été examinés puis notés par des experts en médecine et en nutrition. Si la diète méditerranéenne est arrivée en tête du classement général, elle n'est pas la plus prisée afin de réduire les risques de maladies cardiovasculaires.


En effet, avec la jolie note de 4,8/5, c'est le régime DASH (Dietary Approaches to Stopping Hypertension) qui s'est hissé à la première place ! Bien souvent considéré comme le "meilleur au monde", il met l'accent sur les fruits et les légumes, les céréales complètes ainsi que les oléagineux.

Le régime DASH privilégie également les protéines végétales et les fibres. En revanche, il limite la consommation d'aliments trop gras, trop sucrés mais surtout trop salés. De ce fait, cette diète est idéale pour se protéger face aux différentes pathologies cardiovasculaires.

Maladies cardiovasculaires : les dix meilleurs régimes pour protéger son coeur

Le régime DASH n'est pourtant pas le seul qui pourrait vous aider à réduire les risques d'infarctus du myocarde ou encore d'Accident Vasculaire Cérébral (AVC). En effet, les spécialistes ont dévoilé les neuf autres meilleures diètes pour le coeur. Les voici :

  • Le régime méditerranéen (4,4/5)
  • Le régime flexitarien (4,2/5)
  • Le régime Ornish (4,2/5)
  • Le régime MIND (4/5)
  • Le régime TLC (4/5)
  • Le régime Mayo (3,9/5)
  • Le régime volumétrique (3,9/5)
  • Le régime anti-inflammatoire du Dr Weil (3,7/5)
  • Le régime Weight Watchers (3,7/5)


Avant de commencer un régime, n'oubliez pas d'aller consulter votre médecin afin de faire un point !

Source de l'article : https://www.femmeactuelle.fr/sante/news-sante/maladies-cardiovasculaires-voici-le-meilleur-regime-alimentaire-pour-proteger-son-coeur-selon-les-experts-2147773


#coeur #maladies #cardiovasculaires #alimentation
par Heartdrake
le Ven 13 Jan 2023 - 10:27
 
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Sujet: Maladies cardiovasculaires : voici le meilleur régime alimentaire pour protéger son coeur, selon les experts
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Repas du 31 et régime pour le cœur sont-ils compatibles !

Vous souffrez d’une maladie cardiovasculaire et votre alimentation se doit d’être la plus équilibrée possible. Vous suivez même un régime strict pauvre en sel pour protéger au mieux votre muscle cardiaque ? Voici quelques astuces pour – tout de même - profiter des repas de fêtes.

L’alimentation joue sur plusieurs facteurs impliqués dans les fragilités cardiovasculaires : l’inflammation, l’agrégation plaquettaire, l’oxydation des lipoprotéines, l’insulino-résistance. Autant de mécanismes impliqués dans la survenue d’un infarctus du myocarde, d’une hypercholestérolémie, d’une hypertension artérielle (HTA), d’un diabète de type 2 et indirectement d’une insuffisance cardiaque.

Les patients souffrant de l’une de ces pathologies doivent – pour protéger leur cœur et leurs artères – suivre une alimentation pauvre en sel, en graisses saturées, en sucres rapides. Mais notamment riches en fruits et en légumes, connus pour leur rôle protecteur des vaisseaux sanguins et des tissus cérébraux grâce à leur teneur en vitamine C, caroténoïdes, polyphénols, vitamine B9, potassium, phytostérols et fibres alimentaires.

Poivre, vanille, algues

Le sel doit tout particulièrement être évité pour limiter le risque d’élévation de la tension artérielle. Pour palier la perte de saveurs, reportez-vous sur le poivre, les herbes aromatiques et les épices. Si votre budget vous le permet, vous pouvez même vous faire plaisir en choisissant des produits raffinés au rayon condiments. Un poivre de Timut, de la poudre de piment fumé, de la vanille sauvage, de la cannelle de Madagascar ou encore des mélanges d’algues, du thym sauvage et de la sarriette de garrigues. En vous basant sur ces ingrédients, vous pouvez proposer à vos convives de nouvelles recettes pour manger tous ensemble la même chose et ne pas vous sentir exclu. Idem d’ailleurs pour le réveillon du 31 décembre !

Beurre cru et condiments

Pour alléger vos sauces, un conseil : utilisez le bouillon de vos légumes (carottes, poireaux…) plutôt que les versions industrielles (trop salées) et préférez des crèmes légères par exemple relevées au citron et aux épices. Une noix de beurre cru sans sel pourra être fondue sur votre riz pour éviter de consommer les matières grasses cuites à la poêle, ou bien tartiner sur votre pain. Côté tartines, rien ne vous empêche de poivrer et d’épicer votre beurre pour ne pas perdre en piquant. Parfait pour rattraper le manque de goût propre au pain sans sel que vous devez peut-être privilégier. Vous avez besoin d’inspiration pour vos menus ? Afin de trouver des recettes adaptées au plat de résistance, rendez-vous sur ces pages dédiées aux coquilles St-Jacques gratinées aux poireaux, aux linguines à la girolle et au curry de patates douces.

Côté dessert, vous trouverez en cliquant sur ce lien des recettes gourmandes et adaptées à votre régime : le gâteau moelleux au chocolat et aux épices, les scones, le sorbet éclair à la framboise, les pancakes ou encore la compote de rhubarbe croustillante. Et par ici les tartelettes pomme-cannelle !

Source de l'article Repas du 31 et régime pour le cœur sont-ils compatibles ! - A la une - Destination Santé (destinationsante.com)

#coeur #maladies #cardiovasculaires #alimentation
par Heartdrake
le Jeu 29 Déc 2022 - 10:52
 
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Sujet: Repas du 31 et régime pour le cœur sont-ils compatibles !
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10 astuces pour moins saler son assiette

Le sel est connu pour rehausser la saveur des plats. Cependant, consommé en grande quantité, il peut être nocif pour la santé. Il fait perdre l’élasticité des tissus internes, ce qui peut causer de l’hypertension artérielle qui augmente le risque d’accidents cardio-vasculaires. Il provoque la rétention d’eau , qui aggrave l’apparition de cellulite et accélère le vieillissement de la peau. L’Organisation Mondiale de la Santé conseille de ne pas dépasser la dose de 5 g de sel par jour2. Voici 10 astuces pour moins saler son assiette.
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Lisez les étiquettes


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Avant d’acheter un produit, il est recommandé de lire son étiquette. Cette dernière donne une bonne indication des apports nutritionnels. On évite ainsi de manger ce qu’on veut éviter : des aliments trop salés. Lire les étiquettes permet d’éviter également de se tromper sur la teneur en sel d’un aliment. Tout comme le sucre, le sel se cache dans des produits qu’on ne soupçonne pas forcément !
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La cuisine maison à privilégier


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Les produits industriels déjà préparés contiennent généralement beaucoup de sel, qui est utilisé afin de mieux les conserver et pour rehausser leur goût. Cuisiner à la maison permet de contourner ce problème : il ne tient qu’à vous de décider quelle quantité de sel rajouter à vos plats.
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Des aliments à consommer avec modération


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Réduisez la consommation des aliments à haute teneur en sel, tels les fromages, les charcuteries, le pain, les céréales, les biscuits, les potages en sachet et les vinaigrettes en bouteille. Attention : ce n’est pas parce qu’un aliment n’a pas un goût salé prononcé qu’il ne contient pas beaucoup de sodium.
[list="box-sizing: inherit; margin-right: 0px; margin-bottom: 1.875rem; margin-left: 1.25rem; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-position: initial; list-style-image: initial; line-height: 1.5;"][*]

L'attitude à table


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Ne gardez pas la salière sur la table. Salez les repas avant de les servir. Ensuite, ne rajoutez pas de sel dans votre assiette. Cela vous permettra de garder un certain contrôle sur la quantité de sel de vos repas.
Au restaurant, demandez au serveur si le plat a été préalablement salé. Si la réponse est positive, ne le salez pas davantage.
[list="box-sizing: inherit; margin-right: 0px; margin-bottom: 1.875rem; margin-left: 1.25rem; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-position: initial; list-style-image: initial; line-height: 1.5;"][*]

Aromatisez avec des herbes


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En plus de relever la saveur de vos plats, les herbes aromatisées ont d’innombrables bienfaits : la marjolaine est un anti-stress, la menthe est digestive…
De plus, on peut les ajouter à nos plats frais ou séchés, ce qui facilite leur conservation. Il est possible de les mélanger selon les goûts ce qui rajoute des saveurs très diversifiées.

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Pimentez vos plats avec des épices


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Les épices comme le curcuma, le cumin, le gingembre et la cannelle ont un goût puissant qui agrémente les plats. Plusieurs mélanges d’épices existent et ils ne comportent peu ou pas du tout de sel.
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Le sel diététique


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Le sel diététique a un goût semblable au sel de table mais il est composé de sels minéraux (1/3 de chlorure de sodium et 2/3 de chlorure de potassium). Contrairement au sel, il ne provoque pas de rétention et a même un pouvoir diurétique.
[list="box-sizing: inherit; margin-right: 0px; margin-bottom: 1.875rem; margin-left: 1.25rem; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-position: initial; list-style-image: initial; line-height: 1.5;"][*]

Le gomasio


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Originaire du Japon, le gomasio est fait de sel marin et de sésame grillé et il contient parfois des algues. Sa teneur en sel est très basse (à peine 10 %) et son goût est agréable. Seul inconvénient : il ne se cuit pas. Il peut donc être utilisé dans les salades et les vinaigrettes.
[list="box-sizing: inherit; margin-right: 0px; margin-bottom: 1.875rem; margin-left: 1.25rem; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-position: initial; list-style-image: initial; line-height: 1.5;"][*]

L’algue noire


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Produit du Japon, cette est employée dans la confection des sushis. Saupoudrée sur les repas, cette algue charmera par sa saveur légèrement iodée.
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Le sel fou


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Le sel fou est un mélange d’épices et d’aromates qui vient de l’île de Ré. Il est savoureux et a une très faible teneur en sel. Parmi ses constituants on retrouve du poivre gris, rouge et blanc, de la coriandre, des baies roses, du thym et du romarin. N’hésitez pas à confectionner votre sel fou personnalisé.


Source de l'article10 astuces pour mettre moins de sel dans son assiette (passeportsante.net)

#coeur #maladies #cardiovsculaires #alimentation
par Heartdrake
le Jeu 29 Déc 2022 - 10:48
 
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Sel ajouté, mort prématurée ?

Une étude statistique, parue dans le journal de la Société européenne de cardiologie, semble montrer que plus on sale ses plats, plus on augmente le risque de mourir prématurément. Mais là n’est pas vraiment le problème !


Des chercheurs américains de l’Université Tulane à la Nouvelle-Orléans ont analysé les données médicales de 501 379 volontaires, suivis dans la Biobank britannique. Ils ont décortiqué leurs habitudes alimentaires (il leur avait été régulièrement demandé par questionnaire s’ils salaient parfois, souvent, toujours ou jamais leurs aliments) et leurs analyses d’urine, en particulier leurs taux de sodium et de potassium. Ils ont ensuite recherché les corrélations entre leur consommation de sel et le risque de mourir prématurément.

Leurs calculs montrent que 28% des 18 474 décès prématurés recensés (survenus avant l’âge de 75 ans) sont imputables à l’ajout de sel dans l’alimentation. Les décès prématurés représentaient 3% des décès chez ceux qui ne salent jamais leur plat, mais 6% de ceux qui les salent toujours. Cependant, les auteurs de l’étude notent aussi que ces décès prématurés concernaient moins les personnes dont les urines s’avéraient riches en potassium, suggérant que le potassium pourrait contrecarrer les effets délétères du sodium…

Ils invitent donc à des études supplémentaires afin d’établir plus précisément les liens entre consommation de sel et mortalité prématurée. Dans cette étude, l’apport en sel n’était en effet pas quantifié. Et, par ailleurs, le sel ne vient pas que de la salière !

