Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

La date/heure actuelle est Dim 12 Mai 2024 - 14:49

3 résultats trouvés pour cardiovsculaires

Le vin rouge est-il vraiment bon pour le coeur ?

La découverte de sa richesse en antioxydants a paré le vin rouge de mille vertus : bon pour le coeur et les artères, il préviendrait l'infarctus et autres maladies cardiovasculaires. Sauf que ses bénéfices n'ont jamais été rigoureusement démontrés sur le long terme.

Et s’il suffisait de boire deux verres de vin rouge chaque jour pour se protéger des maladies cardio-vasculaires ? Depuis les années 1990 et la découverte du fameux « French paradox » (ou comment les Français peuvent-ils avaler autant de graisses animales et afficher un taux d’infarctus si bas en comparaison des Etats-Unis, par exemple), le vin rouge serait – dit-on – le meilleur allié de notre cœur.
Bu avec modération, il assouplirait nos artères, diminuerait notre tension artérielle, équilibrerait nos taux de « bon » et de « mauvais » cholestérol… Son secret ? Le resvératrol. Ce polyphénol que la vigne fabrique pour se défendre des champignons. Présent dans la peau des raisins, il se retrouve, très concentré, dans le vin rouge (environ 5 mg/l dans un pinot noir, 3,8 mg/l dans un bordeaux). Anti­oxydant, anti-inflammatoire et antiagrégant, il limiterait la formation de plaques d’athérome (un dépôt graisseux) – et donc de caillots – dans les vaisseaux sanguins.

>> Lire aussi : Est-il vrai qu’un verre d’alcool ne fait pas de mal ?

Les preuves des bénéfices du vin rouge restent insuffisantes


Preuve a été faite de ces effets… chez les animaux. Le vin rouge permet, par exemple, une vasodilatation artérielle chez le cochon hypercholestérolémique. Quid des humains ? De nombreuses études épidémiologiques confirment les bienfaits du vin rouge sur la santé cardio-vasculaire. La plus vaste est celle menée par l’OMS auprès de 15 millions de personnes dans 25 pays : elle montre un effet préventif à dose modérée, c’est-à-dire entre 1 et 3 verres par jour.

>> Lire aussi : L’alcool détruit-il les neurones ?

A l’inverse, dans une étude réalisée au pays du chianti (en Toscane) sur dix ans, les chercheurs n’ont pas réussi à trouver de lien entre la concentration en resvératrol dans les urines et l’incidence des maladies cardiaques.

De longues études cliniques seraient nécessaires


Pour établir une fois pour toutes un lien de cause à effet entre la consommation modérée de vin et la bonne santé de nos artères, il faudrait donc réaliser des études cliniques sur plusieurs décennies (le temps que les maladies cardio-vasculaires s’installent) tout en contrôlant de façon stricte le nombre de verres ingérés chaque jour…

Autant dire que pour l’instant, il est impossible d’être catégorique sur le sujet. Et on voit mal un cardiologue se risquer à conseiller un verre de rouge à quelqu’un qui n’en boit jamais. Car au milieu de toute cette incertitude, une chose ne fait aucun doute : après l’eau, l’ingrédient principal du vin rouge est l’éthanol. Une molécule dont les effets néfastes sur la santé n’ont plus rien de mystérieux.


Source de l'article : https://www.science-et-vie.com/questions-reponses/le-vin-rouge-est-il-vraiment-bon-pour-le-coeur-57012.html


#coeur #maladies #cardiovsculaires #alcool
par Heartdrake
le Mer 3 Mai 2023 - 14:05
 
Rechercher dans: Maladies cardiovasculaires : généralités
Sujet: Le vin rouge est-il vraiment bon pour le coeur ?
Réponses: 0
Vues: 533

10 astuces pour moins saler son assiette

Le sel est connu pour rehausser la saveur des plats. Cependant, consommé en grande quantité, il peut être nocif pour la santé. Il fait perdre l’élasticité des tissus internes, ce qui peut causer de l’hypertension artérielle qui augmente le risque d’accidents cardio-vasculaires. Il provoque la rétention d’eau , qui aggrave l’apparition de cellulite et accélère le vieillissement de la peau. L’Organisation Mondiale de la Santé conseille de ne pas dépasser la dose de 5 g de sel par jour2. Voici 10 astuces pour moins saler son assiette.
[list="color: rgb(91, 91, 91); box-sizing: inherit; margin-right: 0px; margin-bottom: 1.875rem; margin-left: 1.25rem; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-position: initial; list-style-image: initial; line-height: 1.5;"][*]

