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6 résultats trouvés pour cardiovasculaire

Boire du thé noir réduirait le risque de mortalité selon une étude britannique

Consommer au moins deux tasses de thé noir par jour réduirait notamment le risque de mortalité par maladies cardiovasculaires de près de 13%. Un effet lié à la composition des feuilles de ce thé, qui devrait conforter les Britanniques pour leur traditionnel "tea time", champion d'Europe de la consommation de thé.

Plutôt thé ou café ? Outre-manche, les Britanniques se tournent vers le thé, par habitude mais aussi pour améliorer leur santé. C'est en tout cas le résultat d'une étude britannique du National Cancer Institute. Le thé noir en particulier serait un remède pour vivre plus longtemps. Pour être en meilleure santé, il faut donc boire au moins deux tasses de thé noir par jour. Effectivement, selon cette étude, la consommation régulière de thé noir entraîne une baisse de la mortalité par maladies cardiovasculaires de 13 %. Et quelle que soit la température, avec ou sans nuage de lait.

Un thé fluidifiant et plus riche en antioxydants

Pourquoi un tel résultat ? Contrairement au thé vert, les feuilles de thé noir sont complètement fermentées. Il est plus riche en antioxydants et son effet fluidifiant est désormais avéré. "En fluidifiant et en prévenant le risque de caillots, il prévient donc le fait de mettre des caillots au niveau des artères coronaires, donc prévenir l'infarctus du myocarde, mais également au niveau vasculaire cérébral", détaille Patrick Assayag, président du syndicat des cardiologues en Île-de-France.

Le spécialiste est agréablement surpris du résultat de l'étude. "On ne connaissait pas cet effet. Cela va à l'encontre des idées reçues qu'on avait : que le thé noir étant fermenté était moins actif que le thé vert, lui étant non-fermenté", complète-t-il. L'autre enseignement de cette étude : le thé noir, permettrait de limiter la prolifération des cellules cancéreuses avec un effet protecteur contre la démence et la dépression.

Avec 2,3 kilos de thé par an et par habitant, les Britanniques sont les champions d'Europe du "tea time". En France, nous n'en sommes qu'à 250 grammes.


Source de l'article : https://www.europe1.fr/sante/boire-du-the-noir-reduirait-le-risque-de-mortalite-selon-une-etude-britannique-4132159


#coeur #maladies #cardiovasculaire
par Heartdrake
le Mer 11 Jan 2023 - 11:26
 
Rechercher dans: Maladies cardiovasculaires : généralités
Sujet: Boire du thé noir réduirait le risque de mortalité selon une étude britannique
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Aliments frits une véritable bombe pour la santé cardio-vasculaire

Source de l'article[color:3cbb=rgba(0, 0, 0, 0)] : Fondation Recherche Cardio-vasculaire

Le saviez-vous ? Les aliments frits :fries:sont une véritable bombe pour la santé cardio-vasculaire. C'est ce qui ressort d'une étude initiée par des chercheurs chinois et dont les résultats ont été publiés dans la revue Heart. (lien : https://lnkd.in/e7tgmwMi)

Une consommation hebdomadaire élevée de fritures (114 g par semaine) occasionne :



  • Un risque accru de 28% d'événements cardiovasculaires majeurs

  • De 22% de maladies coronariennes

  • De 37% d'insuffisance cardiaque



Si les aliments frits sont si mauvais pour votre coeur :green_heart: c'est d'une part en raison de leur teneur en gras mais aussi en raison des huiles dans lesquels ils sont frits.

La friture stimulerait également la production de sous-produits chimiques impliqués dans la réponse inflammatoire du corps.


Elle est également souvent associée à une consommation excessive de sel et de sodas dont on sait qu'ils sont néfastes pour la santé cardiovasculaire dès lors qu'ils sont consommés en excès et régulièrement.


Pour votre coeur, privilégiez une alimentation saine, équilibrée et plus végétale 🌿🌿.


