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4 résultats trouvés pour santé

Aliments frits une véritable bombe pour la santé cardio-vasculaire

Source de l'article[color:3cbb=rgba(0, 0, 0, 0)] : Fondation Recherche Cardio-vasculaire

Le saviez-vous ? Les aliments frits :fries:sont une véritable bombe pour la santé cardio-vasculaire. C'est ce qui ressort d'une étude initiée par des chercheurs chinois et dont les résultats ont été publiés dans la revue Heart. (lien : https://lnkd.in/e7tgmwMi)

Une consommation hebdomadaire élevée de fritures (114 g par semaine) occasionne :



  • Un risque accru de 28% d'événements cardiovasculaires majeurs

  • De 22% de maladies coronariennes

  • De 37% d'insuffisance cardiaque



Si les aliments frits sont si mauvais pour votre coeur :green_heart: c'est d'une part en raison de leur teneur en gras mais aussi en raison des huiles dans lesquels ils sont frits.

La friture stimulerait également la production de sous-produits chimiques impliqués dans la réponse inflammatoire du corps.


Elle est également souvent associée à une consommation excessive de sel et de sodas dont on sait qu'ils sont néfastes pour la santé cardiovasculaire dès lors qu'ils sont consommés en excès et régulièrement.


Pour votre coeur, privilégiez une alimentation saine, équilibrée et plus végétale 🌿🌿.


#coeur #cardiovasculaire #heart #friture #nutrition #sel #santé 
#infarctus #AVC #insuffisancecardiaque



Tag santé sur Association Insuffisance Cardiaque (AIC) 1643191130706?e=1646265600&v=beta&t=T9xS3R-F893VpPSm4L9NsfizRC41w7ve80pnHFn_UBc
par Heartdrake
le Mer 26 Jan 2022 - 16:44
 
Rechercher dans: Alimentation, idées de recettes, etc ...
Sujet: Aliments frits une véritable bombe pour la santé cardio-vasculaire
Réponses: 0
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Prévention cardiovasculaire : augmenter l’activité physique d’à peine 10 minutes

Augmenter d’à peine 10 minutes par jour la durée de l’activité physique est bénéfique pour le cœur. C’est le constat d’une étude menée auprès d’une cohorte de seniors.

« Pratiquer 150 minutes d’activité physique modérée à vigoureuse par semaine réduit de 17 à 25 % le risque de maladies cardiovasculaires », rappelle l’Inserm. Pourtant 80% des seniors passent environ 80% de leur journée assis. Or, manque d’activité physique et sédentarité sont la pire association.

Pour analyser « la dépendance entre les niveaux d’activité, de sédentarité et le risque cardiovasculaire », des chercheurs Inserm ont mené une étude auprès de plus de 3 000 volontaires. Âgés de 69 ans en moyenne et en majorité de sexe masculin, ils ont accepté de porter un accéléromètre* à leur poignet pendant une semaine. Au cours du suivi de six ans en moyenne, 299 d’entre eux ont reçu un diagnostic de maladie cardiovasculaire : maladie coronarienne, accident vasculaire cérébral ou encore insuffisance cardiaque.

Maintenir ou augmenter l’activité modérée à vigoureuse


Après avoir relevé la durée quotidienne des activités sédentaires, légères et modérées à vigoureuses réalisées par les participants, les auteurs ont évalué l’impact sur le risque cardiovasculaire d’une augmentation de 10, 20 ou 30 minutes d’une de ces trois formes d’activité.

Résultat, l’augmentation de seulement 10 minutes de la durée d’activité modérée à vigoureuse permet de mieux prévenir le risque cardiovasculaire, par rapport au fait de réduire la sédentarité ou d’augmenter le temps d’activité légère. Dans le détail, « chez les seniors les plus sédentaires (pendant au moins 14 heures par jour), (…) 10 minutes supplémentaires d’activité modérée à vigoureuse permet de réduire le risque cardiovasculaire de 13% », notent les auteurs.