Lisez les étiquettes


[/list]
Avant d’acheter un produit, il est recommandé de lire son étiquette. Cette dernière donne une bonne indication des apports nutritionnels. On évite ainsi de manger ce qu’on veut éviter : des aliments trop salés. Lire les étiquettes permet d’éviter également de se tromper sur la teneur en sel d’un aliment. Tout comme le sucre, le sel se cache dans des produits qu’on ne soupçonne pas forcément !
[list="box-sizing: inherit; margin-right: 0px; margin-bottom: 1.875rem; margin-left: 1.25rem; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-position: initial; list-style-image: initial; line-height: 1.5;"][*]

La cuisine maison à privilégier


[/list]
Les produits industriels déjà préparés contiennent généralement beaucoup de sel, qui est utilisé afin de mieux les conserver et pour rehausser leur goût. Cuisiner à la maison permet de contourner ce problème : il ne tient qu’à vous de décider quelle quantité de sel rajouter à vos plats.
[list="box-sizing: inherit; margin-right: 0px; margin-bottom: 1.875rem; margin-left: 1.25rem; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-position: initial; list-style-image: initial; line-height: 1.5;"][*]

Des aliments à consommer avec modération


[/list]
Réduisez la consommation des aliments à haute teneur en sel, tels les fromages, les charcuteries, le pain, les céréales, les biscuits, les potages en sachet et les vinaigrettes en bouteille. Attention : ce n’est pas parce qu’un aliment n’a pas un goût salé prononcé qu’il ne contient pas beaucoup de sodium.
[list="box-sizing: inherit; margin-right: 0px; margin-bottom: 1.875rem; margin-left: 1.25rem; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-position: initial; list-style-image: initial; line-height: 1.5;"][*]

L'attitude à table


[/list]
Ne gardez pas la salière sur la table. Salez les repas avant de les servir. Ensuite, ne rajoutez pas de sel dans votre assiette. Cela vous permettra de garder un certain contrôle sur la quantité de sel de vos repas.
Au restaurant, demandez au serveur si le plat a été préalablement salé. Si la réponse est positive, ne le salez pas davantage.
[list="box-sizing: inherit; margin-right: 0px; margin-bottom: 1.875rem; margin-left: 1.25rem; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-position: initial; list-style-image: initial; line-height: 1.5;"][*]

Aromatisez avec des herbes


[/list]
En plus de relever la saveur de vos plats, les herbes aromatisées ont d’innombrables bienfaits : la marjolaine est un anti-stress, la menthe est digestive…
De plus, on peut les ajouter à nos plats frais ou séchés, ce qui facilite leur conservation. Il est possible de les mélanger selon les goûts ce qui rajoute des saveurs très diversifiées.

[list="box-sizing: inherit; margin-right: 0px; margin-bottom: 1.875rem; margin-left: 1.25rem; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-position: initial; list-style-image: initial; line-height: 1.5;"][*]

Pimentez vos plats avec des épices


[/list]
Les épices comme le curcuma, le cumin, le gingembre et la cannelle ont un goût puissant qui agrémente les plats. Plusieurs mélanges d’épices existent et ils ne comportent peu ou pas du tout de sel.
[list="box-sizing: inherit; margin-right: 0px; margin-bottom: 1.875rem; margin-left: 1.25rem; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-position: initial; list-style-image: initial; line-height: 1.5;"][*]

Le sel diététique


[/list]
Le sel diététique a un goût semblable au sel de table mais il est composé de sels minéraux (1/3 de chlorure de sodium et 2/3 de chlorure de potassium). Contrairement au sel, il ne provoque pas de rétention et a même un pouvoir diurétique.
[list="box-sizing: inherit; margin-right: 0px; margin-bottom: 1.875rem; margin-left: 1.25rem; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-position: initial; list-style-image: initial; line-height: 1.5;"][*]

Le gomasio


[/list]
Originaire du Japon, le gomasio est fait de sel marin et de sésame grillé et il contient parfois des algues. Sa teneur en sel est très basse (à peine 10 %) et son goût est agréable. Seul inconvénient : il ne se cuit pas. Il peut donc être utilisé dans les salades et les vinaigrettes.
[list="box-sizing: inherit; margin-right: 0px; margin-bottom: 1.875rem; margin-left: 1.25rem; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-position: initial; list-style-image: initial; line-height: 1.5;"][*]

L’algue noire


[/list]
Produit du Japon, cette est employée dans la confection des sushis. Saupoudrée sur les repas, cette algue charmera par sa saveur légèrement iodée.
[list="color: rgb(91, 91, 91); box-sizing: inherit; margin-right: 0px; margin-bottom: 1.875rem; margin-left: 1.25rem; padding-right: 0px; padding-left: 0px; list-style-position: initial; list-style-image: initial; line-height: 1.5;"][*]

Le sel fou


[/list]
Le sel fou est un mélange d’épices et d’aromates qui vient de l’île de Ré. Il est savoureux et a une très faible teneur en sel. Parmi ses constituants on retrouve du poivre gris, rouge et blanc, de la coriandre, des baies roses, du thym et du romarin. N’hésitez pas à confectionner votre sel fou personnalisé.