#coeur #cardiovasculaire #heart #friture #nutrition #sel #santé 
#infarctus #AVC #insuffisancecardiaque



Tag cardiovasculaire sur Association Insuffisance Cardiaque (AIC) 1643191130706?e=1646265600&v=beta&t=T9xS3R-F893VpPSm4L9NsfizRC41w7ve80pnHFn_UBc
par Heartdrake
le Mer 26 Jan 2022 - 16:44
 
Rechercher dans: Alimentation, idées de recettes, etc ...
Sujet: Aliments frits une véritable bombe pour la santé cardio-vasculaire
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Maladie cardiovasculaire : Prendre en compte la forte composante génétique

Les maladies cardiovasculaires (MCV) sont la principale cause de décès chez les adultes des pays riches, on sait que les facteurs génétiques peuvent peser dans le risque cardiovasculairecependant les avantages des tests génétiques ne sont pas totalement reconnus. Cette équipe de cardiologues et de biologistes du Baylor College of Medicine, qui utilise des tests génétiques pour guider les soins cliniques, présente sa recherche, « HeartCare » dans la revue Genetics in Medicine qui permet de préciser et réaffirmer le risque génétique des maladies cardiovasculaires.

Selon ces chercheurs de Houston, la génétique d'un patient, peut, en effet, détenir la clé d'une intervention précoce dans les maladies cardiovasculaires, avec de meilleurs résultats cliniques. Avec des experts du centre de séquençage du génome humain, les cardiologues de Baylor mènent ainsi cette étude pilote pour démontrer l’intérêt des tests génétiques pour les patients suivis pour troubles cardiovasculaires, le tout dans une optique de médecine de précision. L’étude pilote met en évidence les implications de tels tests sur le déroulement du traitement d’environ un tiers des participants.

Un patient « cardiaque » sur 3 aurait intérêt aux tests génétiques

Les chercheurs ont donc développé un panel « HeartCare » qui a permis d’identifier 158 gènes de vulnérabilité cardiovasculaire médicalement exploitables ainsi qu'un score de risque génétique pour le développement de maladies cardiovasculaires et des données génétiques sur les interactions médicamenteuses.
709 patients ont été inscrits dans les cliniques de cardiologie du Baylor College of Medicine et ont passé un test génétique gratuit dans le cadre de leurs soins de routine. L’analyse des données de tests montre que :
 

  • pour 32 % des participants testés, les résultats, au test génétique, ont eu un impact sur leur gestion clinique ;
  • 11% des participants ont été référés à un spécialiste en génétique pour des soins complémentaires ;
  • 9 % avaient une mutation génétique héréditaire pathogène associée une ou des maladies cardiovasculaires comme la cardiomyopathie et l'hypercholestérolémie ;
  • 9 % ont obtenu un score de risque génétique global élevé de développer une maladie cardiovasculaire ;
  • ces patients à scores de risque génétique élevés pourraient être traités avec des médicaments, un régime alimentaire et d'autres changements de mode de vie, concluent les auteurs.

 
L’étude suggère donc qu'une grande partie des patients souffrant de troubles cardiovasculaires et suivis en ambulatoire pourraient bénéficier de ces tests génétiques, conclut l’auteur principal, le Dr. Richard Gibbs, directeur du Centre de séquençage du génome humain et professeur de génétique moléculaire et humaine à Baylor :

« Il existe des soins de suivi efficaces pour ces patients à facteurs de risque génétiques,

et, dans de nombreux cas, également pour les membres de leur famille".
 
L’idée est donc d’intégrer la médecine génomique aux soins cliniques de cardiologie. Les auteurs, pour certains d'entre eux cliniciens, confirment traiter beaucoup de maladies cardiovasculaires en fin de processus. « Si nous pouvons commencer nos soins plus tôt, nous pourrions prévenir les événements cardiovasculaires et améliorer les résultats cliniques. Les tests génétiques peuvent nous aider à identifier non seulement qui est à risque, mais aussi nous permettre de dépister et d'identifier d'autres membres de la famille qui peuvent également être à risque ».
 
Enfin, l’étude qui a également recueilli les retours des médecins de ces participants révèle que 84% des cardiologues ont déclaré avoir modifié le protocole de soins de leur patient après avoir pris connaissance des résultats des tests génétiques…

Source de l'article : https://www.santelog.com/actualites/maladie-cardiovasculaire-prendre-en-compte-la-forte-composante-genetique


#coeur #maladie #cardiovasculaire
par Heartdrake
le Jeu 16 Sep 2021 - 15:03
 
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Sujet: Maladie cardiovasculaire : Prendre en compte la forte composante génétique
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Boissons énergisantes : victime d'une crise cardiaque, un homme alerte sur leur consommation à risque

En Angleterre, un homme raconte comment sa consommation excessive et quotidienne de boissons énergisantes l'a conduit à l'hôpital. Ce dernier milite pour un meilleur encadrement auprès des plus jeunes, une demande également émise par une association de consommateurs française plus tôt cette année. En effet, celles-ci sont de plus en plus visibles dans les rayons alors que la réglementation dans ce domaine n'est pas précise.
En partageant son expérience, il espère bien alerter sur les risques liés à la consommation excessive de ces boissons. Dans plusieurs médias anglais, dont les journaux The Sunet The MirrorLee Kamen, 53 ans, raconte comment il a été victime d'une crise cardiaque après avoir bu entre 8 et 12 canettes de boisson énergisante chaque jour pendant un an. L'évènement est survenu en 2017 à l'âge de 49 ans, alors qu'il ne buvait pas et ne fumait pas.
« Je buvais entre huit et douze boissons énergisantes par jour, des Red Bull et des Monster. J'avais l'habitude d'aller chez un grossiste pour le bar et j'achetais des caisses de vingt-quatre canettes, que je buvais comme n'importe quelle autre boisson. Je travaillais beaucoup et j'en buvais pour tenir le coup. Ça a duré pendant à peu près un an », explique-t-il.

Lee Kamen a survécu mais s'est vu poser un stent (dispositif utilisé en cardiologie pour maintenir une artère ouverte) et doit maintenant prendre des médicaments à vie. « Quand j'étais à l'hôpital, le médecin m'a expliqué que la cause de ma crise cardiaque venait de ma consommation de boissons énergisantes. Je ne savais absolument pas que c'était mauvais d'en boire. C'était un sacré choc à l'époque, mais maintenant je suis passionné par cette question », ajoute-t-il. Le second déclic est survenu lorsque sa fille de 10 ans est un jour rentrée de son école avec une canette d'une boisson énergisante à la main, qu'il a « directement vidée dans l'évier. » Après avoir découvert qu'elle l'avait achetée dans un magasin voisin, il a alors demandé à l'établissement d'envoyer un mail pour avertir les parents d'élèves.

Son combat : interdire la vente de ces boissons aux mineurs

Aujourd'hui, ce père de famille souhaite s'exprimer dans le but d'éduquer les adultes et milite pour interdire la vente de ces boissonsaux moins de 16 ans. En attendant c'est, selon lui, aux responsables des magasins de se montrer responsables, aussi bien les supermarchés que les petites épiceries. Les risques cardiovasculaires potentiels d'une consommation excessive de boissons énergisantes suscitent des inquiétudes croissantes. Plus tôt cette année, un rapport de cas publié dans la revue scientifique BMJ Case Reports a détaillé comment un homme de 21 ans sans antécédents médicaux a souffert d'une insuffisance cardiaque biventriculaire sévère (lorsque les deux côtés du cœur sont touchés) après avoir bu quatre canettes de boissons énergisantes chaque jour pendant deux ans.
Le patient s'est finalement retrouvé en soins intensifs après quatre mois d'essoufflement à l'effort, d'essoufflement en position couchée et de perte de poids. Si ces produits gagnent en popularité dans le monde, l'impact d'une consommation excessive et chronique sur le système cardiovasculaire reste mal connu. En France, l'association de consommateurs Consommation logement cadre de vie (CLCV) milite pour un meilleur encadrement après avoir décrypté l'étiquette de 10 d'entre elles en mars dernier. En cause notamment, la liste des ingrédients : sucre, glucose et sirop de glucose sont en tête de liste après l’eau gazéifiée ce qui explique que 8 boissons sur 10 ont un Nutri-Score D ou E.

Caféine, taurine... aucune législation spécifique en France


Les autres ingrédients, plus problématiques encore, sont la taurine et des substances stimulantes comme la caféine. Et ce à des teneurs élevées : 23 mg/100 ml en moyenne, soit l’équivalent de 3 expressos pour une canette de 500 ml). « Les effets sur la santé de ce cocktail d’ingrédients sont encore peu connus... En France, le dispositif de Nutrivigilance recense depuis 10 ans les signalements d’effets indésirables liés à la consommation de ces boissons. Les principaux symptômes observés sont cardiovasculaires (douleurs thoraciques, tachycardie, hypertension...) et neurologiques (irritabilité, anxiété...). La caféine a été considérée comme le premier facteur déclencheur de ces symptômes », note la CLCV. Celle-ci déplore qu'il n’existe toujours pas de législation spécifique pour les boissons énergisantes.

Par conséquent, il n'y a donc aucune quantité maximale pour les ingrédients comme la taurine et la caféine. « Aujourd’hui, la réglementation impose uniquement la mention « teneur élevée en caféine, déconseillé aux enfants et aux femmes enceintes ou allaitantes » sur l’étiquetage des boissons contenant plus de 150 mg/L de caféine à l’exception des valeurs présentes dans le code de bonne conduite signé par les industriels », ajoute l'association. Sa demande première est d'en fixer des quantités maximales dans les boissons énergisantes en prenant en compte leurs conditions réelles de consommation par les adolescents ». Elle souhaite par ailleurs « un étiquetage beaucoup plus clair qui déconseille le mélange avec l’alcool et qui rappelle que les boissons énergisantes ne sont pas adaptées à l’effort physique. »

En 2017 l'Anses*, qui a évalué plusieurs fois l'innocuité de ces boissons, révélait que plus de 200 cas d'effets indésirables ont été signalés dans le cadre d'un dispositif de surveillance mis en place depuis 2008. L'organisme n'est pas en mesure de donner une limite maximale de consommation mais met surtout en garde contre des pratiques à risques en lien avec la caféine, considérée comme le facteur explicatif majeur. Elle recommande aussi d'éviter de consommer des boissons énergisantes avec de l'alcool ou lors d'un exercice physique (elles majorent les pertes en sels minéraux et augmentent le risque d’accident à la chaleur). Enfin, elle invite les femmes enceintes et allaitantes, enfants, adolescents ou personnes présentant certaines pathologies à être vigilants quant à leurs apports en caféine.

*Agence nationale de sécurité sanitaire de l'​alimentation, de l'environnement et du travail


par Heartdrake
le Ven 25 Juin 2021 - 13:54
 
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Sujet: Boissons énergisantes : victime d'une crise cardiaque, un homme alerte sur leur consommation à risque
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AVC : Une relation claire entre pression artérielle et pression intracrânienne

On sait que l’hypertension est un facteur de risque d’accident vasculaire cérébral. C’est bien ce lien entre la santé cardiovasculaire et la santé cérébrovasculaire, qui est confirmé et décrypté par cette équipe de la Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP) avec, à la clé, une corrélation entre une hypertension artérielle (HTA), une pression intracrânienne élevée et cette augmentation du risque d’AVC. L’équipe montre ainsi, dans la revue Hypertension que l'augmentation de la pression intracrânienne causée par l'hypertension systémique altère la capacité du cerveau à stabiliser la pression cérébrale, ce qui peut aller jusqu’à entraîner la rupture de la barrière hémato-encéphalique puis toute une cascade d’événements qui mène jusqu’à « l’accident ».

La pression intracrânienne augmente généralement en raison d'une tumeur, d'une encéphalite, d'une méningite, d'un anévrisme ou de problèmes similaires, mais les chercheurs identifient ici un autre facteur : l'hypertension artérielle chronique peut également altérer la compliance cérébrale, entraînant une augmentation de la pression intracrânienne.

Traiter l’HTA permet de réduire la pression intracrânienne 

Précisément, cette étude menée chez la souris utilise un capteur non invasif pour démontrer cette corrélation entre la pression artérielle et la pression intracrânienne. Avec, un objectif clinique, développer de nouveaux traitements pour prévenir et traiter l'hypertension intracrânienne et ses complications, comme l'AVC. Avec ces travaux, les chercheurs brésiliens simultanément identifient le mécanisme liant l'hypertension artérielle à une pression intracrânienne élevée, valident une méthode de surveillance de la pression intracrânienne non invasive et proposent un traitement de l'hypertension artérielle réduisant l'hypertension intracrânienne.
 
Les chercheurs ont surveillé la pression artérielle et la pression intracrânienne chez la souris pendant 6 semaines et ont précisément « regardé ce qui arrive à la pression intracrânienne pendant la période où les animaux deviennent hypertendus », explique l’auteur principal, Eduardo Colombari, professeur à Araraquara Dental School.  En pratique, les chercheurs ont utilisé des clips vasculaires pour simuler l'obstruction de l'artère rénale chez la souris, limitant le flux sanguin vers un rein. L'irrigation réduite a déclenché le système rénine-angiotensine contrôlant la pression, conduisant le rein à libérer des peptides, des enzymes et des récepteurs qui contractent les vaisseaux sanguins et élèvent la pression artérielle dans tout l'organisme. Lorsque les souris ont été confirmées comme hypertendues, les chercheurs ont pu observer une augmentation du flux sanguin cérébral.
 
Traiter l’hypertension pour réduire le risque d'AVC : « L'augmentation de la pression intracrânienne causée par l'hypertension systémique altère la capacité du cerveau à stabiliser sa pression".  Cela peut également entraîner une rupture de la barrière hémato-encéphalique. C’est ce qui se produit ici chez les souris, à la 3è semaine, lorsque l’animal est devenu hypertendu. Lorsque la barrière hémato-encéphalique est compromise, des substances pro-inflammatoires du système rénine-angiotensine et des vaisseaux sanguins peuvent pénétrer dans l'espace interstitiel, où résident les neurones…
 
L’étude suggère ainsi que l'hypertension intracrânienne peut être prévenue si elle est diagnostiquée tôt et traitée par un médicament comme le losartan, utilisé pour traiter l’HTA. Les chercheurs montrent que le médicament permet aussi de contrôler la pression intracrânienne.
 
La perturbation de la barrière hémato-encéphalique met également en danger des zones du système nerveux clés dans le contrôle de la pression cardiovasculaire dans son ensemble. Aujourd’hui, l'hypertension intracrânienne est traitée en induisant un coma ou en administrant un diurétique pour résoudre la rétention d'eau dans le crâne. Cette nouvelle compréhension du lien entre l'hypertension artérielle et l'hypertension intracrânienne suggère de nouvelles options thérapeutiques.
 
Un capteur non invasif pour mesurer la pression intracrânienne : c’est un autre volet de l’étude, ce capteur non invasif et portable développé par la société Brain4care et adapté pour mesurer la pression intracrânienne, ici chez l’animal. Le capteur est d’ailleurs aujourd’hui autorisé par l'Agence nationale de surveillance de la santé (ANVISA) au Brésil et la Food and Drug Administration (FDA) aux États-Unis, pour évaluer la pression intracrânienne chez les patients présentant des déficiences systémiques. Cette étude apporte ainsi une nouvelle validation de la technologie.


Source de l'article : https://www.santelog.com/actualites/avc-une-relation-claire-entre-pression-arterielle-et-pression-intracranienne


#AVC #hypertension #cardiovasculaire
par Heartdrake
le Mer 9 Juin 2021 - 10:41
 
Rechercher dans: AVC (Accident Vasculaire Cérébrale)
Sujet: AVC : Une relation claire entre pression artérielle et pression intracrânienne
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AVC : La puce sous la peau qui veille au grain

Une petite puce insérée sous la peau, développé par des bioingénieurs du Massachusetts General Hospital pourrait changer la vie des millions de personnes ayant déjà des antécédents d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) ou à risque élevé. La puce implantée a pour mission la détection d'une fréquence cardiaque irrégulière, cette arythmie étant corrélée à un risque accru de nouvel AVC. L'implant ouvre ainsi la possibilité d'un traitement préventif ou plus précoce. Les premières données de cet essai clinique publié dans le Journal of the American Medical Association (JAMA), valident l’efficacité de ce détecteur miniature d’AVC cryptogénique ou récurrent.
 
Le dispositif diagnostique est l'oeuvre de chercheurs du Massachusetts General Hospital (MGH) et de la Northwestern University Feinberg School of Medicine. L'objectif est ambiteux, pouvoir prévenir, grâce à une intervention plus précoce, une partie des 800.000 AVC qui surviennent, chaque année, aux États-Unis. D'autant que 25% des AVC sont des récidives, ce qui suggère aussi que les personnes ayant subi un premier AVC doivent donc être considérées comme à risque élevé.
Les chercheurs se donc ainsi concentrés sur les moyens d’identifier parmi ces patients, ceux les plus à risque d'AVC récurrent : en majorité ce sont des patients souffrant de fibrillation auriculaire (FA)- une condition qui reste souvent non diagnostiquée. Pourtant, des battements cardiaques irréguliers peuvent provoquer une accumulation de sang dans le cœur, ce qui induit la formation de caillots qui peuvent atteindre le cerveau.

La puce implantée surveille la fréquence et le rythme cardiaques

En résumé, le dispositif est conçu pour aider les médecins à détecter la fibrillation auriculaire chez les patients qui ont déjà subi un accident vasculaire cérébral cryptogénique, c’est-à-dire sans cause identifiée en dépit de tests approfondis.

  • Testée chez 492 patients participants à l’essai Stroke of Known Cause and Underlying Atrial Fibrillation (STROKE AF), suivis durant 12 mois, la puce a permis de détecter une FA chez plus de 12% des patients vs 1,8% détecté lors du suivi standard ;
  • les épisodes de FA détectés chez ce groupe de patients n'étaient pas brefs, la plupart durant au moins 1 heure, un degré de fibrillation auriculaire qui doit inciter à prendre des anticoagulants pour prévenir le risque de futur AVC.

 
Détecter la FA « silencieuse »: « Nous constatons que nous ne sommes capables d’identifier un certain nombre de patients atteints de FA qu’avec l’aide d’un moniteur implantable », explique l'auteur principal, le Dr Richard A. Bernstein, professeur de neurologie à la Northwestern University Feinberg School of Medicine.
 
Les prochaines étapes comprennent l'identification des facteurs liés directement au patient qui peuvent prédire le développement de la FA, sa durée et sa sévérité. D’autres études visent également à mieux comprendre l'association entre la FA « silencieuse » et les AVC récurrents.

Source de l'articleAVC : La puce sous la peau qui veille au grain | santé log (santelog.com)

#AVC #cardiovasculaire
par Heartdrake
le Dim 6 Juin 2021 - 10:02
 
Rechercher dans: AVC (Accident Vasculaire Cérébrale)
Sujet: AVC : La puce sous la peau qui veille au grain
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