Ni trop, ni trop peu


Tous les plats préparés, les condiments, le fromage, le jambon et les charcuteries en sont bourrés, sans oublier les sodas et le pain : ces aliments transformés comptent pour 75 à 80% des apports alimentaires en sel. Si les taux élevés de potassium dans les urines semblent protecteurs dans cette étude, c’est parce qu’ils témoignent d’une consommation élevée de fruits et légumes, et donc d’une alimentation plus saine !

Aussi, plutôt que de demander aux gens de mettre leur salière aux oubliettes, il serait sans doute plus efficace de contraindre les industriels à changer leurs pratiques, comme le commente une chercheuse suédoise dans l’éditorial qui accompagne l’article.

Pas question, évidemment, de supprimer totalement le sel, nous en avons besoin pour vivre de 2 à 3 g par jour (soient 2 à 3 pincées seulement). Mais point trop n’en faut, au risque sinon de favoriser l’apparition de cancer, d’hypertension et de maladies cardiovasculaires. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande d’en limiter l’apport total à 5g (soient 2g de sodium), et moitié moins pour les enfants…

Source de l'article : https://destinationsante.com/sel-ajoute-mort-prematuree.html


#coeur #maladies #cardiovasculaires #alimentation
par Heartdrake
le Mar 25 Oct 2022 - 9:13
 
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Cake aux tomates séchées vegan

Ingénieux et inratables, les cakes se déclinent à l'infini, en version sucrée ou salée, et peuvent se déguster à toute heure. Les occasions de déguster un bon cake ne manquent pas : apéritif, repas léger, pique-nique à emporter pour une sortie entre amis ou en famille… Préparez cette fabuleuse recette de tomates séchées vegan, un véritable régal pour tous les adeptes de la vegan food, mais pas que. Vous pouvez également préparer des portions individuelles pour avoir plusieurs mini-cakes, c'est très facile à transporter et toujours aussi délicieux. Tous vos convives vont se régaler.

Personnes : 6

Préparation : 15 mn
Cuisson : 45 mn

Liste des ingrédients :




Liste des étapes


[list=recette_step_list][*]Préchauffez le four à 180°C (Th.6)
[*]Dans une sauteuse, faites cuire l’aubergine coupée en petits dés dans un peu d’huile d’olive.
[*]Dans une jatte, mélangez la farine, la levure et le tofu.
[*]Ajoutez la boisson végétale, l’huile, le sel, le poivre, le thym et les tomates séchées égouttées et coupées en morceaux.
[*]Mélangez bien pour obtenir un mélange homogène puis ajoutez les aubergines, les herbes de Provence et le thym.
[*]Assaisonnez à votre convenance.
[*]Huilez un moule à cake et versez-y la préparation. Vous pouvez également rajouter quelques graines de sésames, de tournesol ou de pavot selon vos goûts.
[*]Enfournez pendant environ 40-45 minutes. Dégustez tiède ou froid.
[/list]

Source de l'article : https://www.passeportsante.net/nutrition/recettes/cake-aux-tomates-sechees-vegan?utm_source=newsletter&utm_campaign=nutrition-congeler-haricots&utm_medium=nutrition-13092022&ium=39000005121456


#alimentation
par Heartdrake
le Mer 14 Sep 2022 - 13:30
 
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Sujet: Cake aux tomates séchées vegan
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8 bonnes raisons de consommer du miel régulièrement

Nectar des dieux, élixir de vie, cet ingrédient aux nombreuses vertus a accompagné les plus anciennes civilisations dans leur évolution. Voici 8 bonnes raisons de consommer du miel régulièrement !

C’est une source d’antioxydants

Le miel est une source alimentaire d’antioxydants .

La majorité de ces antioxydants sont des flavonoïdes qui agissent contre les radicaux libres du corps, prévenant ainsi l’apparition de maladies cardiovasculaires, de certains cancers et maladies neurodégénératives.
En général, ce sont les miels les plus foncés qui contiennent les plus grandes quantités de flavonoïdes.

Il est très efficace contre la toux

Les vertus du miel contre la toux sont connues depuis longtemps.
Et selon une étude réalisée par des chercheurs de l’université de Pennsylvanie (1), le miel serait même le plus efficace des traitements pour soigner la toux des enfants.
L’étude a été menée auprès de 105 enfants âgés entre 2 et 18 ans souffrant d’une toux très gênante.
Les enfants ont pris soit une cuillère de miel avant d’aller se coucher, soit une cuillère de sirop contre la toux, soit rien du tout. Les résultats ont montré que les enfants du groupe ayant pris du miel sont ceux qui ont le moins toussé pendant la nuit et ont le mieux dormi.
Attention, ne pas donner de miel à un enfant de moins d’un an.

Le miel contre la résistance aux antibiotiques !

Le miel, utilisé depuis toujours pour combattre les infections, est un antibactérien naturel.
Il y a deux ans, les chercheurs de l’université de Lund en Suède (1) ont identifié un groupe de 13 bactéries lactiques dans l’estomac des abeilles.
Selon leurs conclusions, ces bactéries lactiques permettraient de lutter contre de puissants pathogènes devenus résistants aux antibiotiques, comme les staphylocoques dorés.
Plus tôt, une étude (2) avait montré que le retrait d’une protéine connue sous le nom de "defensin-1", produite à partir du nectar des fleurs que les abeilles butinent, réduisait presque totalement la capacité du miel à tuer les bactéries.
Ils ont pu en conclure que la defensin-1 confère la majorité du pouvoir antibactérien au miel et pouvait être utilisée dans le traitement des brulures et autres infections de la peau et dans le développement de médicaments pour combattre les infections résistantes aux antibiotiques.

Il aurait un effet prébiotique

Le miel aurait possiblement un effet prébiotique sur le corps humain en améliorant la croissance et la viabilité des bifidobactéries et des lactobacilles de la microflore intestinale, des bactéries importantes pour être en bonne santé.
Les prébiotiques sont des sucres à courtes chaines qui ne sont pas digérés au niveau de l’intestin grêle. Ils favorisent le transit intestinal.
L’effet prébiotique du miel serait en grande partie attribuable aux oligosaccharides, des sucres de faible poids moléculaire.

C’est un édulcorant naturel

Tout comme la stévia ou les sirops d’agave et d’érable, le miel est un édulcorant naturel.
Utilisez le miel pour sucrer vos jus de fruits, yaourts ou encore vos thés plutôt que le sucre blanc !
Veillez à utiliser du miel biologique frais, qui garde toutes ses propriétés.
Bien que naturel, il est très riche en sucres, consommez-le avec modération

Il améliore nos performances physiques

Le miel est riche en glucose, ce qui permet d'apporter à l'organisme l'énergie nécessaire en cas d'effort physique prolongé et intense. Utilisé autrefois par les athlètes grecs qui en consommaient avant les compétitions, le miel est toujours consommé par certains sportifs professionnels aujourd’hui.
Il est en outre une source non négligeable de minéraux : il contient 42% de magnésium et 128% de fer en plus que le sucre. Il contient par ailleurs de puissants antioxydants comme la vitamine B et C qui permettent de lutter contre le stress oxydatif.

Il aide à cicatriser

Le miel est un désinfectant et un cicatrisant naturel. 
Si vous avez une plaie ou une brûlure, vous pouvez appliquer un peu de miel en surface sur la zone douloureuse. La peau sera soulagée et cicatrisera plus vite grâce aux propriétés anti-bactériennes et antiseptiques du miel. 
Avant d’appliquer le miel, il faut d’abord rincer la blessure avec de l’eau ou du sérum physiologique, puis déposer le miel ensuite en couche fine, de façon uniforme, avec une spatule en bois,  sur la totalité la plaie avant de recouvrir de compresses sèches.
Le pansement est à renouveler toutes les 24 heures tant que la plaie suinte, puis toutes les 48 heures jusqu’à ce qu’elle cicatrise.

Il lutte contre les insomnies

Prendre une cuillère de miel avant le coucher aide à mieux dormir. Il augmente les niveaux d'insuline dans le sang et stimule la production de tryptophane dans le cerveau, qui se transforme en sérotonine et favorise un sommeil réparateur.
Pour profiter de ses bienfaits, buvez une tisane avec du miel d'oranger, du miel de tilleul, du miel de lavande ou du miel de trèfle avant de vous coucher. Il s'agit de miels aux propriétés sédatives qui permettent de s'endormir plus vite.


Source de l'article : https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=5-bonnes-raisons-de-consommer-du-miel-regulierement-p8&mode=diapo


#coeur #maladies #cardiovasculaires #alimentation
par Heartdrake
le Lun 5 Sep 2022 - 14:55
 
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5 bienfaits des figues : un fruit exceptionnel à vertus insoupçonnées !

Les figues ne figurent pas parmi les fruits les plus populaires du monde et elles sont très souvent détestées par petits et grands. Une mauvaise idée ! Pourquoi ? Ces fruits violets sont en effet connus depuis l’Antiquité en tant qu’un remède naturel pour certains problèmes de santé dont anémie, diabète, maladies du foie, troubles cutanés, infections des voies urinaires et d’autres. Ces capacités précieuses sont dues à la haute teneur en divers nutriments essentiels au bon fonctionnement de l’organisme. Alors, ne tardons plus et découvrons ensemble les 5 bienfaits des figues à connaître de toute urgence.

Le point sur les 5 bienfaits des figues méconnus

  • Une composition riche en nutriments importants

Les figues sont particulièrement riches en potassium et en fibres, deux des composants principaux de l’alimentation saine et équilibrée. Comme nous le savons tous, les fibres sont indispensables à la bonne digestion. Mais elles favorisent encore la satiété ainsi que la bonne santé du système cardiovasculaire. Pour ce qui est du potassium, ce dernier prend soin du bon fonctionnement du cœur. Une seule figue en fournit entre 7 et 18% de l’apport journalier recommandé. En plus, les figues séchées présentent une excellente source de manganèse, de magnésium et de calcium : autres minéraux essentiels au bon fonctionnement de l’organisme.

  • Haute teneur en antioxydants et propriétés anti-tumorales

Grâce à leur très haute teneur en antioxydants, les figues aident à lutter contre le stress oxydatif responsable du vieillissement prématuré ainsi que du développement de plusieurs maladies dont le cancer. Il est important de noter d’ailleurs que les différentes variétés des figues ont une teneur différente en antioxydants, mais toutes sont suffisamment riches en polyphénols. Certaines études démontrent que les figues bien séchées sont davantage riches en antioxydants par rapport au fruit frais. D’autres études déclarent que les figues et leurs feuilles contiennent des composants bioactifs ayant un effet destructeur sur certaines cellules tumorales.

  • Gestion de la glycémie

Des recherches préliminaires montrent une diminution du taux de glucose chez des rats ayant reçu un extrait de feuilles de figuier. D’autres essais ont également confirmé une réduction du taux de cholestérol, ainsi qu’une normalisation de l’activité antioxydante destinée à combattre le stress oxydatif induit par le diabète. Le fruit, lui-même, s’est avéré efficace pour traiter les effets secondaires du diabète. Grâce à ses capacités antioxydantes et anti-inflammatoires, la figue est capable de stabiliser les différentes fonctions corporelles endommagées par la maladie.

  • Action anti-bactérienne et anti-fongique

Les bienfaits des figues sur les infections bactériennes et fongiques ne sont pas à sous-estimer. L’extrait de feuille de figuier peut neutraliser diverses bactéries dans la cavité buccale, ainsi que plusieurs champignons et microbes. Qui plus est, des études évoquent la capacité du fruit de stimuler la réponse immunitaire.

  • Réduction des rides

Oui, les bienfaits des figues concernent également la bonne santé de la peau. Plus concrètement, l’extrait de feuille de figuier s’avère efficace contre les rides du visage et entre dans la composition de plusieurs produits cosmétiques.


par Heartdrake
le Ven 26 Aoû 2022 - 15:22
 
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Un œuf par jour augmente-t-il le risque cardiovasculaire ? Une grande étude fait le point

Au cours des dernières décennies, les études portant sur les liens entre la consommation d'œufs et les maladies cardiovasculaires ont donné des résultats contradictoires.

Une analyse reposant sur l'ensemble des études réalisées jusqu’à maintenant sur le sujet, publiée dans le British Medical Journal, fait le point.
Jean-Philippe Drouin-Chartier de la Faculté de pharmacie de l'Université Laval (Québec) et de l'Institut sur la nutrition et les aliments fonctionnels, et ses collaborateurs de l'Université Harvard (États-Unis) ont d'abord analysé les résultats de trois études américaines qui ont suivi près de 216 000 personnes pendant trois décennies.

Ils ont aussi réalisé une méta-analyse de 28 études prospectives, menées dans différents pays, totalisant 1,7 million de personnes.

Le risque de maladie cardiovasculaire – infarctus, maladie coronarienne ou accident vasculaire cérébral – n'était pas plus élevé chez les gens qui consommaient un œuf ou plus par jour que chez ceux qui consommaient moins d’un œuf par mois.

« Nos analyses démontrent que l'on peut manger jusqu'à un œuf par jour sans que le risque cardiovasculaire en souffre », résume le chercheur.

La prise en compte dans les analyses de l’âge, l’indice de masse corporelle (CALCUL rapide de votre IMC et poids idéal), le niveau d’activité physique, le tabagisme, l’hypertension, l’hypercholestérolémie, l’utilisation de statines et la qualité générale de l’alimentation ne changeait rien à ce constat.

L'origine de la controverse « remonte aux premières études qui ont établi un lien entre le cholestérol sanguin et le risque cardiovasculaire. Comme l’œuf est l'aliment le plus riche en cholestérol, on en a déduit qu’il devait augmenter le cholestérol sanguin et, donc, le risque cardiovasculaire. Ce que l’on ignorait à l’époque est que le foie autorégule le taux de cholestérol sanguin. Lorsqu’on mange plus de cholestérol, notre foie en produit moins. C’est pour cette raison que la corrélation entre la consommation de cholestérol et le taux de cholestérol sanguin est très faible. »


« L’étude apporte des preuves solides de l'absence d'association négative entre une consommation modérée d’œufs et le risque cardiovasculaire, mais le débat n’est pas clos pour autant », indique le chercheur, relayé par le communiqué de l'Université Laval. « Des études rapportant des effets néfastes des œufs ont été publiées au cours de la dernière année et une autre étude qui arrive à la même conclusion paraîtra prochainement », signale-t-il.



Source de l'article : http://www.psychomedia.qc.ca/sante-cardiovasculaire/2020-03-05/oeufs-risques


#coeur #alimentation #maladies #cardiovasculaires #infarctus #AVC
par Heartdrake
le Ven 20 Mai 2022 - 12:14
 
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Insuffisance cardiaque : la viande rouge augmente le risque chez les femmes

Les femmes ménopausées adeptes des régimes riches en protéines animales sont plus susceptibles de développer une insuffisance cardiaque.

Après 50 ans, les femmes devraient limiter leur consommation de viande, suggère une étude présentée au congrès américain de cardiologie qui se tient actuellement à la Nouvelle-Orléans (Etats-Unis). Des chercheurs de l’école de médecine de l’université de Brown viennent de montrer qu’une consommation importante de protéines, notamment d’origine animale, augmente le risque d’insuffisance cardiaque chez les femmes ménopausées. 

Pour aboutir à cette conclusion, les scientifiques ont scruté le régime alimentaire de plus de 103 000 femmes âgées de 50 à 79 ans entre 1993 et 1998, et suivi leur état de santé. Sept ans plus tard, 1 700 volontaires ont développé une insuffisance cardiaque. La proportion de femmes atteintes de cette maladie était plus importante chez celles qui privilégient un régime riche en protéines que chez celles qui en consomment moins.
Mais le risque d'insuffisance cardiaque semblent varier selon les sources de protéines. Les femmes qui consomment beaucoup plus de légumineuses ou de céréales que de produits carnés réduisent leur risque d’insuffisance cardiaque par rapport aux adeptes de la viande rouge.

Des travaux précédents ont déjà mis en avant les bénéfices des protéines végétales en matière de santé cardiaque. Il a notamment été montré qu’elles réduisent de 12 % le risque de développer une maladie cardiovasculaire, du fait qu’elles n’augmentent pas la pression artérielle, le diabète et le mauvais cholestérol.Tout le contraire des protéines animales en somme.

La viande à consommer modérément


De fait, la littérature scientifique le montre : les viandes rouges ne sont pas l’ami du cœur et des artères. Riches en graisses saturées, elles augmentent le taux de cholestérol et favorisent le développement de plaques d'athérome dans les vaisseaux sanguins. Des études ont également suggéré un lien entre microbiote et maladies cardiovasculaires. La dégradation des protéines animales dans l’estomac et l’intestin par la flore bactérienne produirait des substances toxiques pour le cœur et les vaisseaux.

« Bien que le risque d’insuffisance cardiaque lié à l’alimentation doit encore être étudié, il apparaît que cette maladie chez les femmes ménopausées est non seulement fréquente mais évitable en adoptant une meilleure alimentation » , commente le Dr Mohamad Barbour, auteur principal. Aussi, mieux vaut privilégier les viandes blanches connues pour être maigres, le poisson et faire la part belle aux fruits et légumes. La viande rouge doit toutefois rester dans les assiettes mais modérément.

Source de l'article : https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/18425-Insuffisance-cardiaque-la-viande-rouge-augmente-le-risque-chez-les-femmes

#coeur #insuffisance #cardiaque #maladies #cardiovasculaires #alimentation
par Heartdrake
le Ven 20 Mai 2022 - 12:06
 
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Cake aux courgettes

Tag alimentation sur Association Insuffisance Cardiaque (AIC) I100082-cake-aux-courgettes


Ce cake aux courgettes, représente un repas d'été idéal. Complet, frais et équilibré, il se déguste aussi bien chaud que froid. Cette recette savoureuse avec du fromage de chèvre apportera beaucoup de gourmandise.

Liste des ingrédients




Liste des étapes

[list=recette_step_list][*]Préchauffez le four à 180°c.
[*]Emincez les courgettes finement. Dans une poêle, faites-les revenir dans un fond d'huile pendant 15 minutes, jusqu'à ce qu'elles soient fondantes. Il faut que les courgettes relâchent de l'eau. Egouttez-les dans une passoire.
[*]Dans un grand saladier, battez les oeufs avec la farine et la levure. Incorporez le lait et l'huile. Salez et poivrez.
[*]Ajoutez les courgettes, le fromage de chèvre coupé en morceaux et les herbes ciselées. Mélangez bien.
[*]Dans un moule à cake, versez la préparation et enfournez pendant 40 minutes. Vérifiez la cuisson en plantant un couteau dans le cake, en ressortant la lame doit être sèche cela veut dire que le cake est cuit. Bonne dégustation.
[/list]

Informations complémentaires

Le cake aux courgettes, peut tout à fait se faire sans fromage si vous êtes intolérant au lactose. Vous pouvez aussi remplacer le fromage de chèvre par un fromage de votre choix.


Source de l'article : https://www.passeportsante.net/nutrition/recettes/cake-aux-courgettes&utm_source=newsletter&utm_campaign=nutrition-10-bienfaits-noix-coco&utm_medium=nutrition-03052022?ium=39000005121456


#coeur #alimentation
par Heartdrake
le Mer 4 Mai 2022 - 9:17
 
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Sujet: Cake aux courgettes
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Le régime nordique fait ses preuves pour réduire le taux de cholestérol

Le régime nordique permettait non seulement de perdre du poids, mais aussi de réduire le taux de cholestérol et de sucre dans le sang, selon une équipe de chercheurs danois, suédois et finlandais. 
Le régime nordique est principalement composé de baies, de légumes, de poisson, de grains entiers, de produits laitiers et d'huile de colza. Les recherches menées jusqu'à présent ont montré qu’il avait des bienfaits pour la santé après une perte de poids. Mais une récente étude, publiée dans la revue Clinical Nutrition (source 1) dévoile que ce type d'alimentation pourrait aussi avoir des effets bénéfiques sur la santé, que l'on perde, ou non, du poids. 
D'après cette étude, le régime nordique permet effectivement d'abaisser la glycémie (taux de glucose dans le sang) et le taux de cholestérol, même sans perte de poids. "C'est surprenant, car la plupart des personnes pensent que les vertus sur la glycémie et le cholestérol sont uniquement dus à la perte de poids. Ici, nous avons constaté que ce n'est pas le cas. D'autres mécanismes entrent également en jeu", explique Lars Ove Dragsted, chercheur à l'université de Copenhague (Danemark) et co-auteur de l’étude, dans un communiqué paru le 8 mars (source 2).

Moins de cholestérol et une meilleure régulation du glucose

Pour en arriver à cette conclusion, une équipe de chercheurs danois, suédois et finlandais a analysé les échantillons de sang et d'urine de 200 personnes âgées de plus de 50 ans, présentant toutes un IMC élevé et un risque accru de diabète et de maladies cardiovasculaires. Pendant six mois, les participants ont été divisés en deux groupes : l'un a adopté les habitudes alimentaires des pays nordiques et l’autre a continué de manger normalement. Le résultat est sans appel. 
Le groupe qui a suivi le régime nordique pendant 24 semaines était en bien meilleure santé, avec :

  • des taux de cholestérol plus faibles,
  • des taux globaux de graisses saturées et insaturées plus bas dans le sang,
  • et une meilleure régulation du glucose, par rapport au groupe témoin.

"Nous avons maintenu le poids du groupe qui suivait le régime nordique stable, ce qui signifie que nous leur avons demandé de manger davantage s'ils perdaient du poids. Même sans perte de poids, nous avons pu constater une amélioration de leur santé", a précisé Lars Ove Dragsted. 
En cause, selon les chercheurs, certaines "bonnes" graisses que l'on retrouve dans le régime nordique. "En analysant le sang des participants, nous avons pu voir que ceux qui ont le plus bénéficié du changement alimentaire avaient des substances liposolubles différentes de celles du groupe témoin. Ce sont des substances qui semblent être liées aux acides gras insaturés des huiles végétales privilégiées dans le régime nordique. C'est un signe que les graisses alimentaires jouent probablement le rôle le plus important dans les effets observés ici", indique Lars Ove Dragsted. Ces graisses proviennent, entre autres, du poisson, des graines de lin et de tournesol et de l’huile de colza, mais les chercheurs ne savent toujours pas expliquer pourquoi elles semblent abaisser à la fois le taux de sucre dans le sang et le taux de cholestérol.

Source de l'articleLe régime nordique fait ses preuves pour réduire le taux de cholestérol | Santé Magazine (santemagazine.fr)

#coeur #alimentation #maladies #cardiovasculaires
par Heartdrake
le Lun 14 Mar 2022 - 9:13
 
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Sujet: Le régime nordique fait ses preuves pour réduire le taux de cholestérol
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Manger des légumes est-il vraiment bon contre les maladies cardiovasculaires ?

C’est une étude d’envergure pour le moins surprenante publiée dans la revue Frontiers in Nutrition. Selon des chercheurs britanniques, manger des légumes n’aurait aucun impact sur le risque de développer une maladie cardiovasculaire. Ils expliquent même pourquoi on a longtemps pensé le contraire !

La consommation de légumes est associée depuis des décennies à une meilleure santé. Les antioxydants, les fibres, les minéraux et le fait qu’ils présentent une faible densité énergétique et une pauvreté en acides gras, notamment saturés, les aideraient à nous protéger de nombreuses maladies non transmissibles, comme les maladies cardiovasculaires.

Et si nous avions tout faux depuis le début ?

C’est en tout cas ce que prétend une étude des Universités d’Oxford, de Bristol et de Hong Kong. Pour ses auteurs, « que la consommation de légumes puisse réduire le risque de maladies cardiovasculaires peut sembler plausible à première vue, car leurs ingrédients tels que les caroténoïdes et l’alpha-tocophérol (une forme de vitamine E, ndlr) ont des propriétés potentiellement protectrices. Mais les preuves scientifiques sont pour le moment incohérentes ».

Alors pourquoi les résultats positifs obtenus jusque-là seraient-ils erronés ?

Pour répondre à cette question, les scientifiques se sont appuyés sur la UK Biobank, une large étude prospective portant sur la manière dont la génétique et l’environnement contribuent au développement de maladies courantes et potentiellement mortelles. Ils ont ainsi analysé les données de près de 400 000 personnes, dont 4,5% ont développé une maladie cardiovasculaire. Chacun des participants avait renseigné sa consommation quotidienne de légumes, qu’ils soient crus ou cuits.

De nombreux biais ?

Les scientifiques ont tenté d’établir une association entre cette consommation et le risque d’hospitalisation ou de décès par infarctus du myocarde ou encore par accident vasculaire cérébral. Elément non négligeable, ils ont aussi intégré à leur travail des facteurs de confusion comme le statut socio-économique des participants, leurs niveaux d’activité physique…

Résultat : le risque de décéder d’une maladie cardiovasculaire était inférieur de 15 % chez les personnes consommant le plus de légumes par rapport à celles qui en mangeaient le moins. Jusqu’ici, rien d’anormal.  Mais en intégrant ces fameux facteurs de confusion, le pouvoir prédictif du risque cardiovasculaire perdait 80% de son efficacité !

Comme l’explique le Dr Qi Feng de l’Université d’Oxford et principal auteur de l’étude, « nous n’avons trouvé aucune preuve d’un effet protecteur de la consommation de légumes sur la survenue de maladies cardiovasculaires. Au lieu de cela, nos analyses montrent que cet effet apparemment protecteur est très probablement expliqué par le biais de facteurs de confusion résiduels, liés aux différences de situation socio-économique et au mode de vie. »
Sans doute pour contrer toute polémique, les chercheurs rappellent tout de même qu’une « alimentation équilibrée et le maintien d’un poids de forme restent des éléments importants pour maintenir une bonne santé et réduire le risque de maladies majeures, y compris certains cancers. Il est largement recommandé de manger au moins cinq portions de fruits et de légumes chaque jour. »

Pour d’autres observateurs, les résultats ne sont guère surprenants. « Choisir un seul aliment, ici des légumes, et supposer qu’il suffit de l’ajouter à l’alimentation, pour obtenir des bénéfices n’est pas suffisant », explique Alice Lichtenstein, directrice du laboratoire de nutrition cardiovasculaire de l’Université Tufts (Massachusetts). « Ce qui est clair, c’est que nous ne devrions pas nous intéresser à des aliments ou à des nutriments uniques, mais plutôt à l’ensemble du régime alimentaire. »

Source de l'articleManger des légumes est-il vraiment bon contre les maladies cardiovasculaires ? - A la une - Destination Santé (destinationsante.com)

#coeur #maladies #cardiovasculaires #alimentation
par Heartdrake
le Lun 21 Fév 2022 - 17:40
 
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Sujet: Manger des légumes est-il vraiment bon contre les maladies cardiovasculaires ?
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Quels poissons privilégier dans son alimentation ?

Tout comme la viande, le poisson est une source de protéines. C’est pourquoi, sa consommation contribue à avoir une alimentation saine et variée.
À quelle dose peut-on consommer du poisson ? Y a-t-il des restrictions ? Quel type de poisson faut-il privilégier ?

Poisson : des oméga 3, des minéraux et des polluants

Selon les espèces, les poissons comptent de la matière grasse qui les rend riches en oméga 3, dont la particularité est de prévenir des maladies cardio-vasculaires. Ils sont aussi nécessaires au développement et au fonctionnement de la rétine, du cerveau et du système nerveux. Enfin, le poisson est intéressant d’un point de vue nutritionnel car il contient divers minéraux, indispensables à notre santé.
Néanmoins, certaines espèces peuvent être contaminées par des polluants tels que les dioxines, les PCB ou le méthyl-mercure. Les PCB et les dioxines se retrouvent essentiellement dans les poissons les plus gras (anguilles) ainsi que dans certains poissons bio-accumulateurs (barbeau, brème, carpe, silure). Quant au méthyl-mercure, il est présent dans les poissons prédateurs sauvages.

Des poissons à limiter ou éviter pour les femmes enceintes ou allaitantes et les enfants de moins de 3 ans

Certaines populations sont plus sensibles que d’autres, c’est notamment le cas des femmes enceintes ou allaitantes et des enfants de moins de 3 ans.
C’est pourquoi l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) recommande de limiter à 1 fois tous les 2 mois la consommation de certains poissons d’eau douce (anguille, barbeau, brème, carpe, silure), de limiter les poissons prédateurs sauvages (lotte, bar, bonite, flétan, brochet, dorade, raie, thon…), d’éviter l’espadon, le marlin, le requin et la lamproie.
Par ailleurs, il est nécessaire pour ces personnes d’éviter la consommation de poissons crus ou insuffisamment cuits et de poissons fumés.

Des conseils alimentaires pour la population en général

Concernant la population générale, voici les conseils de l’Anses :
Tout d’abord, il est recommandé de varier les espèces et les lieux d’approvisionnement et de consommer 2 portions de poissons par semaine, en alternant poisson gras qui est à forte teneur en oméga 3 et à longue chaîne (saumon, sardine, maquereau, hareng, truite fumée, rouget, anchois, bar, turbo, flétan, éperlan, brochet, dorade, truite) et poisson maigre (thon en conserve, colin, cabillaud, merlan, sole, Julienne, raie, merlu, lotte, carrelet, limande).
Il est aussi conseillé de limiter à 2 fois par mois la consommation de poissons d’eau douce fortement bio-accumulateurs (anguille, barbeau, brème, carpe, silure).
Dernière précaution concernant la préparation : cuire à cœur le poisson de mer frais et en cas de consommation de poisson cru, le congeler pendant 7 jours avant de le consommer.


Source de l'articleQuels poissons privilégier dans son alimentation ? (passeportsante.net)


#coeur #maladies #cardiovasculaires #alimentation
par Heartdrake
le Mar 15 Fév 2022 - 16:50
 
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Sujet: Quels poissons privilégier dans son alimentation ?
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Le céleri, bon contre l’hypertension

Tendre et croquant à la fois, le céleri est un légume diurétique réputé pour sa faible teneur en calories (6 calories pour une branche moyenne de céleri cru de 40 g et 14 calories pour 80 g de céleri bouilli et égoutté). Il doit son action diurétique à sa haute teneur en potassium (260 mg pour 100 g), contrebalançant sa haute teneur en sodium (80 mg pour 100 g).


Les polyacétylènes contenus dans le céleri pourraient empêcher la prolifération de plusieurs types de cellules cancéreuses, comme le suggère une étude1 réalisée en 2006. Bouilli et égoutté, il représente également une excellente source de vitamine K et une bonne source de vitamine B6.


Le céleri peut être consommé cru en collation, en salade, en jus avec des tomates et des carottes, cuit dans des soupes, des sauces, ragoûts, quiches ou encore des jardinières de légumes. La richesse en sodium du céleri, équilibrée par sa haute teneur en potassium, en fait un aliment salé intéressant pour les personnes souffrant d’hypertension et dont la consommation de sel doit être limitée2.


Source de l'articleLes qualités diurétiques du céleri (passeportsante.net)


#coeur #hypertension #alimentation
par Heartdrake
le Mar 8 Fév 2022 - 17:48
 
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Sujet: Le céleri, bon contre l’hypertension
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Le brocoli pour réduire les risques cardiovasculaires

Grâce à sa haute teneur en minéraux comme le magnésium (21 mg pour 100 g) et le potassium (316 mg pour 100 g), le brocoli est un légume diurétique.


Il renferme beaucoup de vitamine C – qui possède de fortes propriétés antioxydantes – et de vitamine K. Consommé au moins quelques fois par semaine, ce légume serait associé à un risque plus faible de cancer colorectal, de l’estomac, du poumon, de la prostate et même du sein chez la femme préménopausée. 


Il contribuerait également au maintien d’une bonne santé cardiovasculaire et est même recommandé chez les diabétiques de type 2 pour augmenter leur concentration de bon cholestérol et réduire les taux de triglycérides et de mauvais cholestérol1.


Le brocoli peut se consommer cru ou cuit, en salade, en soupe ou encore intégré dans une omelette, une quiche ou autre préparation salée. Pour profiter au mieux de ses bienfaits, il est préférable de le consommer cru ou légèrement cuit.


Source de l'article Du brocoli dans l'assiette pour la santé cardiovasculaire (passeportsante.net)

#coeur #maladies #cardiovasculaires #alimentation
par Heartdrake
le Mar 8 Fév 2022 - 17:44
 
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Sujet: Le brocoli pour réduire les risques cardiovasculaires
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Comment faire le plein d'oméga 3 ?

On entend souvent parler des acides gras oméga-3, indispensables au bon développement et au fonctionnement de notre corps. Notre organisme n'en produit pas naturellement, mais peut néanmoins en fabriquer grâce à notre alimentation.
Notre organisme fabrique des oméga-3 à partir d'un précurseur essentiel, l'acide alpha-linolénique (ALA), fourni par notre alimentation. D'autres acides gras oméga-3 peuvent être synthétisés par le corps à partir de l'ALA : les acides eïcosapentaènoïque (EPA) et docosahexaènoïque (DHA). 

Quels sont les bienfaits des oméga-3 ?

Ces constituants des membranes cellulaires interviennent notamment dans :  l’immunité, la reproduction, le métabolisme, l’activité neuronale...
Des apports adéquats contribuent certainement à prévenir les maladies cardiovasculaires, la dégénérescence liée à l’âge (DMLA), les maladies neurodégénératives, probablement, certains cancers (comme celui du sein, de la prostate et du côlon) et le diabète.
Ils améliorent aussi les fonctions cérébrales. L’EPA et le DHA joueraient un rôle dans le fonctionnement cérébral chez le sujet adulte et au cours du vieillissement et suggèrent un effet positif sur le maintien de la santé mentale (dépression, démence dont maladie d’Alzheimer). 
Des apports suffisants en oméga-3 sont donc primordiaux chez la femme en âge de procréer, chez la femme enceinte, chez la femme allaitante ainsi que chez l’enfant.

Les oméga-3 au secours de la dépression

Au Royaume-Uni, des chercheurs de l'Institut national de recherche en santé (NIHR) ont évalué les effets de fortes doses d’acides gras polyinsaturés d’oméga-3 (EPA et de DHA) qui se trouvent dans le poisson gras. Objectif ? Comprendre comment ils réduisent l'inflammation et la dépression. Cette nouvelle approche (résultats publiés en juin 2021) a permis d'identifier un mécanisme moléculaire capable d’éclairer le développement de nouveaux traitements potentiels impliquant des acides gras oméga-3 pour les patients souffrant de dépression.

L'étude a évalué vingt-deux patients souffrant de dépression majeure qui ont reçu 3 grammes d'EPA ou 1,4 gramme de DHA par jour pendant douze semaines. Dans les deux groupes de patients, le traitement à l'EPA ou au DHA a été associé à une augmentation de leurs métabolites respectifs et à une amélioration significative des symptômes dépressifs. Ces conclusions ont été publiées dans Molecular Psychiatry.

L’oméga-3, un allié contre le vieillissement ?

D'autres études suggèrent qu’une supplémentation quotidienneen oméga-3 peut aider à ralentir les effets du vieillissement en renforçant la protection au niveau cellulaire pendant et après un événement stressant.  Précisément, une dose de 2,5 grammes aiderait le corps humain à résister aux effets néfastes du stress, selon une étude publiée dans la revue Molecular Psychiatry  en avril 2021.

Les personnes supplémentées ont ainsi produit moins de cortisol (l’hormone du stress) et avaient des niveaux inférieurs d'une protéine pro-inflammatoire lors d'un événement stressant en laboratoire. Les suppléments ont contribué à ce que les chercheurs appellent la résilience au stress : réduction des dommages pendant le stress et, après un stress aigu, une activité protection des composants cellulaires qui rétrécissent en raison du vieillissement. Les effets anti-âge potentiels ont été jugés particulièrement frappants, car ils se sont produits chez des personnes en bonne santé mais aussi sédentaires, en surpoids et d'âge moyen.

Cancer du sein : les régimes maternels riches en oméga-3 peuvent protéger la progéniture


Selon une étude publiée en juin 2021, les bienfaits protecteurs des oméga-3  contre le cancer pourraient être plus importants que ce l'on pensait. Des chercheurs de l'Université Marshall ont constaté qu’une alimentation maternelle riche en acides gras oméga-3 protégeait également contre le développement du cancer du sein chez les enfants. Ces conclusions ont été publiées par Frontiers in Cell and Developmental Biology.

Augmenter l'espérance de vie ?

Selon une étude publiée dans l'American Journal of Clinical Nutrition, le manque d'oméga-3 dans l'alimentation peut raccourcir la vie encore plus que le tabagisme. Les scientifiques ont découvert que fumer réduisait de quatre ans l'espérance de vie, tandis que de faibles niveaux d'acides gras pouvaient la réduire de cinq ans. L'étude a utilisé les statistiques de la Framingham Heart Study (FHS), l'une des plus longues études au monde.

"Il est intéressant de noter qu'au Japon, où l'indice moyen d'oméga-3 est supérieur à 8 %, la durée de vie attendue est d'environ cinq ans de plus qu'aux États-Unis, où l'indice moyen d'oméga-3 est d'environ 5 %", résume le chercheur principal de l'étude, le Dr Michael McBurney, de l'Université de Guelph au Canada. Avant d’ajouter : "Par conséquent, dans la pratique, les choix alimentaires qui modifient l'indice oméga-3 peuvent prolonger la vie".

Au regard de cette étude, le tabagisme et l'indice oméga-3 semblent être les facteurs de risque les plus facilement modifiables.

Quelle quantité d'oméga-3 par jour ?

L’homme transforme l’ALA en EPA et DHA, mais trop peu. Il faut donc prêter une attention particulière à son alimentation.

  • ALA. 1 % de l’apport énergétique quotidien, soit environ 2 g/jour.
  • EPA. 250 mg pour la population générale, 500 mg chez les femmes enceintes ou allaitantes.
  • DHA. 250 mg pour la population générale, 500 mg chez les femmes enceintes ou allaitantes.

Faut-il prendre des suppléments d'oméga-3 ?

Pour l’ALA, il suffit d’utiliser chaque jour une huile végétale qui en est riche et de compléter avec des oléagineux : 1 c. à s. (10 g) d’huile de colza + 1 noix par exemple.
Ceux en EPA et DHA sont couverts avec du poisson 2 fois par semaine dont 1 fois du poisson gras.

"Lorsqu’on ne consomme pas ou peu de poissons, prendre des compléments alimentaires à base d’huiles de poisson est préférable", indique le Pr Legrand.

Mais rien ne sert de se supplémenter si on en mange chaque semaine : des apports en oméga-3 supérieurs aux besoins n’ont aucun bénéfice supplémentaire.

Quels sont les aliments riches en oméga 3 ?

Le précurseur, l’ALA, est présent dans certains végétaux (oléagineux, microalgues, soja, etc). Consommé par les animaux et certaines algues, il est transformé en EPA et DHA que l’on trouve dans les poissons, les viandes et les oeufs.

Hareng, sardine, saumon, rouget…

Les poissons les plus riches en oméga 3 sont le hareng, la sardine, le thon, le saumon et le maquereau mais aussi le rouget ou le flétan. Pensez par exemple à réaliser une pizza composée de deux poissons différents. Parsemez vos salades avec des petites sardines coupées en tranche ou encore servez en apéritif des blinis de saumon fumé avec un zeste de citron parsemé de quelques graines d'anis.

Quels légumes et légumineuses pour faire le plein d’oméga-3 ?

Certains légumes sont naturellement riches en oméga-3. Encore une fois, il est essentiel de varier les différents apports.  Essayez de consommer deux portions de légumes à feuilles vertes comme le brocoli, les épinards, la laitue, le mesclun, la roquette, le chou ou le pourpier.

N'hésitez pas non plus à réintroduire dans votre quotidien les légumineuses : les lentilles, les haricots rouges ou blancs, les fèves de soja sont excellentes en salade par exemple. Pour éviter les flatulences provoquées parfois par ces aliments, faites-les tremper une nuit avant de les faire cuire à feu doux.

Miser sur les fruits secs

Contrairement à l'huile de noix qui est un peu trop riche en oméga-6, la noix contient plus d'oméga-3. Elle est également source de protéinesfibres, minéraux et magnésium, tout comme l'amande. Il y a aussi les noix de cajou, les pistaches, les noisettes.
Ces fruits secs peuvent être consommés au petit déjeuner par exemple, dans des salades composées, dans des gâteaux, des yaourts… Attention cependant aux allergies.

Quelles huiles pour faire le plein d’oméga-3 ?

Les huiles de lin, colza, noix, soja, et germe de blé, sont les aliments les plus concentrés en ALA. Il est préférable de les utiliser à froid et de varier les différentes huiles en fonction des goûts. N'hésitez pas à la mélanger avec de l'huile d'olive, riche en oméga-6 et oméga 9.
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Source de l'articleAcides gras oméga 3 : sources, bienfaits, recommandations | Santé Magazine (santemagazine.fr)


#coeur #maladies #cardiovasculaires #alimentation
par Heartdrake
le Sam 5 Fév 2022 - 9:07
 
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Sujet: Comment faire le plein d'oméga 3 ?
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Cholestérol trop élevé : faut-il s’inquiéter ?

Votre prise de sang a souligné une hypercholestérolémie (taux de cholestérol sanguin trop élevé). Que faut-il en penser ? Devez-vous vous inquiéter ? Que pouvez-vous faire pour y remédier ? Partons à la rencontre de ce "bourreau des coeurs".

Pour bien comprendre ce qu'est le cholestérol


Article rédigé par Catherine Conan, diététicienne


Réhabilitons le cholestérol car c’est une substance indispensable à la vie. En effet, à dose normale, il participe à la fabrication des cellules du cerveau, du cœur, de la peau, etc., de certaines hormones dont les hormones sexuelles, à la synthèse de la vitamine D nécessaire à la fixation du calcium sur les os. Mais attention : il y a cholestérol et cholestérol.

Le cholestérol total dans le sang, qui est transporté sous forme de lipoprotéines, est la somme du cholestérol HDL (High Density Lipoprotein) ou « bon cholestérol », et du cholestérol LDL (Low Density Lipoprotein) ou « mauvais cholestérol ».

Les lipoprotéines LDL assurent le transport et la distribution du cholestérol à toutes les cellules de l’organisme. En excès, elles favorisent la formation de la plaque d’athérome (athérosclérose). Quant aux HDL, elles sont bénéfiques car elles font le chemin inverse en prenant en charge le trop plein de cholestérol dans les cellules vers le foie. Les lipoprotéines HDL protègent par conséquent la santé cardio-vasculaire.

Un taux de cholestérol HDL trop bas ou un taux de cholestérol LDL trop élevé expose à une maladie coronarienne (= du coeur).

Qu’est-ce qui influence la cholestérolémie ?


  • Les facteurs génétiques comme l’hypercholestérolémie familiale (cas assez rare) ;

  • Une alimentation déséquilibrée affichant un excès d’apport en acides gras saturés ;

  • Les apports alimentaires en cholestérol. Cependant, il faut savoir que la majeure partie du cholestérol de notre organisme est fabriqué par le foie ;
  • Les variations individuelles. Si pour certains, une alimentation riche en cholestérol induit des mécanismes régulateurs pour lutter contre l’augmentation excessive du taux de cholestérol sanguin, pour d’autres, il est beaucoup plus difficile d’équilibrer spontanément la synthèse de cholestérol au niveau du foie et les apports alimentaires.

Quel est le taux de cholestérol idéal ?


La cholestérolémie idéale chez la femme comme chez l’homme est de 1,80 à 2 g/l. Cependant, elle est à nuancer en fonction de l’âge et du sexe mais aussi des taux de cholestérol HDL (= bon cholestérol) et des triglycérides. Sachez que les femmes affichent un meilleur taux de LDL-cholestérol (= mauvais cholestérol) que les hommes car elles sont protégées par leurs hormones jusqu’à la ménopause.

Pour décider de la conduite à tenir, il faut se baser sur le taux de LDL-cholestérol et savoir s’il existe des facteurs de risque. Par exemple, en l’absence de risque, le taux de LDL doit être inférieur à 2,2 g/l. En revanche si vous présentez des antécédents d’infarctus du myocarde et de diabète de type 2, votre taux de LDL doit impérativement être inférieur à 1,6 g/l selon les recommandations françaises de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé de 2005.

Les risques de l’hypercholestérolémie


La cholestérolémie est considérée comme acceptable entre 2 et 2,50 g/l et trop élevée au-delà de 2,50 g/l. L'hypercholestérolémie est le mal du siècle puisqu’1 personne sur 5 en France est concernée par cette maladie si l’on en croit le Bulletin épidémiologique hebdomadaire N°31 du 24 septembre 2013. D'après Santé Canada, plus de 40 % des Canadiens âgés de 20 à 79 ans ont un taux de cholestérol total nuisible à la santé. Mais un taux excessif de cholestérol est-il inquiétant pour autant ?


Le cholestérol en excès se dépose dans la paroi des artères, notamment sur celles du cœur ce qui les obstrue, diminue l’apport de sang au muscle cardiaque (angine de poitrine) et favorise la formation d’un caillot (= thrombose) à l’origine d’un infarctus du myocarde. L’hypercholestérolémie est l’un des principaux facteurs de risque des maladies coronariennes avec le tabac et l’hypertension artérielle mais… ce peut être réversible. Sachez qu’une baisse de 1% du cholestérol réduit le risque cardio-vasculaire de 2% ! Il est inutile de paniquer mais essentiel d’intervenir en apprenant à contrôler votre taux sanguin de cholestérol total, ainsi que HDL et le LDL-cholestérol.


Source de l'articleTaux de cholestérol trop élevé : quels sont les risques ? (passeportsante.net)


#coeur #infarctus #maladies #cardiovasculaires #alimentation #cholestérol



par Heartdrake
le Ven 21 Jan 2022 - 18:27
 
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Sujet: Cholestérol trop élevé : faut-il s’inquiéter ?
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Les bienfaits des agrumes

Originaires d’Asie orientale, les agrumes sont les fruits de certains arbustes fruitiers tels que l’oranger ou le citronnier. Ils représentent le groupe de fruits le plus cultivé au monde et ont pour particularité de se détacher en quartiers. Parmi eux, on peut citer les clémentines, les bergamotes, les limes ou encore les pomelos. Tous ont des bienfaits indéniables sur la santé.

DIMINUER LE RISQUE DE MALADIES CARDIO-VASCULAIRES

De nombreuses études ont démontré que la consommation d’agrumes était bénéfique pour la prévention des maladies cardio-vasculaires. Ces bienfaits seraient attribués à certains composés : les flavonoïdes. Ces substances antioxydantes réduiraient les taux de cholestérol1 et de triglycérides sanguins2, préviendraient le processus menant à l’athérosclérose (dépôt de plaques sur les artères) et favoriseraient la vasorelaxation artérielle.
Une étude a montré que la consommation régulière de mandarines améliorait sensiblement  le bilan lipidique sanguin3. La vitamine C contenue dans les agrumes participerait également à ce phénomène4.

PRÉVENIR CERTAINS CANCERS

Les agrumes renferment d’autres substances antioxydantes, parmi lesquelles les limonoïdes qui pourraient diminuer la prolifération des cellules cancéreuses5-6. On retrouve ces composés principalement dans les pépins, mais aussi dans la pelure et la pulpe des agrumes.
Des études ont montré la pertinence d’une consommation d’agrumes (de 1 à 4 portions par semaine) dans la prévention de certains types de cancers7-10, comme ceux de l’œsophage, de l’estomac, du côlon, de la bouche et du pharynx.

AMÉLIORER LA SANTÉ OSSEUSE

Selon plusieurs études, la bêta-cryptoxanthine, un pigment contenu dans les agrumes, et plus particulièrement dans la mandarine et la clémentine, pourrait améliorer la minéralisation osseuse11 et réduire le risque d’ostéoporose12. Ces bienfaits restent néanmoins encore à démontrer chez l’homme, la plupart des essais ayant été réalisés sur des animaux.

FREINER LA GLYCÉMIE

De manière générale, les agrumes sont riches en fibres solubles, et notamment en pectine que l’on retrouve au niveau de la pelure et la membrane blanche autour de la chair (que l’on nomme l’albedo).  Ces fibres, qui forment un gel lorsqu’elles sont mélangées à l’eau, ralentiraient l’absorption des glucides et diminueraient la sécrétion d’insuline13.

Elles favoriseraient un contrôle relatif de la glycémie, en particulier chez les personnes diabétiques, et prolongeraient la sensation de satiété.




par Heartdrake
le Sam 1 Jan 2022 - 11:58
 
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Sujet: Les bienfaits des agrumes
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Que manger aux repas de fêtes quand on souffre d'hypertension ?

Les personnes qui souffrent d’hypertension sont particulièrement à risque pendant la période des fêtes à cause de repas copieux très riches et des excès d’alcool. Voici quelques astuces alimentation pour préserver sa santé cardiaque tout en profitant de l'esprit des fêtes de Noël. 
Les fêtes sont souvent un moment de l’année à la fois joyeux et stressant, arrosé d’alcool et agrémenté d'un lot de mets appétissants. Le soir du réveillon est peut-être agréable pour notre moral, mais peut mettre à mal notre santé cardiaque, surtout chez les personnes à risque. 

Menu de fêtes : quels sont les aliments qui font monter la tension artérielle ?

L’hypertension artérielle (HTA) désigne une augmentation de la pression du sang dans les artères. Mal soignée, elle peut être à l'origine de maladies cardiovasculaires, accidents vasculaires cérébraux (AVC)infarctus...
Certaines habitudes alimentaires favorisent l’hypertension, c'est notamment le cas d'une consommation excessive de sel, de sucre, d'alcool ou de graisses animales. Pendant les fêtes, ces produits que l'on retrouve très facilement dans nos assiettes peuvent être remplacés par d'autres aliments moins nocifs pour la santé cardiaque.
Que vous soyez en train de préparer les festivités, ou que vous soyez invité à vous joindre à la table de votre famille, limiter les aliments qui font monter la tension artérielle est tout à fait possible. Pour manger, boire et vous amuser sans obstruer vos artères et sans stresser votre cœur, suivez ces conseils.

Limiter le sucre ajouté à l'alimentation

Les biscuits, gâteaux et autres sucreries qui nous entourent à cette période de l’année sont des tentations constantes. Difficile dans ces conditions de limiter la consommation d’aliments contenant des sucres ajoutés. Or, ce type de nourriture est associé à une augmentation de la tension artérielle, ainsi qu’à une hausse des risques de crise cardiaque et d’AVC.
Pensez à préparer vos propres desserts lorsque c’est possible. Une réduction de 25% de sucre de la plupart des recettes ne changera pas vraiment le goût. Vous pouvez également remplacer une partie du sucre de vos recettes par une banane mûre réduite en purée. Deux cuillerées à soupe de banane remplacent une cuillerée à soupe de sucre, d’après le site Consumer Reports (source 1).


Source de l'article -20211222&M_BT=17059782434867]Repas de fêtes et hypertension : comment protéger son cœur ? | Santé Magazine (santemagazine.fr)

#hypertension #alimentation
par Heartdrake
le Mer 22 Déc 2021 - 14:10
 
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Sujet: Que manger aux repas de fêtes quand on souffre d'hypertension ?
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Nous avalons plus de 4 kilos d'additifs par an

Nous avalons beaucoup d'additifs. Or sur les 338 autorisés, 90 sont « problématiques » selon une enquête réalisée par LaNutrition.fr. Leur consommation devrait être limitée. Les aliments ultra-transformés sont les principaux pourvoyeurs d’additifs.

Qu’est-ce qu’un additif ?

Définition


Selon la définition de l’autorité européenne des aliments (EFSA), "les additifs alimentaires sont des substances ajoutées intentionnellement aux denrées alimentaires pour remplir certaines fonctions technologiques, par exemple pour colorer, sucrer ou aider à conserver les aliments".
Dans l'Union européenne, tous les additifs alimentaires sont identifiés par un E suivi d’un numéro. Les additifs alimentaires doivent figurer dans la liste d' ingrédients des aliments dans lesquels ils sont utilisés. Les additifs les plus courants apparaissant sur les étiquettes alimentaires sont les antioxydants (pour éviter la détérioration causée par l'oxydation), les colorants, les émulsifiants, les stabilisants, les gélifiants et les épaississants, les conservateurs et les édulcorants.

L’histoire des additifs


Les additifs alimentaires ont été introduits au début du vingtième siècle, pour répondre aux demandes des industriels de l’agro-alimentaire qui souhaitaient que leurs produits se conservent plus longtemps, qu’ils aient meilleur aspect ou un meilleur goût. Comme le rappelle Deborah Blum, auteure du livre The Poison Squad, on a ajouté de la craie au pain, du borax à une variété d’aliments, de la strychnine pour rendre la bière plus amère et du formaldéhyde au lait et à la viande pour les conserver ! Les consommateurs, écrit Deborah Blum, ont cru que les aliments leur parvenaient directement des exploitations agricoles, purs et non altérés. Ce n'était malheureusement pas du tout vrai.
En 1903, un chimiste du nom de Harvey Wiley, commissionné par le ministère de l'agriculture des USA, publie un premier compte-rendu des effets sur la santé d’additifs couramment utilisés en Amérique du Nord et en Europe. Il a pour cela fait ingurgiter ces substances à des volontaires. Beaucoup sont tombés malades. Wiley en conclut que le borax, l'acide borique, l'acide salicylique, l'acide benzoïque, les benzoates, le formaldéhyde, l'acide sulfurique et les sulfates sont dangereux lorsqu’ils sont ajoutés aux aliments. L’industrie agro-alimentaire américaine tentera de salir la réputation de Wiley, avant de payer des parlementaires pour légaliser les substances en cause, mais en vain. Les aliments retrouvent leur naturalité, mais pour un temps seulement.

Les additifs répondent aux besoins des industriels, pas des consommateurs


« L’usage des additifs, explique le Pr Jean-François Narbonne, toxicologue, s’est à nouveau généralisé après la guerre, de pair avec la transformation, toujours plus poussée, des aliments. »

C’est le début du règne des aliments ultra-transformés (AUT). La déconstruction (cracking) et le réassemblage des ces AUT entraînent une dégradation des textures et des saveurs, qu’il faut bien compenser. On recherche aussi la plus longue conservation possible et bien sûr le coût minimum : les additifs permettent de réduire les quantités d’ingrédients naturels plus onéreux.

Découvrir la suite de l'article : https://www.lanutrition.fr/nous-avalons-plus-de-4-kilos-dadditifs-par-an?utm_source=LN&utm_medium=email&utm_campaign=NewsMcdi-17112021


#alimentation #maladies #cardiovasculaires
par Heartdrake
le Mer 17 Nov 2021 - 13:12
 
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Sujet: Nous avalons plus de 4 kilos d'additifs par an
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Ghréline : La faim essentielle à la santé cardiométabolique ?

Des niveaux plus élevés d'hormone de la faim ghréline, à jeun, résultats d’une alimentation saine et "méditerranéenne", exempte de grignotages, peuvent en effet contribuer à améliorer la santé cardiaque et le métabolisme, concluent ces chercheurs de l'Université Ben-Gurion du Néguev (Israël) et de la Harvard T.H. Chan School of Public Health (Boston). L’étude, publiée dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism révèlent que les niveaux de ghréline -qui rebondissent après un jeûne ou une perte de poids- contribuent à réduire la graisse abdominale et à améliorer la sensibilité du corps à l’insuline. La ghréline ( et la faim) sont ainsi documentées, avec cette étude, comme un marqueur sensible de l’efficacité d’un régime alimentaire à réduire le risque cardiométabolique chez une personne en surpoids ou en hypercholestérolémie.

L’étude confirme accessoirement les bénéfices cardio-métaboliques du régime méditerranéen, un régime fortement associé à des niveaux élevés de ghréline à jeun.
La ghréline est une hormone dérivée de l'estomac qui stimule l'appétit. Les niveaux de ghréline augmentent pendant la nuit (jeûne nocturne) et chutent après un repas. La ghréline signale au cerveau le besoin de manger et semble également impliquée dans les voies cérébrales qui contrôlent le circuit de la récompense. Les niveaux de ghréline fluctuent tout au long de la journée, en fonction de l'apport alimentaire et du métabolisme de chacun.

Niveaux plus élevés de ghréline à jeun et risque réduit de maladies métaboliques

L'essai clinique mené sur 18 mois auprès de 294 participants souffrant d'obésité abdominale ou de dyslipidémie a suivi les niveaux de ghréline à jeun associés à 3 régimes avec restriction calorique : un régime suivant les directives alimentaires, le régime méditerranéen classique ou une version du régime méditerranéen à base de protéines végétales et sans viande rouge (régime vert-MED). Les repas ont été fournis durant l’étude à tous également invités à pratiquer régulièrement l'exercice. L’analyse constate que :
 

  • les régimes de restriction calorique induisent une élévation des taux de ghréline à jeun et que cette élévation de la ghréline à jeun est associée à une perte de graisse viscérale abdominale et à une amélioration de la sensibilité à l'insuline. Donc un risque réduit de développer un diabète ou d'autres troubles métaboliques ;
  • les participants ayant suivi le régime méditerranéen sans viande rouge présentent une élévation des niveaux de ghréline à jeun 2 fois plus élevée que les participants qui ont suivi un régime méditerranéen plus traditionnel ou une alimentation saine et équilibrée ; cela suggère un nouvel avantage pour la santé métabolique, du régime méditerranéen.

 
Les niveaux de ghréline à jeun, un marqueur précieux de santé cardiométabolique après une perte de poids : « L'élévation des niveaux de ghréline à jeun peut expliquer comment le régime méditerranéen vert a optimisé le microbiome, réduit la graisse du foie et amélioré la santé cardiométabolique plus que les autres régimes testés », conclut l’auteur principal, Iris Shai de la Ben-Gurion University.
 
La ghréline à jeun apparaît ainsi comme un facteur hormonal essentiel dans la récupération de la sensibilité à l'insuline et la régression de l'adiposité viscérale associée au régime alimentaire ; et l’élévation des niveaux de ghréline à jeun, apparaît un bon marqueur de l’efficacité d’un régime alimentaire à réduire le risque cardiométabolique.

Source de l'article : https://www.santelog.com/actualites/ghreline-la-faim-essentielle-la-sante-cardiometabolique


#coeur #alimentation #diabète
par Heartdrake
le Jeu 4 Nov 2021 - 10:16
 
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Sujet: Ghréline : La faim essentielle à la santé cardiométabolique ?
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6 conseils pour consommer moins de sel

Nous en consommons en moyenne 8 à 9 g par jour. Or, il ne faudrait pas dépasser 5 à 6 g, l’équivalent d’une cuillère à café ! Des idées faciles pour réduire nos apports.


Le sodium contenu dans le sel joue un rôle crucial : il aide à bien répartir l’eau dans le corps et à réguler la pression et le volume sanguin. Il est également essentiel au bon fonctionnement des muscles, dont le cœur, et au cheminement de l’influx nerveux. Mais point trop n’en faut ! L’excès favorise l’augmentation de la tension artérielle et le développement de maladies cardio-vasculaires. Manger très salé (10 g par jour) doublerait le risque d’infarctus ! 10 g, ça paraît énorme… Or, cette quantité est vite atteinte lorsque l’on abuse de produits industriels.

Traquez les sources cachées

Le sel que l’on ajoute en cuisinant ou à table représente 10 à 20 % de notre consommation. Vous pouvez le réduire aisément grâce aux herbes et aux épices. Celui à l’état naturel dans les aliments, c’est 5 à 10 %. Et, au vu des disparités, mieux vaut varier : par exemple, il y a 4 fois plus de sel dans le poisson que dans la viande, 0,6 g dans 100 g dans l’emmenthal contre 4 g dans le roquefort ! Le plus gros apport vient des aliments industriels. Aussi, limitez autant que possible les conserves, plats cuisinés, soupes déshydratées…, mais aussi croissants, biscuits, céréales, jus de légumes, eaux gazeuses, etc.

Variez les astuces saveur

Pour donner du goût, la diététicienne Véronique Liégeois propose de réduire les coulis de tomates avec une pointe de céleri, de piment ou d’ail. Idem pour les plats mijotés, type ratatouille, et les jus de cuisson. Vous pouvez aussi ajouter un peu de matière grasse – une huile d’olive fruitée sur une grillade ou un poisson au four, une noix de beurre au persil ou au basilic sur les pâtes, le riz ; ces derniers peuvent, par ailleurs, être cuits, dans de l’eau avec du thé matcha, conseille le Dr Laurent Chevallier, nutritionniste. Autre astuce : utiliser des algues en paillettes ou découpées en lanières dans des bouillons ou plats exotique

N’abusez pas du jambon

Selon l’Agence nationale de la sécurité sanitaire alimentaire (Anses), il faut s’en tenir à 25 g de charcuterie par jour… Soit à peine une tranche de jambon ! Privilégiez le blanc (2 tranches = 1 g de sel) au jambon cru, qui en apporte trois fois plus, tout comme le saucisson. Les versions affichant moins 25 % de sel valent le coup, encore faut-il ne pas en manger deux fois plus ! C’est surtout valable pour les grands amateurs de charcuterie, d’autant qu’il existe des rillettes ou des lardons également allégés en sel.

Comparez les étiquettes

Soyez vigilant avec l’allégation "X % de sel en moins". "Il faut savoir si ce pourcentage est calculé par rapport à la moyenne du marché ou à celle de produits similaires de la marque, signale Nathalie Hutter-Lardeau, nutritionniste. Donc, comparez les étiquettes". Autre piège : quand une étiquette mentionne sel de céleri, d’ail ou d’oignon, glutamate monosodique, sodium (benzoate de sodium, citrate de sodium, nitrate de sodium), bicarbonate de soude, poudre à pâte ou saumure, c’est aussi du sel !

Inspirez-vous du régime DASH

Destiné à prévenir l’hypertension, il prône une alimentation naturelle et peu transformée, qui limite les produits très salés (poissons fumés, plats préparés, conserves) et/ou très gras (charcuterie) ou très sucrés. L’accent est mis sur les aliments peu sodés (fruits, légumes, céréales complètes), les protéines végétales (issues des lentilles, soja, quinoa...), les aliments riches en fibres et en antioxydants. Chacun peut donc en tirer profit. Car pour avoir un véritable impact, la réduction du sel doit s’intégrer dans une démarche globale de mieux-être (manger sain, plus de sport). A lire : Le Meilleur régime du monde, éditions Leduc.s.

Faites le tri parmi tous les sels

Le sel, c’est 40 % de sodium et 60 % de chlorure. Certains produits visent à réduire la part de sodium qui, consommée en excès, nuit à l’organisme. Mais gare aux faux amis !
. Le sel de régime : c’est du chlorure de potassium et des additifs (exhausteurs de goût, acidifiants…), indispensables à sa texture, sa saveur et sa conservation. Vendu en pharmacies et magasins bio, il s’adresse aux personnes à qui on a prescrit un régime sans sel (hypertendus…).
. Les versions "green" : elles affichent un taux de sodium allégé et renferment d’autres minéraux (magnésium, calcium..), des herbes broyées, du poivre et/ou épices. Selon les marques, c’est moitié/moitié (Equilibre Cérébos, La Baleine Essentiel) ou un tiers/deux tiers (Losalt). A user sans en abuser. Ne pas confondre avec les sels de légume, qui ne renferment que 10 % de céleri en poudre par exemple, le reste étant… du sel marin et des additifs !
. Les nouveautés tendance : le sel rose de l’Himalaya (cristaux extraits de roches) ou noir d’Hawaii (2 % de charbon de lave) apportent autant de sodium que le sel de mer. Plus difficile à doser, le sel liquide (Posidonia Oceania), issu d’une plante verte sous-marine, en contient moins (8 %). Bémol : ils ne sont pas meilleurs pour la santé, d’autant qu’ils sont non iodés pour la plupart.

Source de l'article : https://www.femmeactuelle.fr/sante/alimentation-equilibree/6-conseils-pour-consommer-moins-de-sel-2076106


#sel #alimentation #maladies #cardiovasculaires
par Heartdrake
le Jeu 21 Oct 2021 - 8:56
 
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Sujet: 6 conseils pour consommer moins de sel
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Risque cardiaque : Consommer plus de végétaux vaut aussi pour les jeunes

Manger plus d'aliments végétaux peut réduire considérablement le risque de maladie et d’événements cardiaques, que ce soit chez les jeunes adultes ou chez les femmes plus âgées, soulignent ces 2 études publiées simultanément dans le Journal of the American Heart Association (JAHA). Au-delà des régimes mieux connus, le régime méditerranéen et le régime DASH, le régime « Portfolio » est ici mis en avant pour ses capacités de prévention du risque cardiaque chez les femmes ménopausées.

L’American Heart Association (AHA) recommande un régime alimentaire global sain riche en fruits et en légumes, en grains entiers, en produits laitiers allégés, en volaille et en poisson maigres, en noix et légumineuses et en huiles végétales « non tropicales ». Un tel régime avec une consommation très réduite de graisses saturées, de graisses trans, de sodium, de viande rouge, de sucreries et de boissons sucrées très proche du régime méditerranéen.
 
Ces 2 analyses révèlent que les jeunes adultes et les femmes ménopausées réduisent considérablement leur risque de crise cardiaque et plus largement de maladie cardiovasculaire avec un apport plus élevé de végétaux.

Manger des aliments végétaux est bon pour le cœur à tout âge.

Les végétaux sont bénéfiques à la santé cardiaque des jeunes adultes

  • La 1ère étude évalue si la consommation à long terme d'un régime centré sur les végétaux ou si le passage à un régime centré sur les végétaux dès l’âge jeune adulte sont associés à une réduction du risque de maladie cardiovasculaire à la quarantaine. C’est l’une des rares études à avoir regardé ce type d’association avec un régime alimentaire globalement centré sur les plantes et non pas avec des apports spécifiques de certains végétaux ou aliments, précise l’auteur principal, le Dr Yuni Choi, chercheur en épidémiologie et en santé communautaire à l'Université du Minnesota (Minneapolis).

 
L'équipe a suivi le régime alimentaire et l’incidence des maladies cardiaques chez 4.946 adultes participants à l'étude CARDIA (Coronary Artery Risk Development in Young Adults), âgés de 18 à 30 ans à l’inclusion et exempts alors de maladie cardiovasculaire. Les participants ont subi 8 évaluations de santé durant le suivi et leurs facteurs de mode de vie ont également été renseignés. Contrairement au principe des essais contrôlés randomisés, les participants n'avaient aucune consigne alimentaire et n'étaient pas informés des données de santé recueillies au cours du suivi. La qualité de leur régime alimentaire a été notée sur la base du score (APDQS : A Priori Diet Quality Score), basé sur 46 groupes d'aliments classés en :
 

  1. aliments bénéfiques (fruits, légumes, haricots, noix et grains entiers) ;
  2. aliments indésirables (frites, viande rouge riche en graisses, collations salées, pâtisseries et boissons gazeuses) ;
  3. aliments neutres (pommes de terre, céréales raffinées, viandes maigres, crustacés…).

 
Un score de qualité alimentaire plus élevé étant associé à des apports plus élevés d'aliments bénéfiques et, globalement, plus élevés d’aliments végétaux.
 

  • Au cours des 32 années de suivi, 289 des participants ont développé une maladie cardiovasculaire (crise cardiaque, AVC, insuffisance cardiaque, douleurs thoraciques liées au cœur ou artériopathies) ;
  • après prise en compte des facteurs de confusion possibles dont l'âge, le sexe, l’ethnie, les apports caloriques moyens, le niveau d’études, les antécédents familiaux de maladie cardiaque, le tabagisme et la pratique de l’activité physique, les personnes à score alimentaire parmi les 20 % les plus élevés bénéficient d’une réduction de 52 % du risque de maladie cardiovasculaire ;
  • lorsque les participants étaient âgés de 25 à 50 ans, ceux qui ont le plus amélioré la qualité de leur alimentation avec en particulier des apports plus élevés d'aliments végétaux bénéfiques et réduits de protéines animales ont un risque réduit de 61 % de troubles cardiovasculaires ;
  • peu de participants étaient végétariens, l'étude n'a donc pas évalué précisément les avantages d'un régime végétarien strict excluant tout produit d'origine animale, dont la viande, les produits laitiers et les œufs.

 
Un régime riche en nutriments et centré sur les plantes, mais pas nécessairement strictement végétarien est donc très bénéfique pour la santé cardiovasculaire. Le choix d’aliments frais et naturels, non transformés, avec de temps en temps quelques produits d'origine animale dont la volaille maigre non frite, le poisson non frit, les œufs et les produits laitiers allégés suffit déjà à limiter le risque cardiovasculaire.
 
Enfin les chercheurs rappellent le caractère observationnel de l’étude qui ne démontre pas la relation de cause à effet entre l'alimentation et la maladie cardiaque- mais qui, en complément de nombreuses autres études menées sur le sujet, vient confirmer sa forte probabilité.
 
Le régime « Portfolio » bénéfique à la santé cardiaque des femmes ménopausées

  • La deuxième étude, menée à l'Université Brown (Providence) est une analyse de données de la cohorte prospective de la Women's Health Initiative (WHI) qui a regardé si un régime riche en aliments à base de plantes, déjà connu pour pour abaisser le « mauvais » cholestérol (un régime nommé « Portfolio ») est bien associé à une réduction des événements cardiovasculaires chez un grand groupe de femmes ménopausées. Cette étude suit 2 précédents essais randomisés ayant déjà démontré que l’observance élevée de ce type de régime permet une réduction significative du « mauvais » cholestérol (LDL-C), et de manière plus marquée qu'un régime traditionnel allégé en graisses saturées.

 
Le « régime Portfolio » comprend des noix, des protéines végétales de soja, des haricots ou du tofu, des fibres d'avoine, d'orge, de gombo, d'aubergine, d'oranges, de pommes et de baies, des stérols végétaux provenant d'aliments enrichis et les graisses monoinsaturées présentes dans l'huile d'olive et de canola et dans les avocats. Ce régime implique également une consommation très limitée de graisses saturées et de cholestérol alimentaire.
 
L'étude a suivi durant plus de 15 ans 123.330 femmes ménopausées, âgées en moyenne de 62 ans à l’inclusion et exemptes alors de maladie cardiovasculaire. Les participants ont renseigné leur régime alimentaire par questionnaire, ce qui a permis d’apprécier leur degré d’adhésion au régime portfolio. Cette analyse révèle que vs les femmes qui suivent moins le régime Portfolio, celles qui y adhèrent fortement présentent :
 

  • un risque réduit de 11% de développer une maladie cardiovasculaire ;
  • un risque réduit de 14% de maladie coronarienne ;
  • un risque réduit de 17% d’insuffisance cardiaque.
  • aucune association n’est identifiée entre l’adhésion au régime Portfolio et la survenue d'un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'une fibrillation auriculaire (FA).

 
L’étude suggère que des apports plus importants de végétaux hypocholestérolémiants et l’adhésion au régime Portfolio permettent une réduction du risque d’événements cardiovasculaires, ici chez les femmes ménopausées, mais peut-être au sein d’autres groupes de population…
 
L’alimentation apparaît à nouveau, avec ces 2 grandes analyses comme une composante essentielle de la santé que ce soit à l’âge jeune adulte ou plus tard dans la vie. Alors que les maladies cardiaques constituent la première cause de mortalité dans le monde, encourager et favoriser l’accès aux fruits et aux légumes frais et plus largement aux aliments non transformés doit faire partie des priorités en matière de prévention et de santé publique.

Source de l'article : https://www.santelog.com/actualites/risque-cardiaque-consommer-plus-de-vegetaux-vaut-aussi-pour-les-jeunes


#coeur #crise #cardiaque #alimentation
par Heartdrake
le Ven 24 Sep 2021 - 11:28
 
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Sujet: Risque cardiaque : Consommer plus de végétaux vaut aussi pour les jeunes
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Nutrition : les bons aliments de l'été pour prendre soin de son cœur

Le contenu de votre assiette joue un rôle clé dans la prévention cardiovasculaire. Voici comment vous assurer une protection optimale !


Des graisses de qualité


Pas question de supprimer les graisses de notre alimentation : notre organisme en a besoin pour fonctionner et elles sont bénéfiques pour notre cœur. À condition toutefois de bien les choisir !

Ainsi, les acides gras omega-3 sont dits essentiels, car l’organisme ne sait pas les fabriquer et ils doivent alors être apportés par l’alimentation. Ils ont un effet anti-inflammatoire, ils agissent favorablement sur la tension artérielle et le taux de triglycérides, augmentent le bon cholestérol (protecteur de votre cœur) et fluidifient le sang, ce qui limite la formation de caillots.

Les acides gras omega-9 ont également des bienfaits sur la prévention des maladies cardiaques et une action anticholestérol, anti-hypertension et anti-inflammatoire.

Où les trouver ?


Les omega-3 sont surtout présents dans les poissons gras (hareng, saumon, sardines, thon, maquereau, anchois), les fruits de mer, (crevettes roses, encornets, poulpes…), les huiles de poisson (huile de foie de morue) dans certaines huiles végétales (colza, noix, lin), les oléagineux (graines de lin et chia à broyer avant de les consommer, noix), les œufs bio (issus de poules nourries aux graines de lin), les algues.

Les omega-9 sont notamment présents en grande quantité dans l’huile d’olive.

Des fibres irremplaçables


En freinant l’absorption du sucre et des graisses, les fibres favorisent l’élimination du mauvais cholestérol. Elles permettent aussi de limiter la production du cholestérol par le foie. Des qualités indéniables pour une bonne santé cardiovasculaire. Sans compter qu’en rassasiant davantage, les fibres favorisent la perte de kilos en trop, néfastes pour le cœur et les vaisseaux sanguins.

Où les trouver ?


Principalement dans les fruits (y compris la peau des pommes), les légumes frais et secs (notamment les haricots et les pois), les céréales (avoine, orge, seigle, blé), les oléagineux (amandes).

Le modèle méditerranéen


Plusieurs études scientifiques ont démontré les bénéfices du régime méditerranéen, notamment comme étant le plus protecteur vis-à-vis des maladies cardiovasculaires. Il comprend en effet beaucoup de fibres, de bonnes graisses et des composés antioxydants apportés par les fruits et les légumes, qui luttent contre l’oxydation du cholestérol dans le sang et la formation de plaques d’athérome dans les artères.

Il consiste à manger beaucoup de fruits et légumes, des herbes, des épices, de l’ail et de l’oignon, des céréales, des légumineuses, des amandes et des noix, de l’huile d’olive ; un peu de poisson, de produits laitiers fermentés issus de lait de chèvre et de brebis (yaourt et fromage blanc), de vin rouge et des œufs ; peu de viande.

D’autres bons amis


La présence de flavonoïdes, pigments antioxydants, a des effets très bénéfiques sur le cœur. C’est notamment le cas pour :


  • Le chocolat noir à 70 % minimum.

  • Le vin rouge, dans la limite d’un verre ou deux verres.

  • Le thé vert ou noir à raison de deux ou trois tasses par jour.


Un ennemi sous-estimé


Consommé en excès, le sel fait grimper la tension artérielle, elle-même à l’origine de maladies cardiovasculaires. La recommandation est de 5 g par jour pour un adulte, soit un peu moins d’une cuillerée à café. Une quantité trop souvent dépassée… Principalement en cause : les aliments contenant du sel caché (plats préparés, fromages, charcuteries, biscuits apéritifs…), et les plats à nouveau salés une fois à table. Pour diminuer la consommation, cuisinez autant que possible et laissez la salière dans le placard pendant les repas.

Source de l'article : https://www.maxi-mag.fr/sante/actualite/nutrition-les-bons-aliments-de-lete-pour-prendre-soin-de-son-coeur.html


#coeur #alimentation
par Heartdrake
le Ven 27 Aoû 2021 - 9:06
 
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Sujet: Nutrition : les bons aliments de l'été pour prendre soin de son cœur
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Maladies cardiovasculaires, cholestérol : consommer ce fruit de saison réduirait les risques

Les bienfaits des fruits sur la santé ne sont plus à prouver. Et si l'un d'entre eux pouvait aider à lutter contre les maladies cardiovasculaires ? C'est ce que suggère une nouvelle étude américaine. Découvrez de quel fruit il s'agit.

17,7 millions. C’est le nombre de décès imputés aux maladies cardiovasculaires selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Pour prévenir ces pathologies, il est notamment essentiel d’adopter une alimentation variée et équilibrée. Un aliment en particulier pourrait réduire le risque de maladies cardiovasculaires, selon une nouvelle étude publiée dans la revue Nutrients : la fraise.

Fruits rouges : des antioxydants bons pour le coeur

On le sait : les fruits rouges sont bénéfiques pour la santé, notamment parce qu’ils sont riches en vitamines et en antioxydants. Des antioxydants qui ont la particularité d’aider à lutter contre les maladies cardiovasculaires. Pour comprendre les effets des fruits rouges sur le cœur, des chercheurs de l’université du Nevada se sont intéressés à l’un d’entre eux, connu pour ses multiples vertus : la fraise.
Pour les besoins de leurs travaux, ils ont suivi, pendant 14 semaines, 33 participants dont la moyenne d’âge était de 53 ans. Les volontaires étaient séparés en trois groupes : ceux du premier devaient consommer une portion de poudre fraise par jour, ce qui correspond à 13 g de ce fruit rouge, ceux du second devaient manger deux portions de poudre de fraise quotidiennement, à savoir 32 g. Ceux du dernier groupe, quant à eux, devaient consommer une "poudre de contrôle", ne contenant pas de fraise. Tous devaient poursuivre leurs habitudes alimentaires, mais ne devaient pas consommer d’autres fruits rouges.

Consommer des fraises pour prévenir les maladies cardiovasculaires ?

Après avoir analysé leurs données de santé des participants, les chercheurs ont constaté une baisse de la résistance à l’insuline et une diminution du taux de cholestérol chez ceux ayant consommé la plus grande quantité de fraise. La résistance à l'insuline est un facteur de risque de diabète, tandis qu'un taux élevé de cholestérol est néfaste pour le coeur. Les auteurs de l'étude estiment donc que la consommation régulière de fraise pourrait aider à lutter contre les maladies cardiovasculaires.
"Manger beaucoup de fruits et de légumes est important pour la santé, et cela montre une fois de plus que la consommation de fruits rouges, dans le cadre de cette alimentation, pourrait être une bonne option pour de nombreuses personnes", affirme le Dr Emma Derbyshire, une nutritionniste britannique interrogée par News Medical. Cette spécialiste n’a pas participé à l’étude, mais souligne l’intérêt de la consommation régulière de ces fruits sur le coeur. "Ajouter des fraises au petit-déjeuner, les manger comme collation entre les repas ou les servir avec un yaourt nature comme dessert peut contribuer à la consommation quotidienne de fruits et aux avantages pour la santé qu'elles offrent", conclut-elle.

Source de l'article : https://www.femmeactuelle.fr/sante/news-sante/maladies-cardiovasculaires-cholesterol-consommer-ce-fruit-de-saison-reduirait-les-risques-2116266


#coeur #maladies #cardiovasculaires #fruits #alimentation
par Heartdrake
le Jeu 5 Aoû 2021 - 15:02
 
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Sujet: Maladies cardiovasculaires, cholestérol : consommer ce fruit de saison réduirait les risques
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Crise cardiaque : Double risque avec les "snacks"

Le grignotage et la prise de collations (ou "snacks") à base de féculents, riches en pommes de terre notamment, est associée à une augmentation drastique de 50 % du risque de décès et jusqu’à 57 % du risque de décès cardiovasculaire. Inversement, consommer des fruits, des légumes ou des produits laitiers au cours des repas est associé à un risque réduit de décès par maladie cardiovasculaire, cancer ou de toute autre cause. En résumé, cette large étude confirme l’importance d’une alimentation riche en fruits et légumes (fibres et antioxydants) qui respecte des horaires réguliers des repas. A contrario, les grignotages en dehors des repas et de produits transformés à base de féculents font presque doubler le risque de crise cardiaque et d’AVC.

 « Les gens ont tout à fait raison d’être préoccupés par ce qu'ils mangent et quand ils mangent », commente l’auteur principal, le Dr Ying Li, professeur de nutrition et d'hygiène alimentaire à l'Université de Harbin (Chine).

Un régime riche en légumes et en fruits réduit de 34 % le risque de décès d'événénement cardiovasculaire

L’analyse des données de 21.503 participants à la National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES) suivis de 2003 à 2014 constate en effet :
3 principaux schémas alimentaires pour les repas petit-déjeuner, déjeuner et dîner : le régime occidental, un repas plutôt à base de féculent et le repas plutôt végétarien riche en légumes et en fruits. Pour les collations prises entre les principaux repas, les collations riches en céréales, les collations riches en produits transformés à base de féculents, les collations à base de fruits et les collations à base de produits lactés. D’une manière générale, le régime alimentaire occidental comportait des proportions plus élevées de graisses et de protéines. L’analyse confirme que :
 

  • le régime occidental comportant généralement des céréales raffinées, du fromage, de la charcuterie est associé à une augmentation de 44 % du risque de décès par maladie cardiovasculaire ;
  • un régime riche en légumes et en fruits, à une réduction de 34 % du risque de décès par maladie cardiovasculaire ;
  • un dîner à base de légumes, à une réduction de 23 % et 31 % du risque de décès par maladie cardiovasculaire et de décès toutes causes confondues ;
  • des collations fréquentes riches en amidon entre les repas, à un risque accru de 50 à 52 % de mortalité toutes causes confondues et à un risque accru de 44 à 57 % de décès par maladie cardiovasculaire.

 
Ainsi, à la fois les apports caloriques, les habitudes alimentaires et les aliments consommés déterminent la santé cardiovasculaire.
Des collations riches en amidon, prises en dehors des repas, doublent globalement le risque de décès.

Source de l'article : https://www.santelog.com/actualites/crise-cardiaque-double-risque-avec-les-snacks


#coeur #maladies #cardiovasculaires #alimentation
par Heartdrake
le Jeu 5 Aoû 2021 - 9:20
 
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Sujet: Crise cardiaque : Double risque avec les "snacks"
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