Source de l'article10 astuces pour mettre moins de sel dans son assiette (passeportsante.net)

#coeur #maladies #cardiovsculaires #alimentation
par Heartdrake
le Jeu 29 Déc 2022 - 10:48
 
Rechercher dans: Alimentation, idées de recettes, etc ...
Sujet: 10 astuces pour moins saler son assiette
Réponses: 0
Vues: 101

Cortisone : attention aux effets indésirables !

Très efficaces, les corticoïdes permettent de soulager les symptômes ou de guérir de nombreuses maladies. Avant de les prescrire, le médecin doit, néanmoins, informer des multiples effets indésirables – plus ou moins graves – qu’ils peuvent induire.
Nos glandes surrénales (glandes situées au dessus de chaque rein) produisent naturellement du cortisol. Cette hormone joue un rôle essentiel pour réguler différentes fonctions de notre organisme : défenses immunitaires, inflammations, taux de sucre dans le sang...
Les propriétés anti-inflammatoires du cortisol notamment, intéressent, beaucoup les médecins. Ceux-ci ont d’ailleurs réussi à produire des médicaments semblables au cortisol naturel (les corticoïdes) pour traiter des maladies inflammatoires ou allergiques (asthme, polyarthrite rhumatoïde, eczéma, maladies digestives inflammatoires...), mais aussi d’autres pathologies (maladies rénales, cancers, transplantations...).
"Efficaces, les corticoïdes sont largement prescrits : à chaque instant, environ 1 % de la population française reçoit un traitement à base de cortisone. Mais, ils peuvent engendrer des effets indésirables différents en fonction des personnes", souligne le professeur Laurence Fardet, dermatologue à l’hôpital Henri-Mondor (Créteil) et auteure du site d’information cortisone-info.fr.
En effet, si certains n’ont aucun effet indésirable alors qu’ils sont sous forte doses de cortisone durant une longue période, d’autres peuvent en avoir sur de courte périodes et même lorsque les doses sont faibles. La plupart de ces effets indésirables ne sont pas graves et disparaissent lorsque le traitement est diminué ou arrêté.

Prise de poids et ostéoporose

Sur le plan physique, une des manifestations les plus fréquentes du traitement par cortisone est la modification de l’aspect du corps (augmentation du tour de taille) et un arrondissement du visage (visage "lunaire"), une bosse peut aussi apparaître au niveau de la nuque ("bosse de bison").
"Ces modifications physiques surviennent souvent après plusieurs semaines de traitement et concernent davantage les femmes et les personnes en surpoids. Contrairement aux idées reçues, ces anomalies ne sont pas liées à une rétention d’eau (due à une alimentation comportant du sel), mais à une redistribution des cellules graisseuses dans l’organisme (appelée lipodystrophie). Au bout de 3 à 6 mois de traitement, les deux tiers des patients développent une lipodystrophie", indique le professeur Fardet.
Bien connu aussi, le risque d’ostéoporose (fragilité de l’os) est également important sous corticoïdes. Les personnes âgées, les femmes ménopausées et les hommes de plus de 50 ans sont les plus à risque de déclarer (ou d’aggraver) une ostéoporose.
 

