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30 minutes d’activité physique par jour : le compte n’y est pas pour 50 % des Français

Alors que la France prépare activement les Jeux olympiques, le gouvernement a fait de la promotion de l’activité physique et sportive la grande cause nationale 2024. Avec un mantra : pratiquer 30 minutes d’activité physique chaque jour. Selon un récent sondage, le contrat n’est pas rempli pour la moitié des Français.

L’activité physique et sportive a été décrétée grande cause nationale en 2024 par le président Emmanuel Macron. Objectif ? Bouger 30 minutes par jour. Pour l’heure, les Français en sont loin. Selon le « baromètre des 30 minutes » d’OpinionWay réalisé pour le CIC, seuls 50 % des Français estiment leur activité physique quotidienne à 30 minutes ou plus. 27 % d’entre eux déclarent bouger moins de 15 minutes et 23 % entre 15 et 30 minutes. Parmi ceux qui sont en dessous du seuil recommandé, 55 % se déplacent en voiture.

Les Français sont toutefois conscients de ne pas suffisamment se dépenser dans la journée puisque 52 % des personnes interrogées ont le sentiment de ne pas avoir une activité physique suffisante.

17 % des Français ne pratiquent jamais de sport

Quant à la pratique d’un sport, le compte n’y est pas non plus. 13 % des Français déclarent une activité sportive moins d’une fois par mois. Jamais pour 17 % d’entre eux. Et ils sont 59 % à faire du sport au moins une fois par semaine, 70 % au moins une fois par mois.

En tête des sports les plus pratiqués par les Français : la course à pied (24 %), la marche à pied (21 %) et le fitness (16 %), talonnés par le cyclisme et la natation (15 % chacun).

Parmi les coups de pouce qui pourraient les motiver, on trouve en tête une aide financière pour des équipements ou un abonnement (20 %), un accès libre aux équipements (19 %), une pratique en groupe (19 %), un coach et un programme individualisé (17 %), la possibilité de pratiquer sur le lieu de travail (15 %) ou encore l’utilisation d’une application (13 %).

Grande cause, petite notoriété

Le travail de sensibilisation semble nécessaire. En effet, seuls 22 % des Français connaissent le temps d’activité quotidien recommandé pour un adulte pour être en bonne santé. Quant à la Grande cause nationale, les personnes interrogées ne sont que 33 % à savoir qu’il s’agit de la promotion de l’activité physique et sportive.

De son côté, l’OMS recommande au moins 150 minutes d’activité modérée par semaine, soit un peu plus de 20 minutes quotidienne. Pour rappel, une activité modérée est caractérisée par une respiration légèrement accélérée, un essoufflement faible, une conversation possible, les battements du cœur à peine accélérés.

10 000 décès prématurés évités en Europe

Selon un récent rapport de l’OMS et de l’OCDE, « l’accroissement de l’activité physique aux niveaux minimums recommandés dans l’UE permettrait d’éviter 11,5 millions de nouveaux cas de maladies non transmissibles d’ici 2050, dont 3,8 millions de cas de maladies cardiovasculaires, 3,5 millions de cas de dépression, près de 1 million de cas de diabète de type 2 et plus de 400 000 cas de différents cancers ». Au total, 10 000 décès prématurés pourraient être évités chaque année.

Et il ne s’agit là que du niveau minimum d’activité, à savoir 150 minutes hebdomadaires. L’objectif de l’OMS, c’est 300 minutes d’activité physique hebdomadaire, plus de 40 minutes par jour.  Cela permettrait d’éviter 16 millions de cas supplémentaires de maladies non transmissibles.

Car les chiffres sont préoccupants. En France :

  • 95 % des adultes sont exposés à un risque sanitaire par un manque d’activité physique ou un temps trop long passé assis;
  • 80 % des adolescents en deçà  du temps d’activité recommandé par l’OMS;
  • 66 % d’entre eux sont exposés à un risque sanitaire à cause du manque d’activité et de la dépendance aux écrans.


Pourtant, l’activité physique est facilement accessible dans la vie quotidienne. Aller au travail à vélo, aller chercher son pain à pied, jouer avec son chien, monter les escaliers, réaliser des étirements devant une série télévisée, profiter de porter une bouteille d’eau pour faire un peu de musculation, faire 5 minutes de yoga au réveil, contracter les abdominaux en lisant… Tout ceci cumulé permet d’atteindre sans trop de difficulté le seuil des 30 minutes d’activité physique par jour.

*Sondage réalisé sur un échantillon de 1009 personnes représentatif de la population française, âgées de 18 ans et plus. Elles ont été interrogées par questionnaire du 24 au 25 janvier 2024.

Source de l'article30 minutes d’activité physique par jour : le compte n’y est pas pour 50 % des Français - A la une - Destination Santé (destinationsante.com)

#coeur #sport #maladies #cardiovasculaires
par Heartdrake
le Ven 2 Fév 2024 - 9:40
 
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Sujet: 30 minutes d’activité physique par jour : le compte n’y est pas pour 50 % des Français
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Silent walking : voici les bienfaits de la marche silencieuse !

Très tendance en ce moment, le silent walking permet d’atteindre la pleine conscience. Zoom sur cette pratique qui fait des émules sur la toile 
Avez-vous déjà pensé aux bienfaits du silence pour réduire votre stress et votre anxiété ? Très en vogue en ce moment, le “silent walking” (ou marche silencieuse en français) s’intéresse justement à l’impact du silence sur la santé physique et mentale.

En effet, outre son action positive sur les maux du quotidien (douleurs musculaires, amélioration de la santé cardiovasculaire, meilleur retour veineux), la marche est excellente pour apaiser l’esprit.

Seulement, il semblerait que la plupart d’entre nous n’exploite pas le potentiel de cette pratique, que l’on expérimente souvent en groupe, avec de la musique dans les oreilles ou encore avec un téléphone portable à la main.

Exit la randonnée en groupe, place à la marche silencieuse

Comme son nom l’indique, le principe de la marche silencieuse consiste à se délester de toutes ces distractions afin de se connecter pleinement au moment présent et à soi-même.

Des bienfaits vantés par de nombreux adeptes, notamment sur la plateforme TikTok, et que l’on pourrait associer à ceux de la “flânerie”, terme typiquement français.

Contrairement à la randonnée, que l’on peut difficilement détacher de la performance (durée, niveau de difficulté, nombre de kilomètres), la marche silencieuse se rapproche en effet plus de la promenade, de la flânerie, c’est-à-dire, cette marche qui n’a pas d’itinéraire ni de but, si ce n’est celui de profiter de l’instant présent et de ce qui nous entoure.
Selon Helen Garlick, qui organise des retraites d’écriture, la marche silencieuse est “une forme de marche en pleine conscience” qui lui permet de se sentir “beaucoup plus connectée et en phase avec [son] environnement”, comme elle l’explique dans les colonnes de Stylist.

Des bienfaits sur la santé physique et mentale

Les bienfaits du silent walking sur le bien-être émotionnel ont d’ailleurs fait l’objet de nombreuses études scientifiques, ce que note le Dr Louis Bherer, neuropsychologue et professeur au Département de médecine de l’Université de Montréal et chercheur à l’Institut de gériatrie ainsi qu’à l’Institut de cardiologie de Montréal.

“Ça améliore la santé physique, le bien-être, la cognition, la mémoire, l’attention, la vigilance”, assure-t-il.



Sans parler de son impact sur le sommeil, la concentration, la productivité ou l’anxiété, la marche permettant en effet de baisser le taux de cortisol, l’hormone du stress.

Atteindre la pleine conscience

“Lorsque nous nous concentrons sur une seule chose à la fois, nous ne sommes pas dispersés. Notre attention et notre énergie sont alignées”, confie Supriya Blair, psychologue clinicienne au média Healthline.
Une forme de méditation que vous pouvez, par ailleurs, convoquer davantage en pratiquant la marche silencieuse en forêt ou près de la mer, des paysages qui font du bien au moral comme l’ont noté de nombreuses études scientifiques.

Source de l'articleSilent walking : voici les bienfaits de la marche silencieuse ! (passeportsante.net)

#coeur #maladies #cardiovasculaires #sport
par Heartdrake
le Ven 6 Oct 2023 - 17:33
 
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Sujet: Silent walking : voici les bienfaits de la marche silencieuse !
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La gym suédoise : plus ludique que physique

Si la gym suédoise est encore peu connue en France, elle est pourtant un moyen efficace d'allier activité physique et ambiance festive. Plus de l'ordre du défoulement que de la performance, la discipline fait la promesse de vous redonner le goût de l'effort.

Selon une enquête de Reebok menée en 2008 aux États-Unis, en Angleterre et en Chine sur près de 3 000 femmes, 54 % d'entre elles considèrent que faire de l'exercice est une corvée et 61 % confient qu'elles seraient plus assidues si la gym était plus amusante. Un défi qu'a tenté de relever la gym suédoise.

La Gym Suédoise, kezako ?

Inventée au début du XIXe siècle par le Suédois Pehr Henrik Ling, la Gym Suédoise consiste à combiner mouvements d'un cours de fitness classique avec exercices de kinésithérapie. C'est en 1978 que la technique va se populariser, quand l'association sportive Friskis & Svettis met sur pied des chorégraphies combinant mouvements simples et musiques modernes, donnant à la discipline un aspect ludique. Depuis seulement une vingtaine d'années, le bouche-à-oreille assure l'implantation progressive de la méthode en France.

Dispensés partout dans l'Hexagone, les cours de gym suédoise sont conçus pour faire travailler l'ensemble du corps et se construisent autour d'une courbe d'intensité spécifique créée pour stimuler le système cardiovasculaire. L'effort augmente progressivement afin d'éviter la sensation d'épuisement. La musique joue un rôle majeur car elle suit la courbe d'intensité. En effet, chaque animateur sportif conçoit son programme en respectant un cahier des charges précis (animation, mouvements, enchaînements, musique).

Un objectif de bien-être

Le principe est simple : sans miroir ni coachs personnels, on peut faire les mouvements sans contraintes excessives. Un cours s'apparente à un véritable défouloir visant à éliminer le stress accumulé après des journées de travail trop chargées. Basée sur différentes intensités adaptées aux besoins de chacun, la gym suédoise est d'ailleurs reconnue d'utilité publique en Suède pour son rôle en matière de santé publique, notamment dans la prévention des maladies cardio-vasculaires et la lutte contre la sédentarisation.

Conscients de cet objectif d'abord sanitaire, le coach ou l'animateur sportif ne surveille pas chacun de vos mouvements et ne corrige pas constamment les gestes mal exécutés.... Mais qu'importe, le but est d'y aller chacun à son rythme en se défoulant sur la musique que l'on aime. Les chansons varient d'ailleurs en fonction des coachs et on peut facilement passer de tubes de James Brown à des variétés françaises en passant par des musiques latinos. Les pratiquants se surprennent même souvent à chanter les chansons tout en faisant leurs exercices, un véritable moyen de dissiper l'effort.

Source de l'article : https://www.lequipe.fr/Coaching/Fitness/Actualites/La-gym-suedoise-plus-ludique-que-physique/742424


#codeur #sport #maladies #cardiovasculaires
par Heartdrake
le Mer 10 Mai 2023 - 15:45
 
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Sujet: La gym suédoise : plus ludique que physique
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Pour réduire les problèmes cardiaques, faites du vélo électrique

Selon cette étude, les vélos électriques seraient un bon moyen pour les personnes âgées, en surpoids et moins en forme d’augmenter leur activité physique.

Vous adorez les promenades à vélo ? Vous avez envie de tenter le vélo électrique ? Cette étude devrait vous conforter dans votre choix. Les chercheurs de la Clinique de réadaptation et de médecine du sport d’Hanovre (Allemagne) se sont intéressés à l’impact de la pratique du vélo électrique sur la santé et la forme physique. Leurs conclusions ont été publiées dans la revue BMJ Open Sport & Exercise Medicine.

Dans le cadre de cette étude, les scientifiques ont analysé les données de 1 250 utilisateurs de vélo électrique et 629 personnes qui ont utilisé les vélos conventionnels entre 2017 et 2020. « Dans notre étude, nous avons analysé 58 833 trajets effectués par des cyclistes et des cyclistes électriques et mesuré les fréquences cardiaques et les vitesses dans chaque cas. Contrairement à d’autres grandes études sur les vélos électriques, pour la première fois, nous avons également collecté de manière prospective des données de mesure réelles, et pas seulement interrogé les cyclistes », a résumé le professeur Uwe Tegtbur, directeur de la clinique de réadaptation et de médecine sportive, dans un communiqué.

Résultats ? Les chercheurs ont constaté que la fréquence cardiaque des utilisateurs de vélo électrique n’était inférieure que de cinq battements par minute à celle des cyclistes à vélo conventionnels. « Contrairement à de nombreux préjugés, les chiffres montrent que les muscles et le système cardiovasculaire sont presque autant mis à l’épreuve lors de la conduite d’un VAE qu’avec le vélo conventionnel », a ajouté la Dre Hedwig Theda Boeck, associée de recherche à la clinique et l’une des premières auteures de l’étude.

Augmenter l’activité physique

Les scientifiques ont également constaté que les vélos électriques étaient un bon moyen pour les personnes âgées, en surpoids et moins en forme d’augmenter leurs activités. « De nombreux utilisateurs de VAE n’étaient pas nécessairement des cyclistes auparavant. Le seuil d’inhibition est nettement plus bas, même si l’assistance moteur peut être utilisée en terrain vallonné ou par fort vent de face », ajoute le Dr. Boeck.

Le groupe d’utilisateurs de VAE était en moyenne un peu plus âgé que les utilisateurs de vélos conventionnels, avait un indice de masse corporelle plus élevé et souffrait également plus fréquemment de maladies antérieures comme l’hypertension artérielle, le diabète, l’asthme ou les maladies cardiaques. « Nous avons montré que les e-bikers étaient sur la route pendant 135 minutes par semaine. Cela seul leur a permis d’atteindre les deux tiers de l’objectif d’activité physique de l’Organisation mondiale de la santé de 150 minutes d’activité modérée par semaine », explique le professeur Tegtbur.

Source de l'article : https://www.santemagazine.fr/actualites/actualites-beaute-forme/pour-reduire-les-problemes-cardiaques-faites-du-velo-electrique-1022412?#at_medium=email&at_emailtype=retention&at_campaign=Quot_SAM&at_send_date=20230417&M_BT=17059782434867


#coeur #sport #maladies #cardiovasculaires
par Heartdrake
le Mar 18 Avr 2023 - 10:23
 
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Sujet: Pour réduire les problèmes cardiaques, faites du vélo électrique
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Le sport à un âge très avancé, plus de bénéfices que de risques

Retour sur la performance de Charly Bancarel, 93 ans, doyen des 52 000 participants au dernier marathon de Paris et finisher de la course en 7h et 22 minutes. Cette performance est-elle si exceptionnelle ? Se mettre au sport à un âge avancé, ou pratiquer une activité intensément, est-ce bien raisonnable ? Réponses du Dr David Hupin, médecin du sport au CHU de Saint-Etienne.

Recevez-vous fréquemment des patients très âgés au sein de votre service ?

David Hupin: Nous sommes un centre de référence agrée par le ministère pour suivre les sportifs de haut niveau. Pour nous, il n’est donc pas rare de recevoir des sportifs qui battent des records à un âge extrême. Les médecins généralistes qui les suivent nous les adressent afin que l’on détermine si oui ou non, il est physiologiquement risqué pour cette personne de plus de 95 ans de courir un marathon, par exemple. Je me souviens aussi d’un athlète très âgé qui a participé aux championnats du monde à Lyon il y a quelques années, qui courait le 1500 mètres. Nous recevons également beaucoup de cyclistes : nous avons donc mis en place une consultation dédiée, en prévention cardio-respiratoire.

Quelles sont les principales conséquences du vieillissement sur les capacités physiques ?

DH: Sur le plan cardio-respiratoire, on sait que le cœur d’un sujet âgé est ralenti, qu’il n’est plus capable de monter à des fréquences cardiaques importantes et peut donc vite s’essouffler. Les poumons sont également moins efficaces, avec une ventilation plus compliquée : l’inspiration et l’expiration sont moins complètes, il y a plus d’inflammations, les bronches sont un peu moins efficaces. La quantité et la qualité des fibres musculaires diminue : c’est ce que l’on appelle la sarcopénie. Cœur, poumons et muscles, voilà les trois paramètres physiologiques qui rendent l’effort plus compliqué avec l’âge. C’est physiologique, c’est comme ça.

Alors comment expliquer que certains dépassent ces difficultés ?

DH:La dimension « recherche » constitue une part importante de nos activités, et notamment le lien vieillissement/activité physique, donc ces sujets nous intéressent particulièrement. On sait que le fait de rester actif permet de diminuer ce déclin physiologique : on garde un niveau assez haut en termes d’activités cardiaque, respiratoire et musculaire par rapport à une population du même âge plus sédentaire. Avant de donner le « feu vert » à un patient âgé et sportif, il réalise chez nous une épreuve cardio-respiratoire sur vélo, tapis ou rameur, ses performances sont comparées à ce qu’on attend chez quelqu’un de son âge, à corpulence et niveau d’activité physique équivalents. Le protocole est individualisé de la façon la plus précise possible afin que les patients ne se fatiguent pas avant d’avoir atteint leurs capacités maximales lors de ces tests, qui durent environ 10 minutes.

Charly Bancarel a commencé à courir à la cinquantaine. Est-il courant et recommandé de se mettre au sport si tard ?

DH: Ce n’est pas si rare parce que Robert Marchand (le « plus vieux cycliste français », décédé à 109 ans en 2021, ndlr), s’il a toujours été sportif, a intensifié sa pratique du vélo au-delà de 50 ans. Il y a également le cas de Fauja Singh, ce coureur britannique d’origine indienne qui a battu tous les records de marathon au-delà de 90 ans. Il n’était pas particulièrement sportif et a commencé à courir après le décès de sa femme, quand il avait 88 ans… Cela confirme bien qu’il n’y a pas d’âge pour commencer à être actif, sportif. On entend beaucoup dire qu’à partir de 70 ans, c’est trop tard, qu’on prend des risques… Mais la balance bénéfiques-risques est largement en faveur des bénéfices. Si vous n’avez aucun problème de santé, que vous n’êtes pas fumeur, que vous n’avez aucun facteur de risque cardio-vasculaire comme l’hypertension ou le diabète, ni de traitement, vous ne prenez pas beaucoup de risques en reprenant progressivement une activité sportive, même si vous êtes resté longtemps sédentaire.

Source de l'article : https://destinationsante.com/le-sport-a-un-age-tres-avance-plus-de-benefices-que-de-risques.html


#coeur #maladies #cardiovasculaires #sport
par Heartdrake
le Ven 7 Avr 2023 - 8:59
 
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Sujet: Le sport à un âge très avancé, plus de bénéfices que de risques
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Quels sont les bienfaits santé du stretching ?

Le stretching est une gymnastique douce qui permet d’étirer les muscles et de gagner en souplesse. Tout le monde peut pratiquer cette méthode. Quels sont les bienfaits du stretching ? Comment faire du stretching ? Quelle est la différence entre le yoga et le stretching ? Les réponses de la professeure de Pilates.

Stretch, c’est quoi ?

En anglais, le terme stretch signifie « extensible ». Ce qui peut se traduire, en français, par étirer ou étirement« Faire du stretching consiste donc à étirer les muscles, les tissus conjonctifs et les fascias », explique Helen Haynes, professeure de Pilates, Maison Epigenetic.

Quels sont les bienfaits du stretching ?

Ils sont nombreux car, comme le disait le créateur de la méthode d’exercices centenaire, Joseph Pilates « un corps libre de tensions et de fatigue permet d’affronter toutes les complexités de la vie. » Alors, qu’apporte cette méthode que l’on soit débutant ou pratiquant de longue date ?

De manière générale, le stretching est intéressant tant au niveau de la préparation physique avec des techniques d’étirements dynamiques, qu’au niveau de la récupération avec des exercices de détente.

Au niveau des muscles

Le dictionnaire Le Robert définit le muscle de la façon suivante : « Structure organique formée de fibres contractiles assurant le mouvement ». Ainsi, les muscles assurent de nombreuses fonctions dans l’organisme au niveau de la respiration, de la digestion, de la locomotion… Des muscles forts et souples sont des muscles plus sains qu’une musculature raide.

Le stretching est une méthode intéressante pour avoir des muscles en bonne santé : « Un muscle étiré aura une meilleure oxygénation et une augmentation du flux sanguin avec plus d’oxygène et de nutriments apportés par le sang vers le muscle, et aussi une meilleure faculté à se contracter, et sera sujet à moins de crampes. Une bonne séance de stretching permet aussi de libérer les tensions musculaires, d’améliorer la flexibilité et la mobilité des muscles qui aident à prévenir les blessures du sport, mais aussi les blessures du quotidien », explique Helen Haynes.

Au niveau de la circulation sanguine et lymphatique

« Une séance de stretching active également les systèmes circulatoire et lymphatique, ajoute Helen Haynes.

Une étude publiée dans le Journal of Physiologymontre que la pratique du stretching permet la dilatation des artères du mollet et de la partie supérieure des bras, ainsi qu’une meilleure circulation sanguine et moins de rigidité artérielle (source 1).

Quant à la circulation lymphatique, elle a différents rôles : elle fait circuler et elle régule les fluides du corps, elle absorbe les graisses et défend le système immunitaire.

Au niveau des articulations

Le stretching permet de garder le plus longtemps possible des articulations jeunes, de limiter l’évolution de la dégénération du cartilage qui provoque de l’arthrose, par exemple. « Améliorer et entretenir une souplesse musculaire et articulaire est indispensable pour bien vieillir physiquement car, au fur et à mesure que l’on avance en âge, il y a une perte naturelle de la souplesse et une perte de mouvement considérable. Avec cette mobilité réduite, on augmente la possibilité de ressentir des douleurs », avertit Helen Haynes.

Comment se pratique le stretching ?

Le stretching est adapté à tous publics, car ses différents niveaux permettent de répondre aux besoins de chacun : du débutant à l’adolescent ou à la personne âgée, comme au sportif confirmé.

« Le stretching est une forme d’exercice importante à inclure dans le quotidien si possible », estime Helen Haynes.

Stretching combien de fois par semaine ?

On peut commencer avec juste 5 à 10 minutes de stretching quotidien, ou au moins deux ou trois fois par semaine. « Le stretching visant à détendre et à relâcher le corps, il peut se pratiquer à n’importe quel moment de la journée : au réveil comme au coucher », rassure Helen Haynes. Toutefois, mieux vaut choisir un moment où l’on se sent prêt à profiter pleinement de cette séance.

Et si l’on pratique d’autres sports que cette gymnastique douce, il est préférable de faire du stretching à distance d’un entraînement de force, de puissance ou d’intensité car les muscles ne seront pas prêts à se relaxer.

« Le stretching n’étant pas une baguette magique, la pratique de cette technique demande une constance et une régularité quotidienne pour gagner en souplesse, prévient Helen Haynes. Il faut souvent plusieurs mois, voire dans certains cas des années, pour constater une différence physique. »

Il ne faut pas se décourager pour autant ! Certaines précautions sont notamment à prendre : « Les personnes particulièrement raides doivent faire très attention à ne pas s’étirer trop fort et à ne jamais forcer sinon elles risquent de se blesser et de se faire plus de mal que de bien », avertit Helen Haynes.

Dans tous les cas, pour apprécier cette pratique bien-être, il est important « d’écouter son corps, de ressentir un certain inconfort lors de l’étirement, mais pas au point de bloquer sa respiration », souligne Helen Haynes.

Source de l'article : sport/activites-physiques-forme/quels-sont-les-bienfaits-sante-du-stretching-964340?#at_medium=email&at_emailtype=retention&at_campaign=Quot_SAM&at_send_date=20230317&M_BT=17059782434867" target="_blank" rel="nofollow">https://www.santemagazine.fr/beaute-forme/sport/activites-physiques-forme/quels-sont-les-bienfaits-sante-du-stretching-964340?#at_medium=email&at_emailtype=retention&at_campaign=Quot_SAM&at_send_date=20230317&M_BT=17059782434867


#coeur #sport #maladies #cardiovasculaires
par Heartdrake
le Mar 21 Mar 2023 - 9:38
 
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Peut-on faire du sport quand on souffre d’arythmie cardiaque ?

Le sport est indispensable pour une bonne santé cardiovasculaire. Mais lorsque notre cœur défaille, peut-on vraiment poursuivre une activité physique ? Faut-il privilégier certains sports plutôt que d’autres ? Réponses du Dr Claude Kouakam, cardiologue.

La pratique d’une activité sportive régulière est bénéfique pour l’esprit, mais aussi pour le corps. Et cela vaut pour tout le monde : mis à part quelques exceptions, la plupart des patients en proie à une arythmie cardiaque sont encouragés à se mettre au sport. "Toutefois, cette pratique sportive doit être très encadrée, car le risque zéro n’existe pas", précise le Dr Claude Kouakam, médecin cardiologue, spécialisé dans la prise en charge des troubles du rythme cardiaque et responsable de l’unité Syncope et du Plateau technique rythmologique non invasif à l’Institut Cœur Poumon du CHU Lille.

Les bienfaits de l’activité physique pour le cœur et les artères des sportifs

La sédentarité est un facteur majeur de risque cardiovasculaire. L’activité physique au sens large, elle, favorise le bon fonctionnement de notre cœur et des artères qui l’alimentent.

Sur le plan médical, comme le détaille la Fédération française de Cardiologie (source 1) l’activité physique :

  • permet d’améliorer la performance du myocarde. En somme, la force de contraction du cœur augmente, ce qui lui permet de fournir un moindre effort pour propulser le sang dans l’organisme ;
  • contribue à lutter contre l’hypertension artérielle ;
  • protège les artères en améliorant leur vasodilatation, ce qui limite le risque de formation de caillots ;
  • et favorise le maintien d’un bon équilibre glycémique et participe à la prévention du diabète de type 2.

Par ailleurs, elle améliore aussi grandement la qualité de vie des patients en proie à une arythmie cardiaque :

  • elle permet d’effectuer plus facilement des tâches quotidiennes, comme monter les escaliers ou porter des sacs de courses ;
  • elle réduit les niveaux de stress et d’anxiété ;
  • elle accroît l’enthousiasme et l’énergie au quotidien ;
  • elle améliore la qualité du sommeil ;
  • et elle permet de gagner en confiance en soi.

"La clé du succès, c’est la régularité", insiste le Dr Kouakam. En effet, les substances bienfaisantes sécrétées par notre corps après une activité physique ne font effet que 24 à 36 heures D’où l’importance de la régularité.

Source de l'article : https://www.santemagazine.fr/sante/maladies/maladies-cardiovasculaires/peut-on-faire-du-sport-quand-on-souffre-darythmie-cardiaque-964535


#coeur #arythmie #maladies #cardiovasculaires #sport
par Heartdrake
le Mar 14 Fév 2023 - 9:39
 
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Sujet: Peut-on faire du sport quand on souffre d’arythmie cardiaque ?
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Sédentarité : marcher 5 minutes toutes les 30 minutes suffit ?

Diabète, surpoids, maladies cardiovasculaires… Les méfaits de la sédentarité et son corollaire, le manque d’activité physique, favorisent l’apparition d’un certain nombre de troubles évitables. Une équipe américaine pense avoir trouvé une solution simplissime pour y remédier.

« 95% de la population française adulte est exposée à un risque de détérioration de la santé par manque d’activité physique ou un temps trop long passé assis », alertait l’Agence nationale de sécurité sanitaire dans une étude publiée il y a un peu moins d’un an. Qui conseillait, pour inverser la tendance, de cumuler la pratique d’une activité cardiorespiratoire 5 fois par semaine pendant 30 minutes (vélo, marche, course…), du renforcement musculaire une à deux fois par semaine et d’exercices d’assouplissement deux à trois fois par semaine.

Plus facile à dire qu’à faire ? Alors pourquoi ne pas mettre en œuvre la solution proposée par une équipe américaine de l’Université de Columbia, récemment publiée dans la revue Medicine & Science in Sports & Exercise ? Une solution simple, tirée de l’expérience menée sur un tout petit échantillon de 11 personnes, mais qui semble donner des résultats.

5 options testées


Point de départ de l’expérience, dirigée par le Dr Keith Diaz, professeur associé de médecine comportementale à l’Université de Columbia : déterminer la plus petite quantité d’activité nécessaire pour neutraliser l’impact sur la santé d’une journée de travail passée assis. Les 11 participants, âgés de 40 à 60 ans et en bonne santé, ont donc passé une journée entière dans un fauteuil ergonomique, dans lequel ils ont pu travailler, lire, consulter leur smartphone…

Ils n’ont été autorisés à le quitter que pour tester les cinq options d’activité évaluées par les chercheurs : une minute de marche toutes les demi-heures, cinq minutes toutes les demi-heures, une minute toutes les heures, cinq minutes toutes les heures et aucune marche. Les participants ont en outre absorbé les mêmes repas, et les chercheurs ont régulièrement mesuré leur tension artérielle et leur taux de glycémie, des indicateurs clés de la santé cardiovasculaire.

5 minutes toutes les demi-heures


Résultat : dans tous les cas, le fait de marcher semble produire un effet bénéfique sur la tension artérielle, par rapport à l’absence de marche. L’impact sur la glycémie, lui, n’est probant que lorsque l’on marche une ou cinq minutes toutes les demi-heures.

Finalement, selon les chercheurs, la routine optimale serait de cinq minutes de mouvement toutes les demi-heures : c’est la seule qui a permis de réduire de manière significative la tension artérielle et surtout la glycémie des participants. Elle a notamment permis de diminuer de 58% les pics de glycémie par rapport à la position assise toute la journée.

Autres indicateurs en faveur du mouvement pendant les journées sédentaires : l’amélioration de l’humeur et la réduction de la fatigue, également mesurées par l’équipe du Dr Diaz. L’impact sur la performance cognitive, lui aussi évalué, est en revanche resté nul. Ces résultats encourageants doivent cependant être confirmées par d’autres études, menées sur des échantillons plus importants.

Source de l'article : https://destinationsante.com/sedentarite-marcher-5-minutes-toutes-les-30-minutes-suffit.html


#coeur #maladies #cardiovasculaires #sport
par Heartdrake
le Mer 25 Jan 2023 - 9:31
 
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Sujet: Sédentarité : marcher 5 minutes toutes les 30 minutes suffit ?
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Coupe du monde : le football, mauvais pour le cœur… des supporters ?

Qui de la France ou l’Albiceleste décrochera sa troisième étoile ? Quel que soit le résultat, ce match va provoquer une énorme vague d’émotions dans l’Hexagone et en Argentine. Mais plusieurs études ont déjà alerté sur ce trop-plein de sensations et de son impact sur le cœur !

L’émotion sera telle durant et après le match que les urgences doivent se préparer à connaître une activité accrue. En tout cas si l’on en croit différents travaux cherchant un lien entre la survenue d’accidents cardiovasculaires et une Coupe du monde.

Commençons par une étude conduite en 2017 par des chercheurs de l’Institut de cardiologie de Montréal (Canada). Ils avaient observé que « ceux qui regardent le match à la maison voient leur fréquence cardiaque augmenter de 75%. Quant à ceux qui sont dans les tribunes, leur fréquence est multipliée par 2. Soit l’équivalent d’un exercice physique intense ». Selon eux, « assister à une rencontre sportive engendre un stress émotionnel important. Ce qui peut conduire à la survenue d’accidents cardiovasculaires. Surtout chez des personnes prédisposées ».

Pas trop d’excitants pendant le match


Remontons un peu plus le temps et revenons en 2006, lors du Mondial en Allemagne. Des scientifiques de l’Université de Munich avaient montré que lors des matchs de la Mannschaft – autrement dit l’équipe allemande – les taux d’admission pour urgence cardiaque étaient multipliés en moyenne par 2,66 (par 3,26 chez les hommes et 1,82 pour les femmes) ! Encore une fois, cette observation était surtout valable pour les personnes présentant des antécédents médicaux.

Dernier bon en arrière, en 1998, lors de la Coupe du monde en France. Cette fois-ci, ce sont des chercheurs britanniques qui ont observé l’impact des performances des Three lions (l’équipe anglaise) sur leurs compatriotes. Et plus précisément le 30 juin 2018, lors du 8e de finale opposant l’Angleterre à l’Argentine, où les Anglais ont été éliminés aux tirs aux buts. Eh bien une augmentation de 25% des admissions pour infarctus du myocarde a été constatée ce soir-là et les deux jours suivants.

A noter : côté prévention, les scientifiques appellent à ne pas abuser d’excitants comme l’alcool, le tabac et autres drogues. Ces conseils sont valables pour tout le monde.

Source de l'article : https://destinationsante.com/coupe-du-monde-le-football-mauvais-pour-le-coeur-des-supporters.html


#coeur #maladies #cardiovasculaires #sport
par Heartdrake
le Lun 19 Déc 2022 - 9:32
 
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Sujet: Coupe du monde : le football, mauvais pour le cœur… des supporters ?
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Bigorexie : définition, causes, traitement et prise en charge

Derrière ce nom étrange se cache une véritable maladie reconnue par l’OMS depuis 2011. Il s’agit de l’addiction au sport. Il ne s’agit pas ici d’une simple passion mais bien d’une dépendance à la pratique excessive d’un sport pouvant provoquer de nombreux problèmes de santé. Environ 15 % des sportifs pratiquant entre une et plusieurs heures de sport par jour peuvent être concernées par la bigorexie.

Comment la bigorexie arrive-t-elle ?

Le sport peut représenter un effort pénible, mais au delà d’un certain stade, il entraine une libération d’endorphines qui procure une sensation de bien-être, de bonheur et de plénitude. Les sportifs bigorexiques associent également le sport comme un exutoire leur permettant de soulager une anxiété voire une douleur actuelle ou passée.
De plus, la recherche de l’exploit, l’envie d’avoir un corps que le sportif considérera comme parfait, le fait de pouvoir prendre le contrôle par le corps et la force peut accentuer la maladie.
Il y aurait risque pour un sportif amateur de tomber dans ce genre d’addiction lorsque la dizaine d’heures de pratique par semaine est dépassée.

Quelles sont les symptômes et conséquences de la bigorexie ?

Une personne atteinte par cette maladie aura énormément de mal à se passer de sport dans la mesure où son bien-être en dépend. Sa vie quotidienne sera donc entièrement organisée autour du sport, avec tous les déconvenues sociales, familiales et professionnelles que cela peut entrainer. La maladie n’est pas facilement dépistable dans la mesure où elle a principalement une influence sur le comportement et que la prise ou la perte de poids n’est pas forcément extrême.
Toutefois, des problèmes physiques peuvent finir par arriver : déchirures musculaires, atteintes tendineuses, fractures osseuses, infarctus Une véritable fatigue physique peut s’instaurer en raison de qui devient vite un surentraînement. Celui-ci survient lorsque la récupération suite à des efforts prolongés et/ou intenses n’est plus suffisante. Peuvent s’en suivre une prise de produits nocifs pour la santé tels que les anabolisants, ou le suivi de régimes hyperprotéinés qui, mal dosés peuvent entrainer de graves troubles de la santé.
Pour s’en sortir il est important d’avoir un suivi psychologique avec un professionnel. Il est également important également de diversifier les sports pratiqués et de se tourner vers les sports d’équipe pour retrouver d’autres intérêts dans la pratique du sport.

Comment la prévenir ?

Le sportif atteint de bigorexie n’a pas toujours conscience qu’il pratique bien trop d’activité physique. Les blessures à répétition (malgré une bonne exécution des mouvements liés à la pratique), le temps de pratique en tant que non-professionnel, ou la recherche permanente de performances au détriment de la santé sont autant de signaux à côté desquels il ne faut pas passer.

Traitements et prise en charge

Comme toute addiction comportementale, la bigorexie peut être soignée par le suivi d’une thérapie. Qu’il s’agisse d’un psychiatre addictologue, d’un thérapeute spécialisé en thérapies comportementales ou encore un sophrologue, le praticien aide le sportif à sortir de la bigorexie en replongeant dans le passé de son patient. Recherche absolue de la performance, mal-être sous-jacent… La majorité des cas de bigorexie ont une cause profonde. Il peut même être question d’« anorexie inversée » pour les pratiquants s’alimentant exclusivement dans le cadre d’une prise de muscle et souhaitant à tout prix avoir le contrôle de leur physique.
Par ailleurs, les sportifs atteints de bigorexie peuvent également être orthorexiques, c’est-à-dire qu’ils n’aspirent qu’à ne consommer que des aliments qu’ils considèrent sains et planifier chaque repas. Bien qu’elle ne soit pas considérée comme une pathologie, l’orthorexie révèle le plus souvent un mal-être et peut être vue comme un trouble du comportement alimentaire.
C’est en ce sens que la prise en charge de la bigorexie peut être pluridisciplinaire. Entre le respect d’un menu adapté, la prise de médicaments ou encore les recommandations à pratiquer un sport à plusieurs, le chemin vers le rétablissement n’est pas des plus courts.
La bigorexie est considérée comme une maladie chronique et est, de ce fait, entièrement prise en charge par la Sécurité sociale. En revanche, certains traitements dépendent d’un dépassement d’honoraires et de frais d’hospitalisation ne pouvant pas être remboursés par l’Assurance maladie. Il est donc important de faire la souscription d’une bonne mutuelle santé pour bénéficier d’une prise en charge adéquate.

Source de l'article : https://www.lelynx.fr/mutuelle-sante/indemnisation/securite-sociale/sport/bigorexie/


#coeur #maladies #cardiovasculaires #infarctus #sport
par Heartdrake
le Ven 2 Déc 2022 - 13:02
 
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Sujet: Bigorexie : définition, causes, traitement et prise en charge
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Travail sur écran : pourquoi vous devez marcher au moins une fois par heure ?

Vous réalisez une séance de running ou de fitness par semaine ? C’est un fait : la pratique d’une activité physique ponctuelle ne suffit pas malheureusement à contrebalancer les effets sournois de longues heures de sédentarité quotidienne. La clé ? Couper celle-ci par une mise en mouvement.

La sédentarité est définie par une situation d’éveil caractérisée par une dépense énergétique faible, en position assise ou allongée. Elle doit être distinguée de l’inactivité physique, qui correspond à un niveau insuffisant d’activité physique d’intensité modérée à élevée, par rapport aux recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

L'organisation onusienne recommande alors une activité de 30 minutes au minimum 5 fois par semaine pour les adultes et 60 minutes par jour pour les enfants et adolescents.

Marcher 5 minutes toutes les heures

La sédentarité exerce des effets propres sur la santé. Elle constitue notamment un facteur de risque de développer un diabète de type 2, d’obésité et encore de maladies cardiovasculaires.

« Les personnes qui passent plus de 7 heures par jour en position assise devant un écran ont un risque de mortalité cardiovasculaire supérieur (de l’ordre de 85 %) à celui des personnes qui passent moins d’une heure par jour », décrit l’Anses (l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail).

Votre travail vous maintient en position assise toute la journée ? « Pour voir les paramètres métaboliques s’améliorer, il faut à la fois augmenter l’activité physique, et diminuer le temps passé assis », souligne la physiologiste Audrey Bergouignan, dans le Journal du CNRS.

La scientifique préconise ainsi 45 minutes de marche rapide par jour, réalisés en une seule fois. Ou de couper toutes les heures : se lever, marcher d’un bon pas, monter les escaliers etc., pendant 5 minutes.

Source de l'article : https://www.ledauphine.com/magazine-sante/2022/11/24/travail-sur-ecran-pourquoi-vous-devez-marcher-au-moins-une-fois-par-heure


#coeur #maladies #cardiovasculaires #sport
par Heartdrake
le Mer 30 Nov 2022 - 10:06
 
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Sujet: Travail sur écran : pourquoi vous devez marcher au moins une fois par heure ?
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Le pickleball : le jeu de raquette accessible à tous

Le pickleball est un sport récent en France même s’il est apparu il y a déjà plusieurs années outre-Atlantique. Si vous avez envie de vous essayer à un jeu de raquette sans pour autant disposer des atouts d’une star du tennis, c’est la discipline qu’il vous faut. Présentation.

Créé aux États-Unis en 1965 sur l’île de Bainbridge près de Seattle, le pickleball a d’abord consisté à « jouer avec des palettes de tennis de table et une balle en plastique », peut-on lire sur le site de la Fédération Pickleball France. Ensuite la discipline s’est affinée. Après avoir « placé le filet à la hauteur d’un filet de badminton et joué à la volée au-dessus du filet », les créateurs ont « constaté que la balle rebondissait bien sur une surface de sol solide, de sorte que le filet a été abaissé et les règles ont évolué pour devenir le sport » actuel.

Aujourd’hui donc, le pickleball combine des éléments du tennis, du padel, du badminton et du tennis de table. Pour y jouer, on dispose d’une raquette chacun et d’une balle perforée en plastique sur un terrain de badminton au-dessus d’un filet de type tennis. En général, ce sport se pratique en double mais peut aussi être joué en simple, en intérieur comme en extérieur.

Pourquoi Pickleball ? Contrairement aux sports qui sont nommés en raison de leurs caractéristiques, comme le basket pour « panier » en français, « la légende veut que Pickle (Cornichon) était le chien de la famille et qu’il ne cessait de courir derrière la balle ».

Intérêt et bénéfices. Ce sport a été créé dans l’idée de permettre à tout un chacun, quel que soit son niveau ou son âge, de maitriser un minimum les bases et donc se faire plaisir rapidement. Ainsi notamment « le placement et les tactiques du jeu de la balle sont plus importants que la puissance et la vitesse », précise la Fédération française. Résultats, « ceux qui ont une bonne coordination œil-main et une bonne compréhension de la stratégie de ce sport peuvent concurrencer efficacement des adversaires plus agiles et puissants ».

Ce sport offre aussi des bénéfices santé importants et rapidement acquis. C’est une bonne activité cardio et sa pratique permet d’« améliorer de manière progressive la souplesse, l’équilibre et de la force musculaire », précise la World Pickleball Federation.

De plus, la santé cognitive est elle aussi stimulée puisque la pratique de cette activité favorise le « développement des fonctions mnémoniques en apprenant à donner les scores, à garder le score en mémoire et en élaborant des stratégies », poursuit-elle. La concentration est également stimulée.

Alors, n’hésitez pas à chercher le club le plus proche de chez vous.


Source de l'article : https://destinationsante.com/le-pickleball-le-jeu-de-raquette-accessible-a-tous.html


#coeur #sport
par Heartdrake
le Mer 30 Nov 2022 - 9:35
 
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Sujet: Le pickleball : le jeu de raquette accessible à tous
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Le longe-côte, quels sont les bienfaits de cette marche aquatique ?

Le longe-côte est une randonnée pédestre-aquatique où le sportif longe la côte. C'est une discipline très complète qui présente de nombreux bienfaits et qui compte de plus en plus d’adeptes en France. 

En quoi consiste le longe-côte et quels sont ses bienfaits ? C’est ce que nous allons découvrir dans cet article.

Le longe-côte, qu'est-ce que c'est ?

Le longe-côte, aussi appelé randonnée pédestre aquatique, est un sport qui consiste à marcher dans l’eau et à longer les côtes. 

C’est il y a 15 ans, dans le Nord de la France qu’est née cette discipline et qui existe désormais à l’international. Côte d’azur, côte d’Opale, côte de Granit rose, où que vous viviez, vous pourrez pratiquer cette activité de plein air.

Caractéristiques du longe-côte

Pour pratiquer le longe-côte, tout comme n'importe quel sport vous allez vous échauffer sur le bord de mer avant de vous lancer dans l'eau. Vous allez ensuite vous immerger jusqu'au torse environ et avancer en groupe sur le long d’une côte marine. Le plongeur (pratiquant du longe-côte) peut s’aider ou non d’une pagaie.

Les pieds dans le sable, vous allez marcher, faire des pas chassés, des montées de genoux, le tout dans l’eau de mer avec un paysage splendide à perte de vue. C’est donc un sport d’endurance, tout en étant assez doux pour le corps.

Une séance de longe-côte est encadrée par un coach afin d'éviter de vous retrouver piégé dans une bâche ou emporté par le courant.

Les bienfaits du longe-côte

Le longe-côte a de nombreux bienfaits sur le corps et sur le moral. Ce sport est ainsi très complet. 

Travailler notre endurance

Une séance de longe-côte dure entre 45 min et 1 h 30 en général. C'est donc un sport d’endurance qui va permettre de :

  • faire travailler votre cardio ;

  • protéger votre système cardiovasculaire ;

  • améliorer votre tension ;

  • diminuer votre taux de cholestérol ;

  • améliorer votre diabète ou prévenir son arrivée. 


En étant cardio, le longe-côte permet de puiser dans les réserves, et ainsi enclencher une perte de masse grasse. C'est donc un sport très intéressant pour les personnes qui veulent perdre du poids. Cette discipline est un excellent combustible à calories, vous pouvez brûler jusqu’à 550 calories par heure.

Améliorer notre circulation sanguine et l'aspect de notre peau 

Comme tous les sports aquatiques, le longe-côte est bon pour les personnes qui souffrent de rétention d’eau. Ce sport va permettre un bon drainage des membres inférieurs en améliorant le retour veineux.

La poussée du pied dans le sable demande une attaque franche du talon suivi d'un déroulement du pas souple jusqu'aux orteils. Après la séance, vous aurez une sensation de jambes légères. De plus, le port de la combinaison est également comme un bas de contention, ce qui améliore la circulation sanguine.

Non seulement ce sport est aquatique, mais en plus, il se pratique en mer. Vous allez ainsi bénéficier de la qualité de l’eau de mer, et des sels marins, pour gommer la cellulite et lisser la peau.

Améliore notre système immunitaire

Grâce à l’iode marin et l’effet eau fraîche qui ont un effet bénéfique sur l’immunité, vous tombez moins malade. En effet, l’eau de mer permet de recharger nos batteries, et de purifier notre organisme.

Efficace mais doux

Enfin, le longe-côte se pratique en profitant de la pesanteur de l’eau. Il est donc considéré comme un sport de décharge au même titre que le vélo ou la natation, car il est peu traumatisant pour les articulations.

En faisant du longe-côte, vous vous entrainez tout en luttant contre la force de l’eau ainsi en sollicitant tous les groupes musculaires immergés. Avoir le dos dans l’eau permet d'éviter de forcer sur le bas de la colonne vertébrale. C’est un sport qui est fortement recommandé pour les lombalgies, car il améliore les douleurs.

Lutte contre le stress

Vous allez pratiquer ce sport dans le meilleur endroit possible : la mer.

En pratiquant le longe-côte à l’extérieur, dans un endroit non pollué, vous allez favoriser la bonne oxygénation de vos poumons et vos muscles. Vous allez permettre à votre moral et à votre cerveau de s’apaiser le temps d’une séance. On parle aussi de sport anti-stress.

Développe notre esprit d'équipe

Le longe-côte est un sport qui se pratique en groupe, c'est donc un spot idéal pour se sociabiliser, rencontrer de nouvelles personnes et développer l’esprit d’équipe.

Même si chacun avance individuellement, il existe des stratégies pour dynamiser le groupe et avancer plus ou moins vite grâce à des meneurs et des techniques d’éviction des vagues. Il existe même des championnats de France de longe-côte. 

Quel équipement pour pratiquer le longe-côte ?

Pour pratiquer le longe-côte, il n’y a pas besoin d’un équipement très spécifique.

L’été en mer chaude, un maillot de bain est suffisant. Vous pouvez vous munir de chaussons de plage pour éviter toute coupure au niveau des pieds et éviter de glisser sur les galets.

L’hiver, ou dans le Nord, prévoyez une combinaison néoprène pour pratiquer ce sport sans avoir trop froid. Les clubs proposent généralement un vestiaire et une douche sur la plage attenante.


Qui peut pratiquer le longe-côte ?

En dehors des problèmes de peau vous interdisant les baignades, de fracture récente, ou de maladie cardiaque sévère, tout le monde peut pratiquer le longe-côte.

Si vous êtes enceinte, vous pouvez pratiquer le longe-côte jusqu'au 6ème mois de grossesse.

Sachez qu'il est possible de s'adresser au club local pour profiter d’une séance découverte quel que soit votre âge ou votre niveau de natation.

Pensez à bien vous protéger avec une crème solaire et profitez du longe-côte.

Source de l'article : https://www.passeportsante.net/fr/forme/sport/Fiche.aspx?doc=bienfaits-longe-cote&utm_source=newsletter&utm_campaign=minceur-combien-calories-jour-faut-perdre-maigrir&utm_medium=minceur-25072022&ium=39000005121456

#coeur #sport
par Heartdrake
le Mar 26 Juil 2022 - 15:53
 
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Sujet: Le longe-côte, quels sont les bienfaits de cette marche aquatique ?
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Quels sont les bénéfices de la marche sportive sur le corps ?

La marche sportive est un sport d’endurance dont les bienfaits sur la santé sont prouvés. Si vous détestez courir ou que vous n’aimez ni la natation ni le cyclisme, il est sûrement fait pour vous. On vous dit tout.
Vous rêvez de perdre quelques kilos et de vous remettre en forme mais vous ne savez pas par où commencer ? La marche sportive est sûrement la solution qu’il vous faut. Efficace et peu chère, elle vous permettra également de prendre l’air. Succès garanti !

Sculptez votre silhouette avec la marche sportive

Si vous désirez maigrir, il vous faut absolument vous dépenser. La marche sportive est un moyen simple d’y parvenir et de sculpter votre corps sans trop d’efforts. Moins traumatisante que la course à pied, la marche sportive doit être pratiquée durant 45 minutes consécutives pour entraîner une perte de poids visible. Vous brûlez environ 120 calories à chaque fois que vous parcourez deux kilomètres. Et ce n’est pas tout. La marche sportive dessine les abdos et muscle les cuisses et les fessiers sans les gonfler outre mesure. Elle vous fera également suer : un fait particulièrement bénéfique à votre corps. La sudation permet d’éliminer les toxines. Marcher régulièrement favorise aussi le transit, ce qui vous aide à éliminer. Si vous avez peur de vous ennuyer pendant 45 minutes, n’hésitez pas à emporter un baladeur ou à télécharger des podcasts à écouter en amont. Vous pouvez également pratiquer cette activité accompagné afin de vous motiver. Si vous avez un chien par exemple, la marche sportive est idéale. Il vous accompagnera et pourra se défouler sans vous gêner. À l’issue de votre séance de sport, n’oubliez pas de vous étirer et de vous hydrater. La marche sportive, comme toute activité physique, peut provoquer des courbatures.

Améliorez votre cardio avec la marche sportive

La marche sportive est un sport d’endurance qui aide à la remise en forme. Elle fait travailler votre cœur et décrasse vos artères. En pratiquant ce sport, vous améliorez votre santé sans traumatiser votre corps. Particulièrement adéquate pour renouer avec une dépense physique quotidienne, vous pouvez la pratiquer partout. Il vous suffit de chausser une paire de basket et d’enfiler votre tenue de sport pour vous y mettre. Marcher régulièrement diminue également le taux de cholestérol dans votre sang et améliore votre espérance de vie. Autre avantage : la marche sportive est un sport doux. Dès que vous vous sentirez exténué, vous pourrez ralentir et tout simplement marcher en profitant du paysage qui vous entoure.

Soignez votre mental avec la marche sportive

Les bienfaits du sport sur la santé mentale sont désormais connus. Pratiquer une activité sportive régulièrement est essentiel. Le sport sécrète des endorphines, les hormones du bonheur, qui favorisent le bien-être et l’estime de soi. La marche sportive peut vous aider à prendre confiance en vous et à vous sentir à l’aise dans votre corps. Deux conditions indispensables pour rayonner auprès de vos proches au quotidien.


Source de l'articleQuels sont les bénéfices de la marche sportive sur le corps ? (passeportsante.net)


#coeur #sport
par Heartdrake
le Dim 22 Mai 2022 - 17:59
 
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Sujet: Quels sont les bénéfices de la marche sportive sur le corps ?
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Le « Tennis santé », une activité adaptée à tous

Toutes les générations se rassemblent devant les écrans de télévision pour suivre Roland-Garros. Et sur les cours de tennis, les seniors et personnes âgées peuvent aussi être adeptes de la raquette. Zoom sur le Tennis Santé, une pratique efficace dans le suivi des maladies chroniques. Mais pas seulement…

« La santé au bout de la raquette », affirme Christian Forbin, médecin associé à la Fédération française de tennis (FFT). C’est dire si le tennis coche toutes les cases du sport complet. Cette discipline « contribue au bien-être physique, mental et social, les trois composantes de la définition de la santé », décrit la FFT.

Surpoids, HTA, diabète, stress…

Et la population jeune n’est pas la seule à pouvoir en bénéficier. En effet, « le tennis peut se jouer à tous les âges et quel que soit son passé sportif ». Cette activité physique constitue même un « outil thérapeutique dans la lutte contre le vieillissement et les maladies chroniques ».
Les bénéfices sont tels que la FFT en fait une discipline à part : le Tennis Santé. Alliant « plaisir et lien social », cette dernière a été instauré en 2014 en accord avec le Comité national olympique et sportif français (CNOSF).
Une séance de Tennis Santé se déroule avec 8 joueurs maximum. Les enseignants spécialisés proposent du matériel adapté à l’âge et aux capacités de chacun. Pour limiter les déplacements et favoriser les échanges, « les terrains sont de taille variable, les filets de hauteur modulable, les balles plus lentes et les raquettes de taille adaptée ».

9,7 années de vie gagnées

Le Tennis Santé peut bénéficier aux patients atteints de différentes pathologies. C’est le cas de « l’artériopathie oblitérante des membres inférieurs (AOMI), de l’hypertension artérielle (HTA), des coronaropathies, du surpoids et de l’obésité, du diabète de type 2, du stress, de l’anxiété, de la dépression ». Mais aussi « du cancer (sein, prostate, colon), des pathologies articulaires (arthrose, spondylarthrite, polyarthrite) et de la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) ».
La pratique du tennis diminue de 47% le risque de décès toutes causes confondues. Cette donnée passe à 56% concernant la mortalité d’origine cardiovasculaire. Au total, les praticiens assidus du tennis gagnent 9,7 ans de vie.
Enfin, le Tennis Santé peut être proposé parmi les activités physiques adaptées (APA) auprès de patients atteints de maladies chroniques. Si vous êtes concernés, votre médecin traitant peut vous adresser une prescription : avec une ordonnance, il est possible, selon la région dans laquelle vous vivez, de bénéficier d’une prise en charge financière. Vous pouvez aussi vous renseigner auprès de votre mutuelle pour prendre connaissance des taux de couverture.


Cliquez [url=https://www.fft.fr/sites/default/files/2022-01/Les clubs labellis%C3%A9s Club Tennis Sant%C3%A9.pdf]ici[/url] pour trouver le club labellisé le plus proche de chez vous.


Source de l'article Le « Tennis santé », une activité adaptée à tous - A la une - Destination Santé (destinationsante.com)


#sport #hypertension
par Heartdrake
le Dim 22 Mai 2022 - 17:54
 
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Sujet: Le « Tennis santé », une activité adaptée à tous
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95% des Français ne bougent pas assez pour rester en bonne santé

C’est bien connu, bouger régulièrement permet de rester en bonne santé. Pourtant, seuls 5% des adultes ont une activité physique suffisante pour être protectrice. Et les femmes seraient plus concernées par la sédentarité.

Rester assis plus de 6 heures par jour et ne pas compenser par une activité physique régulière accroît le risque de maladie cardiovasculaire, de diabète de type 2 ou encore de cancer… En fait, l’inactivité physique est le quatrième facteur de risque de maladies non transmissibles.
Selon l’Agence nationale de Sécurité sanitaire (Anses), « 95% de la population française adulte est exposée à un risque de détérioration de la santé par manque d’activité physique ou un temps trop long passé assis. » Et les femmes seraient en première ligne puisque 70 %d’entre elles sont en deçà de tous les niveaux d’activité identifiés pour être en bonne santé, contre 42 % des hommes. Un récent travail de l’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire (Injep), avait montré que l’accumulation des contraintes professionnelles, scolaires et familiales était largement responsable de cette situation.

Enchaîner les activités

Alors quels sont ces « niveaux d’activité » ? Pour être en bonne santé, il serait nécessaire de cumuler différents exercices :
  • Pratiquer 30 minutes, 5 fois par semaine, une activité cardiorespiratoire comme monter les escaliers ou faire du vélo, courir, marcher à bonne allure

  • Effectuer du renforcement musculaire 1 à 2 fois par semaine comme, porter une charge lourde, jouer au tennis, faire de la natation ou de l’aérobic

  • Réaliser des exercices d’assouplissement comme de la gymnastique, de la danse ou encore du yoga, 2 à 3 fois par semaine.

De nombreux obstacles

Vouloir faire du sport, c’est bien. Le pouvoir, c’est une autre affaire. Car de nombreux obstacles (souvent liés à l’urbanisme) sont un frein à la pratique sportive. Comme le souligne le Pr Irène Margaritis, cheffe de l’Unité d’évaluation des risques liés à la nutrition à l’Anses, « c’est l’organisation même de nos modes de vies qui est à revoir : que ce soit dans l’espace public, en laissant davantage de place aux mobilités actives comme le vélo ou la marche, ou sur le lieu de travail, en favorisant la pratique sportive et en limitant les temps de sédentarité, ou encore dans le système scolaire en augmentant l’espace et le temps dédiés aux activités physiques et sportives ».

Source de l'article95% des Français ne bougent pas assez pour rester en bonne santé - A la une - Destination Santé (destinationsante.com)

#coeur #maladies #cardiovasculaires #sport #activités #physiques #diabète
par Heartdrake
le Mar 15 Fév 2022 - 20:47
 
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Sujet: 95% des Français ne bougent pas assez pour rester en bonne santé
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100% Sport: l'activité physique après un accident cardiaque

Après un infarctus, Hervé Quinet a subit de sérieuses opérations cardiaques. Conscient que la vie lui offre un deuxième chance, il a décidé de tout faire pour réaliser son rêve : Prendre le départ de l'Africa Eco Raid et voir le Lac Rose à Dakar. Chose faite en janvier 2020, au volant de son buggy, au côté de son épouse et copilote Marie-Laure.

Pour remercier le personnel du centre de rééducation cardiaque de Joigny, au sein duquel il a passé un séjour post opératoire, il a offert un euro pour chaque kilomètre parcouru entre Tanger et Dakar. Soit plus de 8218 euros. En janvier 2022, il réalise son rêve ultime : prendre le départ du Dakar. Là encore, c'est pour la bonne cause ! Il court au profit du club coeur et Santé de Joigny. un euro offert pour chaque kilomètre parcouru soit près de 8000 euros. 

Le cœur est-il un muscle comme les autres?

La plupart des adhérents du Club Coeur Santé de Joigny sont des personnes atteintes de maladies cardiaques ou qui ont  déjà fait des infarctus, sont porteuses de stents, ou encore de valves.  Les autres adhérents ont choisi d'exercer une activité physique en  prévention, ou sont atteints de pathologies telles que l'obésité, ou le  diabète. Mais il n'est jamais trop tôt pour débuter une activité physique.

Le coeur est un muscle il a besoin d’être développé. Comment ? Grâce à l’activité physique ! Il faut savoir l’entraîner pour lui assurer une bonne santé. Une activité physique régulière est indispensable pour protéger le cœur.

Pour retrouver un club Coeur et santé près de chez vous 

Source de l'article100% Sport: l'activité physique après un accident cardiaque (francebleu.fr)

#coeur #maladies #cardiovasculaires #sport
par Heartdrake
le Mer 2 Fév 2022 - 9:09
 
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Sujet: 100% Sport: l'activité physique après un accident cardiaque
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Sport intense après une mauvaise nuit : gare à votre coeur !

Selon une étude suédoise récente, un manque de sommeil associé à une pratique sportive intense pourrait avoir un impact négatif sur le cœur. Les résultats sont publiés dans la revue scientifique Molecular Metabolism.
Dans cette étude pilote, menée à petite échelle sur seulement seize volontaires en bonne santé et de poids normal, les chercheurs ont tout d’abord chercher à dépister de manière approfondie leurs potentielles maladies cardiovasculaires antérieures, ainsi que le facteur "hérédité" que pouvaient présenter les volontaires.

Sommeil perturbé + stress intense : attention !

Puis les participants ont tout d’abord suivi un rythme de sommeil normal, avec 7 à 9 heures de sommeil par nuit. Ils ont alors subi une période d’exercice intense, le matin. Puis un autre séance le matin aussi, mais trois nuits après avoir vu leur sommeil écourté de moitié, chaque nuit. Des prises de sang leur ont été faites chaque jour, matin et soir.
Résultat : lorsque les participants ont fait du sport de manière intense après un sommeil écourté, les niveaux de troponine, un biomarqueur des lésions cardiaques présent dans le sang, augmentaient légèrement plus. Les niveaux ont augmenté de 40 % après trois nuits de restriction partielle de sommeil, par rapport à ceux qui faisaient de l'exercice dans un état bien reposé.

Gare aux effets nocifs d'un mauvais sommeil

L'étude est une petite étude pilote et il n'est pas encore possible de déterminer si les résultats peuvent être pertinents pour la santé cardiovasculaire. Cependant, les chercheurs savent qu’un sommeil perturbé et raccourci augmente les risques de maladies cardiovasculaires comme l’infarctus du myocarde ou l’hypertension artérielle. Comme l’explique le Dr Jonathan Cedernaes, médecin et professeur agrégé de biologie cellulaire médicale à l'Université d'Uppsala, en Suède, qui a dirigé l'étude : "L'exercice est excellent pour le cœur, tandis que le manque de sommeil peut avoir un impact négatif sur le système cardiovasculaire. Mais on ne sait pas si un sommeil raccourci peut moduler le stress physiologique que l'exercice intense semble avoir sur les cellules du cœur".

Des résultats à valider


"Aujourd'hui, il n'existe aucune preuve suggérant qu'il serait nocif pour le cœur de faire de l'exercice régulièrement alors que vous avez trop peu dormi. On peut plutôt renverser l'argument : en s'assurant de dormir suffisamment, on peut encore augmenter l'impact positif d'exercice physique" ajoute le Dr Cedernaes. Et conclut par le fait que ses travaux devraient être réalisé sur un plus grand nombre de personnes différentes, comme des femmes, des athlètes de haut niveau ou encore des militaires.


Source de l'articleSport intense après une mauvaise nuit : gare à votre coeur ! (doctissimo.fr)


#coeur #maladies #cardiovasculaires #sommeil #sport
par Heartdrake
le Mar 1 Fév 2022 - 8:51
 
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Sujet: Sport intense après une mauvaise nuit : gare à votre coeur !
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Transitions de la vie : bougez… pour votre cœur !

Les tournants marquants de la vie peuvent fragiliser notre santé cardiovasculaire. En cause : ces phases parfois compliquées à traverser nous incitent à la sédentarité plus qu’à la mise en mouvement. Et nos cœurs semblent en pâtir sur le long terme.

« Changer de travail, avoir un enfant, partir à la retraite sont des exemples d’événements majeurs qui peuvent impacter le degré d’activité physique d’une personne », décrit le Pr Chair Abbi D. Lane-Cordova (Université de Caroline du Sud, Etats-Unis). Et dégrader sur le long terme la santé cardiovasculaire. Pour le prouver, l’équipe du Pr Abbi D. Lane-Cordova a analysé les données du fichier « Healthy People 2020 ».
Résultat, « sur la moyenne de ces dernières années, seuls 20% des jeunes et 24% des adultes respectaient les recommandations de l’American Heart Association » : 150 minutes par semaine d’activité physique à une intensité modérée ou 75 minutes à une intensité élevée pour les adultes, et 60 minutes d’activité physique modérée par jour pour les 6-17 ans. Les chercheurs ont ensuite isolé plusieurs événements majeurs corrélés à un manque d’activité physique : « les entrées à l’école, le premier travail, le mariage, la grossesse, la parentalité, la retraite ou l’admission en établissements de soins. » Autant de phases au cours desquelles les repères changent.

Insuffisance cardiaque

La sédentarité fait le lit de nombreux facteurs de risque des maladies cardiovasculaires : le surpoids, le diabète, l’hypertension artérielle et les dyslipidémies*. Le manque d’activité physique favorise aussi l’insuffisance cardiaque. Comment se traduit cette pathologie ? A force de rester au repos, le cœur perd sa puissance de contraction : le volume sanguin entrant et sortant dans le cœur diminue au fil du temps : les tissus, les muscles et tous les organes s’en trouvent moins oxygénés.

Inciter à la pratique du sport

« L’activité physique devrait être recommandée pendant les phases clés de la vie, pour mieux traverser ces périodes de transition et maintenir le cœur en bonne santé », atteste le Pr Abbi D. Lane-Cordova. Un point particulièrement important alors que « la tendance à la sédentarité a largement gagné du terrain depuis la crise de la Covid-19 », du fait des confinements successifs et du recours au télétravail notamment.
« En consultation chez le médecin traitant par exemple, un simple questionnaire pourrait être adressé au patient s’il traverse une phase particulière de sa vie, pour évaluer son rapport au sport et l’aider à faire évoluer ses habitudes si besoin. » Autre solution, « inciter à l’usage d’un podomètre » ou d’une montre connectée pour enregistrer les déplacements quotidiens, le nombre de pas, la perte de calories, la fréquence cardiaque afin d’avoir des données concrètes sur la dépense énergétique quotidienne.


Source de l'articleTransitions de la vie : bougez… pour votre cœur ! - A la une - Destination Santé (destinationsante.com)


#coeur #maladies #cardiovasculaires #insuffisance #cardiaque #sport
par Heartdrake
le Mar 18 Jan 2022 - 17:53
 
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Natation et maladies cardio-vasculaires

L’exercice physique et sportif est actuellement reconnu comme bénéfique pour les maladies cardio-vasculaires à la fois sur leurs facteurs de risque et comme thérapeutique non médicamenteuse. La natation offre par ailleurs un intérêt chez des patients qui présentent des contraintes de surcharge pondérale ou des problèmes de l’appareil locomoteur qui rendraient difficile la pratique d’un sport avec impact au sol.
Par le docteur Françoise Maupas-Schwalm, cardiologue et médecin du sport à Toulouse
Les bénéfices de l’activité physique sur la santé sont actuellement bien connus, et la Haute Autorité de santé a édité en 2018 un guide de la « Promotion, consultation et prescription médicale d’activité physique et sportive pour la santé chez les adultes ». Sur les 6 référentiels de prescription de l’activité physique et sportive, 5 concernent les maladies cardiovasculaires et certains de leurs facteurs de risque.

Quels sont les facteurs de risque des maladies cardio-vasculaires qui peuvent être améliorés par la natation ?

Certaines situations ou habitudes de vie, comme la sédentarité, les déséquilibres alimentaires quantitatifs mais aussi qualitatifs, le tabagisme, le stress de la vie quotidienne, qui peuvent être intriquées, conduisent au développement d’anomalies métaboliques et à certaines maladies dont les maladies cardio-vasculaires. Les facteurs du risque cardio-vasculaire sont particulièrement sensibles à l’exercice physique.

La surcharge pondérale ou l’obésité sont favorisées par la sédentarité, mais une fois installées, elles limitent l’exercice physique. Elles peuvent s’associer à des anomalies du métabolisme des sucres (diabète sucré) ou des lipides avec excès de cholestérol ou de triglycérides (dyslipidémies). La pratique de la natation est utile pour perdre du poids, elle fait partie des sports les plus consommateurs d’énergie si elle est pratiquée à haute intensité.
Chez le nageur de loisir régulier, l’intensité modérée de la pratique n’est pas à l’origine d’une consommation énergétique aussi importante mais se combine fréquemment à une perte de poids en raison de l’installation d’un cercle vertueux qui pousse le pratiquant à une alimentation mieux équilibrée. De plus, pratiquer un exercice physique immergé, par le ressenti de l’allégement dans l’eau, est souvent un moyen de moins souffrir des contraintes liées au poids et de s’affranchir d’une image corporelle quelquefois complexante.

De nombreuses études montrent que le diabète de type 2 (diabète sucré lié à une moindre sensibilité à l’insuline) est un important facteur de risque d’atteintes vasculaires et cardiaques. Il réagit très bien à l’exercice physique. La Haute Autorité de santé conseille de prescrire aux patients présentant un diabète de type 2 une activité physique d’endurance régulière associée à du renforcement musculaire, ce qui correspond à la pratique de la natation.
Parmi les anomalies métaboliques délétères sur le plan cardiovasculaire, les dyslipidémies en particuler exposent au risque de conduire à des complications cardio-vasculaires car elles permettent le développement accéléré de l’athérosclérose dans les artères périphériques ou cardiaques.
Toutes les anomalies lipidiques ne peuvent malheureusement pas être significativement améliorées par la pratique sportive seule, telles les dyslipidémies transmises génétiquement. Mais de nombreux travaux montrent depuis plus de vingt ans qu’une pratique sportive régulière d’endurance permet de faire baisser significativement le taux de LDL (lipoprotéines dont le taux est très corrélé aux atteintes d’athérome artérielles), le taux de triglycérides et de faire augmenter le taux de HDL, facteur de protection des maladies cardio-vasculaires.

La pratique d’un exercice physique permet une lutte contre le stress de la vie quotidienne ou professionnelle. Le stress est un important facteur de risque des maladies cardio-vasculaires, soit en lui-même quand il est ressenti de façon chronique, soit parce qu’il est souvent accompagné de conduites aidant à se détendre (grignotages alimentaires, consommation de sucre, tabagisme…) associées au risque cardio-vasculaire.

La natation permet de s’accorder du temps pour soi. De nombreuses techniques de relaxation utilisent l’immersion en milieu aquatique qui est un environnement sensoriellement isolant. De plus, la pratique natatoire est une activité individuelle mais souvent réalisée en groupe ce qui contribue à se désengager du quotidien.

Enfin, des études montrent que la pratique d’une activité physique aide le pratiquant à diminuer sa consommation tabagique.

Une personne présentant une maladie cardio-vasculaire peut-elle pratiquer la natation ?

En 2015, un amendement de la loi santé stipule que les médecins peuvent prescrire de l’activité physique adaptée pour les patients présentant une maladie de longue durée. Une expertise collective de l’INSERM édite une synthèse et des recommandations sur l’activité physique dans la prévention mais aussi le traitement des maladies chroniques, dont les maladies cardio-vasculaires.

Devant tout problème, un avis médical doit être demandé de manière à déterminer les contre-indications qui pourraient exister pour le niveau de pratique physique envisagé. Le médecin délivrera si nécessaire le CACI (certificat d’absence de contre-indication). Le médecin traitant sollicitera dans certains cas un cardiologue, qui pourra proposer de réaliser un test d’effort avant le début de la pratique sportive.

L’hypertension artérielle peut être améliorée par l’exercice physique. Pendant longtemps, on a pensé que la natation était à déconseiller chez les patients hypertendus, probablement en raison de données d’études montrant que l’exercice physique des membres supérieurs, isolé, induisait au moment de la pratique une montée tensionnelle importante. Désormais, il est bien montré que la natation (posture allongée, immersion, exercice musculaire combiné, sollicitation respiratoire etc.) conduit à une adaptation des flux sanguins très bénéfique pour lutter contre l’HTA, en prévention ou en complément d’une thérapeutique médicamenteuse qu’elle aide à équilibrer.

Les œdèmes des membres inférieurs, qu’ils soient en rapport avec une insuffisance veineuse ou favorisés par certains traitements médicamenteux, peuvent diminuer avec la natation car l’immersion favorise le retour du sang dans les veines.

Les maladies cardiaques dites « ischémiques » (maladie des artères coronaires ou après un infarctus du myocarde) bénéficient actuellement d’une prescription médicale de réadaptation physique dans des centres spécialisés.

Les études montrent en effet que cette prise en charge améliore le pronostic des patients, diminue le nombre de réhospitalisations, améliore la qualité de vie des patients après le retour à domicile. De nombreux centres utilisent des exercices en piscine réalisés sous surveillance médicale (aquagym, marche aquatique en couloir), la pratique de la natation sera, elle, discutée en fonction de chaque cas.

L’insuffisance cardiaque, quelle qu’en soit l’origine (infarctus du myocarde, problème de valves, anomalie du tissu musculaire cardiaque), peut être aussi améliorée par la réadaptation cardiaque. La pratique physique sous surveillance médicale permet d’améliorer les capacités cardio-respiratoires, la force musculaire et la qualité de vie de la personne insuffisante cardiaque.

Toutefois, la pratique de la natation est en général contre-indiquée chez les patients insuffisants cardiaques, car elle peut être très sollicitante sur le plan de la dépense énergétique et de l’augmentation de la fréquence cardiaque.

Source de l'article : [url=https://www.docdusport.com/natation-et-maladies-cardio-vasculaires/#:~:text=Natation et maladies cardio-vasculaires L%E2%80%99exercice physique et sportif,facteurs de risque et comme th%C3%A9rapeutique non m%C3%A9dicamenteuse.]https://www.docdusport.com/natation-et-maladies-cardio-vasculaires/#:~:text=Natation%20et%20maladies%20cardio-vasculaires%20L%E2%80%99exercice%20physique%20et%20sportif,facteurs%20de%20risque%20et%20comme%20th%C3%A9rapeutique%20non%20m%C3%A9dicamenteuse.[/url]

#coeur #maladies #cardiovasculaires #sport #infarctus #insuffisance #cardiaque
par Heartdrake
le Dim 16 Jan 2022 - 19:06
 
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Sujet: Natation et maladies cardio-vasculaires
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Maladies cardiovasculaires : « le plus, c’est le mieux » pour le sport

Bonne pour notre cœur et nos vaisseaux, l’activité physique ? Si la question apparaît bel et bien tranchée, il demeure des incertitudes concernant ses apports en fonction de notre état de santé. Les bénéfices sont-ils les mêmes chez un patient souffrant d’une maladie cardiovasculaire que chez une personne en bonne santé ?

La question est posée par le Dr Thijs Eijsvogels et ses collègues du Radboud University Medical Center de Nimègue (Pays-Bas). Pour y répondre, les scientifiques ont exploité les données d’une étude de cohorte – la Lifelines Cohort Study – comprenant 142 000 de leurs compatriotes, vivant dans le nord du pays. Ils ont mis en relation le degré de pratique d’activité physique et la survenue d’évènements cardiovasculaires et même les causes de mortalité.
C’est donc confirmé : courir, nager, marcher, pédaler etc… réduit bien le risque de mortalité prématurée, aussi bien chez les personnes en bonne santé que chez celles présentant des facteurs de risque cardiovasculaires. Cependant, les chercheurs mettent en évidence un effet-plateau chez les premières. Autrement dit, à partir d’un certain stade de pratique – qu’ils ne précisent pas – les bienfaits santé se stabilisent. En revanche, ce constat ne semble pas valable pour les patients souffrant d’une maladie cardiovasculaire ou présentant des facteurs de risque : quelle que soit leur pratique, celle-ci reste toujours bénéfique.

Sport-santé sur ordonnance 

Pour ces patients, « le ‘plus c’est le mieux’, en matière d’activité physique », résume le Dr Eijsvogels. Ce qui signifie à ses yeux, la nécessité de recommandations quasiment personnalisées et précises. C’est tout l’enjeu des dispositifs de sport-santé sur ordonnance, car « la prescription d’activité physique peut dépendre, entre autres facteurs, de l’état de santé cardiovasculaire », conclut-il.


Source de l'articleMaladies cardiovasculaires : « le plus, c’est le mieux » pour le sport - A la une - Destination Santé (destinationsante.com)


#coeur #maladies #cardiovasculaires #sport #activité #physique
par Heartdrake
le Ven 17 Déc 2021 - 7:54
 
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9 bonnes raisons de se (re)mettre à la natation

Biceps, abdominaux, quadriceps, la natation engage l'ensemble des muscles de votre corps. Cette discipline travaille également l'appareil respiratoire et renforce vos capacités cardiovasculaires.

La natation reste une activité physique complète aux multiples disciplines. Depuis le 9 juin dernier, les piscines couvertes et celles de plein air se trouvent de nouveau accessibles à tous. Et bonne nouvelle, l'eau chlorée ne semble pas un lieu propice pour la survie du SARS-CoV-2. Alors, prêt à faire le grand plongeon ?
L'un des grands avantages de la natation c'est que c'est un sport doux pour vos articulations puisque c'est un sport sans impact. Elle particulièrement recommandée si vous souffrez d'arthrose.
Essentielle pour l'amélioration d'éventuels problèmes d'articulations, elle l'est aussi pour les personnes qui souffrent de mal de dos.
Sédentaires comme grands sportifs, quels que soient leurs âges, peuvent espérer augmenter leurs capacités physiques avec une pratique régulière. Nager permet aussi d'entretenir le cœur et la fonction respiratoire.
La natation travaille le gainage, la motricité, ainsi que la coordination.
Pratiqué régulièrement, en complément d'une alimentation équilibrée, c'est aussi le sport idéal pour contrôler son poids. La natation permet de travailler sans douleur l'ensemble des muscles - ceux du dos, la sangle abdominale-. En effet, les mouvements sont plus faciles à exécuter lorsque le corps flotte dans l'eau, ce qui permet de travailler le muscle en profondeur.
Et puis, la fraîcheur de l'eau a pour effet de resserrer les veines et les vaisseaux, il n'y a rien de mieux que la marche aquatique pour favoriser le retour veineux : c'est idéal quand on souffre de jambes lourdes.

QUELLE NAGE CHOISIR EN FONCTION DE SON PROFIL ?

La natation représente une excellente discipline accesible à tous. Elle possède de nombreux bienfaits pour la santé et la forme physique. Les différentes nages disposent de particularités adaptables à chaque profil. Elles solliciteront des muscles différents.
Le dos crawlé s'effectue avec un mouvement alternatif des bras et un battement des jambes. Cette nage représente une bonne solution pour les nageurs débutants : la bouche et le nez restant hors de l'eau, ils n'ont pas à gérer leur respiration.
Vous avez des problèmes dorsaux ? Essayez le crawl : sport complet, il sollicitera vos bras, vos épaules, vos jambes, votre poitrine et même vos abdominaux.
Enfin, considérée comme une nage relaxante, la brasse engage la synchronisation entre le mouvement des jambes et des bras. Notez qu'elle n'est pas conseillée en cas de douleurs lombaires. Réalisée sur une longue période, cette pratique fait travailler l'endurance. Elle sollicite aussi bien vos pectoraux, vos trapèzes et vos dorsaux, mais également les différents muscles de vos jambes.


Source de l'article9 bonnes raisons de se (re)mettre à la natation - Top Santé (topsante.com)


#coeur #sport
par Heartdrake
le Ven 23 Juil 2021 - 13:55
 
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Sujet: 9 bonnes raisons de se (re)mettre à la natation
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