A l’inverse, « cette étude renforce l’idée selon laquelle il est important de maintenir son niveau d’activité physique, même s’il reste en deçà des recommandations, car toute diminution s’accompagne d’une augmentation du risque cardiovasculaire », conclut Séverine Sabia**, principale investigatrice de l’étude.

*appareil destiné à mesurer le nombre d’heures quotidiennes qu’elles passent assises (sédentaires) et en mouvement, lent ou rapide
**unité 1153 Inserm/Université de Paris/INRAE, Centre de recherche en épidémiologie et statistiques – CRESS



Source de l'article : https://destinationsante.com/prevention-cardiovasculaire-augmenter-lactivite-physique-da-peine-10-minutes.html


#coeur #maladies #cardiovasculaires #santé #activité #physique
par Heartdrake
le Mer 6 Oct 2021 - 9:06
 
Rechercher dans: Activités physiques et maladies cardiovasculaires
Sujet: Prévention cardiovasculaire : augmenter l’activité physique d’à peine 10 minutes
Réponses: 0
Vues: 100

9 gestes essentiels pour prendre soin de son coeur

Les maladies cardiovasculaires (infarctus et AVC en tête) sont la première cause de mortalité chez les femmes en France. Mais bonne nouvelle, contrairement à d'autres maladies graves, les accidents cardiovasculaires peuvent être prévenus. A l'occasion de la Journée mondiale du coeur, on révise les gestes du quotidien qui réduisent le risque d'infarctus.

Pendant longtemps, on a dit que les femmes étaient protégées par leurs hormones. Pourtant, l'infarctus et l'AVC (accident vasculaire cérébral) tuent désormais davantage de femmes que d'hommes. En outre, elles sont frappées de plus en plus jeunes (11 % des femmes qui font un infarctus ont moins de 50 ans (contre 4 % il y a 20 ans) alors que, classiquement, leur maladie se déclare 10 ans plus tard que chez les hommes.


La contraception à base d'œstroprogestatifs (majorité des pilules, patchs et anneaux vaginaux) favorise la coagulation du sang et donc la formation de caillots. Plus dangereuse encore : l'association cigarette et contraceptif œstroprogestatif, en particulier après 35 ans. Les maladies cardiovasculaires étant globalement sous-estimées chez les femmes, elles sont également moins recherchées et donc moins bien traitées. "Les tests diagnostiques sont parfois moins fiables, car ils ont été conçus en se basant sur la physiologie masculine", explique le Pr Claire Mounier-Vehier, cardiologue à l'Institut Cœur Poumon du CHU de Lille.
Autre raison d'une prise en charge tardive : les symptômes féminins diffèrent de ceux des hommes. Ainsi, près d'une fois sur deux, au lieu de se manifester par la douleur classique dans la poitrine irradiant le bras gauche et la mâchoire, l'infarctus se signale plutôt par des palpitations, un essoufflement, des troubles digestifs, etc. Des signes encore trop souvent attribués à une manifestation d'anxiété. En attendant, chaque femme peut aussi se protéger en adoptant de nouvelles habitudes au quotidien.

Pourquoi arrêter de fumer ?

Alors que la proportion de fumeurs a baissé dans la population masculine (57 % dans les années 1960 contre 32 % aujourd'hui), le nombre de fumeuses régulières ne cesse d'augmenter (à 17 ans : + 30 % entre 2008 et 2011). De plus, l'association tabac et pilule est explosive.

  • Ce qu'il faut faire : ne pas commencer à fumer offre évidemment la meilleure protection. Sinon, pour se motiver à arrêter, il faut savoir que chaque cigarette augmente la pression sanguine, abîme la paroi des vaisseaux, rétrécit les artères et facilite la formation de caillots. Mais, après sevrage, les bénéfices sont rapides. Au bout de 2 à 12 semaines, la circulation s'améliore. Après un an, le risque de maladie cardiovasculaire est déjà redescendu de moitié. En 5 à 15 ans, il redevient presque identique à celui d'une personne n'ayant jamais fumé.

Pourquoi surveiller sa tension ?

L'hypertension artérielle favorise l'athérome (dépôt de cholestérol à l'intérieur des artères) ainsi que l'accident vasculaire cérébral et l'infarctus (notamment après la ménopause).

  • Ce qu'il faut faire : il n'est pas "normal" que la tension s'élève avec l'âge. C'est souvent dû à un excès de sel (main lourde sur l'assaisonnement, charcuterie plusieurs fois par semaine) ou à une consommation exagérée d'alcool (plus de 2 verres par jour).

Pourquoi réduire le sucre ?

Avoir trop de sucre dans le sang augmente le risque de mortalité cardiovasculaire de 3 à 7 fois chez la femme (de 2 à 3 fois chez l'homme).

  • Ce qu'il faut faire : "Limiter la prise de poids et surtout conserver une activité physique sont les deux principales mesures pour se protéger", conseille le Dr Jean-Michel Lecerf, chef du service de nutrition à l'Institut Pasteur de Lille. En consommant une partie du glucose pour leur fonctionnement, les muscles évitent de trop fortes variations de son taux dans le sang. De nombreux travaux ont prouvé, par exemple, les bienfaits d'une marche modérée après les repas.

Pourquoi lutter contre la sédentarité ?

Insuffisamment entraîné, le muscle cardiaque perd de sa puissance. Il reçoit et envoie moins de sang et fournit donc moins d'oxygène aux muscles et aux organes. De plus en plus sédentaires, les femmes sont seulement 53 % à satisfaire aux recommandations de l'Organisation mondiale de la santé, soit 2 h 30 d'activité d'intensité modérée par semaine et 1 h 15 d'activité d'intensité soutenue, contre 70 % des hommes.
Ce qu'il faut faire : la marche, la bicyclette sur terrain plat, la natation sans forcer ou toute autre activité qui nous plaît (avec l'aval de notre médecin si l'on a arrêté le sport depuis longtemps) renforcent le cœur, la respiration, les muscles et le squelette, et contribuent à repousser les autres menaces que sont l'hypertension, le diabète et l'excès de cholestérol.

Source de l'article : https://www.topsante.com/medecine/troubles-cardiovasculaires/infarctus/comment-proteger-son-coeur-627767


#coeur #tension #sédentarité #santé #maladies #cardiovasculaires
par Heartdrake
le Jeu 30 Sep 2021 - 9:05
 
Rechercher dans: Maladies cardiovasculaires : généralités
Sujet: 9 gestes essentiels pour prendre soin de son coeur
Réponses: 0
Vues: 267

Manque de suivi médical, automédication : pourquoi les femmes font passer leur santé en dernier

En matière de santé, les femmes se font passer au second plan, selon une nouvelle étude d'AXA Prévention. Elles privilégient la santé de leurs proches et ont ainsi tendance à délaisser leur propre suivi médical. Un phénomène qui n'est évidemment pas sans conséquence sur leur santé.
Depuis le début de l’épidémie de Covid-19, près de 7 millions de cas ont été recensés dans l'Hexagone, selon Santé Publique France. Si l’infection au coronavirus peut avoir des conséquences désastreuses sur la santé, elle a également eu un impact sur la prise en charge d’autres maladies. La pandémie a ainsi entraîné la déprogrammation d’opérations, la baisse de fréquentation des urgences ou encore le décalage de soins.
Bien que les conséquences de la Covid-19 aient touché l’ensemble de la population, ce phénomène concerne particulièrement les femmes. En France, des médecins avaient ainsi pointé du doigt une hausse des maladies cardiovasculaires chez les femmes pendant les confinements. C’est notamment le cas du Pr Claire Mounier-Vehier, cardiologue et cofondatrice d’Agir pour le Cœur des Femmes, qui expliquait dans un communiqué en mai 2020 que les femmes, "plus préoccupées par la santé de leur famille, la performance en télétravail et malheureusement, pour nombre d’entre elles exposées à un isolement, une précarité sociale ou un stress conjugal, sont dans le déni des symptômes atypiques d’alerte cardio-vasculaire".
Si la crise sanitaire a renforcé ce phénomène, cette réalité existait déjà avant l’épidémie de Covid-19. Une nouvelle enquête d’AXA Prévention s’est intéressée à la santé des femmes dans l’Hexagone : elle révèle que ces dernières ont tendance à faire passer la santé des autres avant la leur et ainsi à ne pas effectuer un suivi médical régulier.

77% des femmes repoussent la consultation chez le médecin

Ce sont des chiffres édifiants que mettent en lumière ces travaux menés par Elabe pour AXA Prévention auprès de plus de 1.300 femmes. Parmi les données clés dévoilées par l’étude : 81 % des femmes se préoccupent plus de la santé de leurs proches plutôt que de la leur. Ce sont d’ailleurs les femmes qui sont chargées du suivi de la santé des enfants : elles sont 57 % à s’en occuper, tandis que 5% des hommes assument seuls cette responsabilité.
L’étude révèle également que 70% des femmes considèrent qu’être en bonne santé, c’est ne pas être malade et que 85 % d’entre elles pratiquent l’automédication. En cause notamment ? Le manque de temps, comme le soulignait le Pr Claire Mounier-Vehier en 2020 au sujet de la hausse des maladies cardiovasculaires : "Elles ont d’autres préoccupations que de s’écouter !", affirmait-elle.
Autre constat alarmant : 77% des femmes repoussent la consultation chez le médecin et seules 38% des femmes réalisent des bilans de santé réguliers. Des chiffres qui ne sont évidemment pas sans conséquence sur leur santé.

Diagnostic, prise en charge... Des inégalités entre les femmes et les hommes

L’étude alerte plus précisément sur l'impact de ces habitudes sur la santé cardiaque des femmes : 42% d’entre elles ne surveillent pas leur cœur et nombreuses sont celles qui ont tendance à minimiser les facteurs de risques des maladies cardiovasculaires. 58% des femmes sous-évaluent ainsi l’incidence du stress, mais aussi du surpoids et 38% minimisent les conséquences de la fatigue.
Ce phénomène est notamment dû à une inégalité entre les femmes et les hommes concernant le diagnostic et la prise en charge de certaines pathologies, comme les maladies cardiovasculaires. "En matière de santé, la nécessité d’une prise en compte des différences de genre n’est pas une nouveauté (…) Le constat est alarmant : en 20 siècles, la France n’a toujours pas pris les mesures pour intégrer cela dans sa politique de santé publique comme c’est le cas dans certains pays européens", indique le Pr Claire Mounier-Vehier.
Le diagnostic des maladies cardiovasculaires chez les femmes est ainsi souvent retardé, car les signes spécifiques sont mal connus : les symptômes et la douleur des femmes ont ainsi tendance à être minimisés. L’étude révèle que 80% des femmes méconnaissent les symptômes d’un infarctus féminin. Chez elles, il ne se manifeste pourtant par des douleurs dans la poitrine ou dans l’épaule que dans un cas sur deux. Parmi les autres symptômes pouvant apparaître chez la femme on retrouve des troubles digestifs, un essoufflement ou encore une grande fatigue. Des manifestations spécifiques qui doivent être connues et identifiées à temps, car les maladies cardiovasculaires constituent la première cause de mortalité chez les femmes.

Source de l'article : https://www.femmeactuelle.fr/sante/news-sante/manque-de-suivi-medical-automedication-pourquoi-les-femmes-font-passer-leur-sante-en-dernier-2120380


#coeur #maladies #cardiovasculaires #santé
par Heartdrake
le Lun 27 Sep 2021 - 13:54
 
Rechercher dans: Les femmes et les maladies cardiovasculaires
Sujet: Manque de suivi médical, automédication : pourquoi les femmes font passer leur santé en dernier
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