Infections, problèmes oculaires et risque cardio-vasculaires

Les corticoïdes affaiblissent le système immunitaire (notre système de défense naturel contre les virus, bactéries, champignons et parasites). C’est, d’ailleurs, grâce à cette propriété qu’ils sont efficaces. Cela entraîne un risque d’infections pouvant atteindre tous les organes.
"La cortisone a le pouvoir de diminuer les symptômes d’une infection déclarée. Lorsque l’on est traité par corticoïdes, il ne faut donc pas attendre d’avoir une fièvre élevée pour consulter, même une faible fièvre (38°C) doit amener le patient à revoir son médecin", ajoute le professeur Fardet.
Les corticoïdes augmentent, en outre, le risque de glaucome (augmentation de la pression dans l’œil) et de cataracte, notamment chez les personnes âgées. Le risque cardio-vasculaire est aussi important sous cortisone : hypertension artérielle et risque d’accidents cardiovasculaire augmenté, notamment lorsque le traitement dure plusieurs mois.
"Le risque cardio-vasculaire sous corticoïdes n’est, malheureusement, que peu enseigné dans les facultés de médecine. Or, plusieurs études importantes ont montré que le risque d’accident vasculaire cérébral et d’insuffisance cardiaque est deux à trois fois plus important chez les personnes sous cortisone, notamment celles qui ont des problèmes de poids ou un diabète", confie le professeur Fardet.
Diabète, troubles sexuels et digestifs
Le diabète est également 2 à 3 fois plus fréquent chez ceux qui prennent de la cortisone (par rapport à la population générale). Malheureusement, une fois le traitement arrêté, le diabète ne disparaît pas toujours.
Outre les problèmes de peau (fragilité, ecchymoses, infections, acné...), la cortisone peut également induire des troubles de la fonction sexuelle (modifications du cycle menstruel, diminution de la libido, troubles de l’érection). Ces troubles ne sont souvent pas graves et restent temporaires. Quant aux symptômes digestifs (douleurs et crampes de l’estomac, régurgitations...), ils sont bénins et sont facilement traités par le médecin.
"Le risque de complications (ulcère de l’estomac, inflammation du pancréas, infection du côlon) est, par ailleurs, très faible. En revanche, il ne faut pas associer les corticoïdes aux anti-inflammatoire classiques (non stéroïdiens) car cela multiplie par 7 le risque d’ulcère gastrique", affirme le professeur Fardet.

Des symptômes psychiques et psychiatriques

La cortisone peut modifier l’humeur. En général, les troubles sont mineurs : insomnie, anxiété, irritabilité, difficultés de concentration, troubles modérés de la mémoire... Le premier effet de la cortisone lorsque la prise du médicament se fait par voie orale est psychique : 40 à 50 % des patients sous cortisone se plaignent d’insomnies, d’irritabilité, ou d’anxiété.
"Un seul comprimé de cortisone suffit, parfois, pour provoquer une insomnie à caractère anxieux", indique le docteur Patrick Lemoine, psychiatre, directeur médical international de la Division psychiatrique du groupe de cliniques ORPEA-Clinea, auteur de Soigner sa tête sans médicaments... ou presque (Éditions Robert Laffont).
Bien moins fréquents, les troubles neuropsychiatriques sévères concerneraient 5 à 10 % des personnes sous cortisone. Les hommes âgés seraient plus à risque de développer des épisodes délirants ou maniaques tandis que les femmes présentent, davantage, des épisodes dépressifs. La dose de cortisone prescrite et, parfois, les antécédents de maladies psychiatriques peuvent prédisposer les patients à l’apparition ou à la récidive de ces symptômes lors de la mise sous corticoïdes.
Arrêter ou adapter le traitement de cortisone
"Comme pour l’insomnie, les troubles psychiatriques (anxiété inhabituelle, délires attaques de panique...) peuvent survenir dès le premier comprimé avalé. Certains effets indésirables – tels que les bouffées délirantes sous corticoïdes – peuvent être graves. En effet, si dans un tiers des cas, les bouffées délirantes survenant sous cortisone sont sans lendemain, elles peuvent révéler une schizophrénie ou des troubles bipolaires (probablement préexistants mais non diagnostiqués). Quant aux dépressions cortico-induites, elles guérissent, le plus souvent, quand la cortisone a été arrêtée, mais elles peuvent aussi être longues à traiter. En cas de troubles anxieux ou de trouble bipolaire –ou s’il y a eu, dans le passé, une décompensation psychiatrique sous corticoïdes – il ne faut prendre ce genre de médicament qu’en cas de maladie grave et sous surveillance psychiatrique", souligne le docteur Lemoine.
Quoi qu’il en soit, si des symptômes psychiatriques apparaissent sous cortisone, le médecin peut décider d’arrêter le traitement progressivement lorsque cela est possible ; de diminuer les doses de la corticothérapie et/ou de prescrire un traitement adapté (somnifère, antidépresseur...).

Source de l'article : https://www.e-sante.fr/cortisone-attention-effets-indesirables/actualite/719?page=2


#coeur #maladies #cardiovsculaires #insuffisance #cardiaque
par Heartdrake
le Mar 26 Oct 2021 - 15:31
 
Rechercher dans: Insuffisance cardiaque
Sujet: Cortisone : attention aux effets indésirables !
Réponses: 0
Vues: 99

Revenir en haut

Sauter vers: